FOREX - Tendances, prévisions et implications (Episode 18 : août 2012) - page 218

 
Serg51:
Une balle est passée... et AGA... )))
 
Vizard:


)))

remplacer "jusqu'au bout" par "jusqu'au ciel".

 
Ishim:
Je vais probablement te quitter (tu n'es pas bon) (((.
 
emotraid:
J'ai fermé les sceaux à +... merde... mon ava magique ne va pas écrire sur les élans... il est temps d'aller sur mt5 et de sortir d'ici ))))))
 
emotraid:

Qu'a-t-il dit ? Je n'ai pas de traduction dans le terminal.
 
strangerr:

C'est trop tard, je l'ai déjà fait, ils ont dit que je suis un mauvais garçon, que je ne les laisse pas vendre et que je ne veux pas revenir.
 
Dimka-novitsek:
Et où se trouve probablement le point de pivot de la chute vers où nous allons ? Y aura-t-il une autre baisse de 30 points ?
 
lekhach:

Un effondrement est aussi une option, tant qu'il y a du mouvement...
 
Martingeil:

sur le dessus vous auriez dû vous installer sur le dessus , prenez Rabbit, ça montre bien les niveaux d'EVRAY

https://www.mql5.com/ru/code/10179


Nord.
 
dvs:
L'ancien président de la Banque centrale européenne, Jean-Claude Trichet, a déclaré qu'il croyait en la réussite de l'avenir de la monnaie unique européenne. Cet économiste réputé est également partisan d'une union bancaire et fiscale.

L'ancien patron de la BCE a déclaré que l'économie mondiale se trouve actuellement dans la troisième phase d'une crise - une crise de la dette souveraine. Elle a débuté à la fin de l'année 2009 et s'explique en partie par la volonté d'éviter une crise de l'économie réelle qui serait pire que la Grande Dépression de 1929.A la mi-2009, les mêmes sommes ont été dépensées des deux côtés de l'Atlantique pour éviter une dépression : environ 27% du PIB aux Etats-Unis et en Europe chacun sous forme de garanties, de recapitalisation des banques et de création de "bad banks" pour les titres toxiques.Ces mesures ont été prises afin d'éviter un effondrement du secteur financier. En réalité, cet argent n'a pas dû être versé car l'effondrement a été évité, mais les sommes étaient gigantesques, a noté l'ancien chef de l'agence.

M. Trichet a souligné que la crise de la dette souveraine n'est pas seulement une conséquence du renflouement des banques, mais aussi de l'incapacité chronique des gouvernements à respecter le pacte de stabilité et de croissance. Mais même si les gouvernements remplissaient les conditions du pacte dans les moindres détails, cela ne serait pas suffisant. Selon l'économiste, il manque un autre élément important : le contrôle de la politique économique et financière commune. Commentant la situation de la zone euro, il a déclaré que la situation est assez paradoxale. Si l'on prend la zone euro dans son ensemble, son déficit budgétaire ne représente que la moitié de celui du Japon, des États-Unis ou du Royaume-Uni. La balance des paiements de la zone euro est équilibrée, alors que celle des États-Unis est déséquilibrée. Dans son ensemble, la zone euro est donc dans l'excellente forme d'un grand pays industrialisé.

Le principal problème réside dans les déficiences de la gouvernance. Pour l'améliorer, un saut qualitatif est nécessaire, estime l'ancien chef de la BCE.

En ce qui concerne les mesures concrètes pour sauver la zone euro, J.-C. Trichet a déclaré : "Indépendamment du fonds de stabilité ESM, je vois trois pivots pour la future gouvernance économique dans la zone euro : premièrement, nous avons besoin d'un pacte de stabilité et de croissance renforcé. Deuxièmement, nous devons veiller à ce que les indicateurs de compétitivité et les déséquilibres au sein de l'union monétaire soient surveillés. Et troisièmement, nous avons besoin d'une union bancaire, c'est-à-dire d'une supervision au niveau de la zone euro, de la possibilité de recapitalisation directe et d'un fonds de garantie des dépôts".

Concernant les mesures supplémentaires visant à stabiliser les économies du bloc monétaire, J.-C. Trichet a également ajouté : "A titre exceptionnel, je propose le principe de la fédération économique et fiscale. Si des pays ne respectent pas les règles et les accords, mettant ainsi l'euro en danger, la communauté devrait être en mesure de leur imposer des conditions contraignantes."

M. Trichet est convaincu que la monnaie unique européenne survivra. "Cette monnaie a une résilience remarquable. Notez que la Suisse, un pays fort et bien géré, a fixé son franc précisément à l'euro", a-t-il déclaré.

En outre, selon l'ancien chef de la BCE, la Grèce restera dans l'union monétaire. "Je crois que cela correspond au souhait des Grecs eux-mêmes, du gouvernement grec, ainsi que des autres membres de la zone euro. Toutefois, tous les arrangements permettant à la Grèce de réduire ses dépenses doivent être mis en œuvre", a-t-il ajouté.


L'Union européenne a été créée pour qu'à la fin il y ait des ruines.