EURUSD - Tendances, prévisions et implications (3ème partie) - page 708
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Quel est le programme de l'UE pour demain ?
Pensées pour le coucher....
J'ai le marquage H4 "off", je vais revoir la structure ce week-end.
L'investisseur milliardaire George Soros estime que la décision prise la semaine dernière par la BCE de relever son taux d'intérêt directeur à 1,25 % était "inappropriée", car la politique uniforme de la BCE pour tous les États de l'Union monétaire et un renforcement de la monnaie seraient extrêmement préjudiciables aux pays périphériques de la région, qui sont contraints de procéder à un assainissement budgétaire.
Les stratèges de Bankhaus Metzler estiment que la période de l'euro fort touchera bientôt à sa fin. De leur point de vue, dans un avenir proche, l'EUR/USD a encore une chance de monter jusqu'au niveau de résistance de 1,4580 $, mais ensuite, dans les trois prochains mois, il corrigera vers le bas à 1,38/35 $.
Les analystes de JPMorgan estiment que si l'euro ne parvient pas à franchir le niveau de 1,45 dollar, le taux de change diminuera à court terme. Les experts conseillent d'acheter la monnaie unique à la baisse.
Le dollar semble de moins en moins attractif dans un contexte où l'on s'attend à une politique monétaire souple de la part de la Réserve fédérale /Federal Reserve/, alors même que l'Europe tente de résoudre ses propres problèmes financiers et économiques.
> "Le principal problème est la faiblesse du dollar", déclare Andrew Wilkinson, analyste en chef du marché chez Interactive Brokers dans le Connecticut. Entre-temps, M. Wilkinson admet qu'il est "déconcerté" par la résistance de l'euro.
New York FX : Les problèmes de la dette souveraine sont passés au second plan - l'euro est de nouveau sur la bonne voie
États-Unis : les demandes d'allocations chômage ont augmenté de 27 000 pour atteindre 412 000, ce qui est supérieur aux prévisions.
États-Unis : mars, PPI +0,7%, PPI net +0,3%.
BCE, Wellink : le défaut de paiement aura de graves conséquences
UE, Wren : l'économie européenne est trop faible pour reporter la restructuration de la dette grecque
Allemagne : le yuan pourrait être ajouté au panier de DTS de l'IFAC
Noda : le Japon surveillera de près les marchés des devises, si nécessaire, nous demanderons au B-7 de poursuivre ses interventions sur les marchés des changes.
Fed, Plosser : les taux pourraient être relevés dès 2011
Les rendements du Trésor américain augmentent de 4 points de base à 3,50 %.
Le S&P est resté essentiellement stable à 1315
Le pétrole a augmenté de 1,25 $ à 108,35 $ et l'or a clôturé près de son record à 1474 $.
L'EUR/USD a baissé dans les échanges européens, absorbant les stops sous le support à 1.4370/75 et dans la session américaine il récupérait en fait les points perdus. La paire a atteint un sommet de 1,4501, aidé en grande partie par l'achat à 1,44 par les investisseurs du Moyen-Orient. L'euro a néanmoins réussi à tester la résistance à 1,4520, suivie des barrières à 1,4530 et 1,4550.
L'USD/JPY s'est redressé après une courte chute sous 83.00. La hausse des rendements du Trésor américain ainsi que les déclarations du ministre japonais des Finances selon lesquelles le Japon continue de surveiller les taux de change ont fait grimper le quidam à 83,50, qui fait maintenant office de résistance.
Le rallye de l'AUD/USD a été aidé par un rebond du marché des matières premières et la paire a dépassé le niveau de 1,0550.
Le franc a perdu une partie de ses gains antérieurs, l'aversion pour le risque s'étant quelque peu atténuée. L'EUR/CHF a clôturé à 1,2933.
Les analystes de la Mizuho Corporate Bank estiment que la monnaie unique est surévaluée de près de 20 % par rapport au dollar américain. Cette conclusion est basée sur une comparaison du pouvoir d'achat du dollar et de l'euro.
Le 12 avril, l'euro a atteint son niveau maximal depuis janvier 2010, à 1,4520 dollar, s'écartant de 18 % de la parité de pouvoir d'achat.
Le 7 avril, la Banque centrale européenne a relevé ses taux d'intérêt pour la première fois depuis près de trois ans, afin de tenter de contenir la hausse de l'inflation. La banque souligne qu'une nouvelle hausse du coût du financement dans la zone euro au milieu de l'année est inévitable. Au cours du second semestre, les hausses de taux devraient s'arrêter en raison de la demande de taux plus bas de la part des pays périphériques endettés de la région. Mizuho rappelle également que le programme d'assouplissement quantitatif américain prendra fin à la fin du mois de juin, ce qui apportera un certain soutien à la devise américaine.
L'EUR/USD pourrait tomber en dessous de 1,40 $ selon les prévisions.