Pourquoi la distribution normale n'est-elle pas normale ? - page 10
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Je vous parie 5.000 dollars que cette affirmation est fausse ?
Eh bien oui, Sergei affirme de manière quelque peu audacieuse que les augmentations ont une signification statistique significative. C'est objectivement en dessous de la plinthe là.
Eh bien, oui, c'est un peu audacieux de la part de Sergei de dire qu'il y a une signification statistique significative aux incréments. C'est objectivement en dessous de la plinthe là.
Y a-t-il eu des études ? Il y a peut-être un lien vers un autre fil. J'aimerais vraiment comprendre quels modèles ont été testés et comment.à IlyaA
Je comprends que nous parlons de la relation entre les augmentations actuelles et les augmentations futures. Et je soupçonne fortement que l'ACF des premières lectures en sera la preuve, mais une valeur comme 0,4 (ou à peu près), pour ne pas dire plus, est discutable pour démontrer un tel avantage. Mais peut-être que Sergei a quelque chose de nouveau en tête. Et il y a eu beaucoup d'études, il est donc difficile de s'en souvenir en même temps.
PS: Et il y a une autre subtilité, la formule d'estimation de l'ACF n'est pas tout à fait adaptée à ces séries, de plus il est nécessaire d'estimer la fiabilité de l'ACF lui-même et des estimations d'erreurs pour chaque lag trouvé. Ce n'est pas si simple là-bas.
Pariez 5 000 $ que cette affirmation est fausse ?
Mettez-vous en doute l'autocorrélation de la volatilité ? Et c'est une relation entre des incréments de prix, bien que modulo.
Je crois comprendre qu'il s'agit de la relation entre les augmentations actuelles et les augmentations futures. Et je soupçonne fortement que la preuve sera l'ACF des premières lectures, mais une valeur comme 0,4 (ou à peu près), pour ne pas dire plus, est discutable pour démontrer un tel avantage. Mais peut-être que Sergei a quelque chose de nouveau en tête. Et il y a eu beaucoup de recherches, donc c'est difficile de s'en souvenir en même temps.
Par exemple, l'analyse des chandeliers utilise non seulement les incréments mais aussi les extrema de fermeture et le volume. Je me souviens qu'il y a un mois, il y avait un fil de discussion sur un EA basé sur l'analyse des chandeliers. Je pense que ça a commencé positivement. Mais je n'y ai pas pris part. Et je me demande si quelqu'un a étudié non seulement les prix de clôture mais aussi les autres caractéristiques des chandeliers dans leur ensemble.Par ailleurs, la somme de séries non stationnaires peut être stationnaire et avoir HP. De telles séries sont appelées séries cointégrées. Clive Granger a reçu un prix Nobel d'économie pour cela. Je ne l'ai pas vérifié moi-même, mais elite affirme par exemple que le taux de change du yen est cointégré avec l'indice des prix à la consommation (IPC). Plus précisément avec la différence entre les prix à la consommation aux États-Unis et au Japon http://monetarism.ru/cointegration.shtml.
à Avals
Non pas que je me mêle des querelles des autres :o), mais Sergei a clairement écrit : "Je peux citer autant de preuves que je veux de l'existence de dépendances statistiquement significatives entre les augmentations de prix". Vos arguments peuvent difficilement être reconnus comme des preuves pour ce cas, puisqu'on ne sait pas encore ce qui "arrive" directement aux incréments (les collègues n'ont rien démontré). Mais si l'on suppose que cette dépendance n'existe pas pour la "source" (c'est-à-dire directement l'objet de la recherche), il est plutôt étrange d'insister sur son existence. Eh bien, si nous supposons que la volatilité = RMS, la corrélation des premiers retards de la volatilité pour un certain nombre d'incréments avec des fenêtres assez longues (environ 500 échantillons) est approximativement de l'ordre de 0,114-0,2 (ce qui, pour le dire gentiment, est un peu hors de "présence").
à IlyaA
Je ne l'ai pas fait, mais je pense que non, c'est juste la nature de la chose. Par exemple, j'ai toujours été intéressé par (H+L)/2, car l'erreur de prédiction du "milieu" est quelque peu compensée par la gamme de prix "fluctuants" autour de ce même milieu.
Et j'aime ce genre de pression, l'essentiel étant que si Risk perd, il apprendra en retour comment battre le marché,
mais l'espérance de gain de Neutron dans ce pari est la même que celle de perdre.
Et tout dépend de l'honnêteté des parties en conflit, je pense que Neutron paiera en cas d'accord, mais qu'en est-il de Risk?
Donc si j'étais Neutron, je ne répondrais même pas à ça.
Êtes-vous un garant ?
Puis on va à la banque, on met 10 000 $ dans un coffre-fort.
Écrivez la réclamation de Neutron, et si je la réfute, je prends l'argent.
à IlyaA
Je comprends que nous parlons de la relation entre les augmentations actuelles et les augmentations futures. Et je soupçonne fortement que l'ACF des premières lectures en sera la preuve, mais une valeur comme 0,4 (ou à peu près), pour ne pas dire plus, est discutable pour démontrer un tel avantage. Mais peut-être que Sergei a quelque chose de nouveau en tête. Et il y a eu beaucoup d'études, il est donc difficile de s'en souvenir en même temps.
PS : Et il y a une autre subtilité, la formule d'estimation de l'ACF n'est pas tout à fait adaptée à ces séries, de plus il est nécessaire d'estimer la fiabilité de l'ACF lui-même et des estimations d'erreurs pour chaque lag trouvé. Ce n'est pas si simple là-bas.
Si nous examinons la corrélation entre les incréments adjacents, la corrélation est en effet très faible. Si vous prenez des "groupes" d'incréments, l'image commence à être très différente. Ne me demandez pas un calcul rigoureux, les conclusions sont purement personnelles et purement empiriques.
à Avals
Non pas que je me mêle des querelles des autres :o), mais Sergei a clairement écrit : "Je peux citer autant de preuves que je veux de l'existence de dépendances statistiquement significatives entre les augmentations de prix". Vos arguments peuvent difficilement être reconnus comme des preuves pour ce cas, puisqu'on ne sait pas encore ce qui "arrive" directement aux incréments (les collègues n'ont rien démontré). Mais si l'on suppose que cette dépendance n'existe pas pour la "source" (c'est-à-dire directement l'objet de la recherche), il est plutôt étrange d'insister sur son existence. Eh bien, si nous supposons que la volatilité = RMS, la corrélation des premiers retards de la volatilité pour un certain nombre d'incréments avec des fenêtres assez longues (environ 500 échantillons) est approximativement de l'ordre de 0,114-0,2 (ce qui, pour le dire gentiment, est un peu hors de la "présence").
Le fait que la volatilité soit autocorrélée a été prouvé par Robert Engle, qui a d'ailleurs reçu le prix Nobel d'économie la même année que Granger (2003). Principalement pour le modèle ARCH, qui est exactement basé sur l'autocorrélation de la variance. Qui est largement utilisé dans la gestion des risques. En bref http://www.dengi-info.com/archive/article.php?aid=312