Trading Quantitatif - page 29

 

Cours 3, partie 1 : Information et prix (microstructure des marchés financiers)


Cours 3, partie 1 : Information et prix (microstructure des marchés financiers)

Le professeur décrit trois grandes parties de la classe. La première partie se concentre sur la mise en place de modèles mathématiques pour représenter les aspects pertinents des marchés financiers, qui seront appliqués à des problèmes spécifiques. Cette partie vise à fournir une base théorique pour comprendre la dynamique du marché. La deuxième partie applique ces modèles pour étudier des questions spécifiques, telles que les coûts et les avantages de la fragmentation des marchés financiers et les interconnexions entre la liquidité et la politique des entreprises. En appliquant les modèles à des scénarios réels, les étudiants peuvent acquérir des connaissances pratiques sur le fonctionnement des marchés financiers. Enfin, la troisième partie du cours couvre des sujets spécifiques très pertinents pour les marchés financiers modernes mais non couverts dans le manuel. Ces sujets incluent les marchés numériques, le trading algorithmique et à haute fréquence, l'information publique et les problèmes liés aux bulles et à l'élevage sur les marchés financiers. Cette partie du cours vise à explorer les développements et les défis de pointe dans le domaine.

Le professeur commence alors à discuter de la relation entre l'information et les prix. Ils introduisent le premier modèle qui explore ces questions, en commençant par l'écart acheteur-vendeur qui résulte de décisions conscientes prises par les commerçants. La conférence se penche sur les raisons pour lesquelles les commerçants achètent ou vendent des actifs sur le marché et comment ces raisons peuvent ou non affecter la valorisation de l'actif.

La première raison discutée est de former un profil de risque unique à l'opérateur individuel. Les traders peuvent acheter ou vendre des actifs en fonction de leurs préférences personnelles en matière de risque, ce qui peut ne pas avoir d'impact direct sur la valorisation de l'actif. La deuxième raison est le financement de la liquidité, où les individus ont besoin d'accéder à des fonds liquides ou souhaitent investir des fonds excédentaires. Ce type de négociation n'affecte pas non plus la rentabilité ou les flux de trésorerie futurs de l'actif et ne modifie donc pas sa valorisation. Enfin, le conférencier souligne que la négociation basée sur les fondamentaux du marché, tels que l'état de l'économie et les facteurs externes, affecte la rentabilité et les flux de trésorerie futurs de l'actif et modifie ainsi sa valorisation.

L'exposé se concentre ensuite sur les différents types d'informations, en distinguant les informations publiques et privées, et leur impact sur la valorisation des actifs. Les informations publiques sont des informations qui sont disponibles pour tous les acteurs du marché et qui peuvent être comprises et évaluées de la même manière par tous. Elle peut conduire à une réévaluation de la valeur d'un actif sans générer de nouveaux désaccords entre les traders. D'autre part, les informations privées créent une asymétrie d'information parmi les commerçants, car les individus peuvent avoir accès à des informations spécifiques que d'autres ne possèdent pas. Ces informations privées peuvent entraîner des différences dans la perception qu'ont les traders de la valeur d'un actif en fonction de leur connaissance de facteurs spécifiques.

L'orateur explique comment l'information publique, dans les limites du paradigme économique classique, ne peut pas générer de nouveaux échanges mais peut conduire à la réévaluation de la valeur des actifs en incorporant des informations largement disponibles. Cependant, l'orateur souligne que les modèles avec des informations asymétriques sont censés démontrer pourquoi le délit d'initié est illégal et montrer ce qui se passerait s'il avait lieu sur les marchés.

L'interprétation académique de l'information privée est expliquée, affirmant que toute information, qu'elle soit publique ou privée, est en principe accessible à tous. Cependant, certains traders peuvent mieux analyser les informations et avoir une meilleure connaissance des fondamentaux des actions. La conférence explore le lien entre l'information et les prix, soulignant comment les prix coordonnent les informations provenant de différents individus pour permettre une allocation efficace dans la société. L'enseignant aborde également les différentes formes d'efficacité des marchés, y compris la faible efficacité, qui implique que les prix intègrent des informations historiques.

La conférence aborde ensuite les différents niveaux d'efficacité du marché et comment l'hypothèse des marchés efficaces implique que les prix doivent être efficaces à certains égards. La forme la plus forte d'efficacité, connue sous le nom de « forme forte », exige que les prix reflètent immédiatement toutes les informations publiques et privées. Cependant, cette notion crée des défis, tels que le «théorème de non-échange», car les commerçants disposant d'informations privées s'abstiendraient de négocier car tout désir de commerce deviendrait trop informatif et agirait comme un signal public, rendant tout commerce potentiel non rentable. De plus, si les prix étaient parfaitement efficients sous la forme forte, il n'y aurait aucune incitation pour les commerçants à acquérir des informations, car toute connaissance obtenue serait immédiatement incorporée dans les prix, rendant l'information inutile à acquérir.

La conférence traite des paradoxes de l'hypothèse du marché efficace, soulignant le manque d'explication de la volatilité des prix. L'hypothèse ne permet pas de comprendre clairement comment l'information est incorporée dans les prix, et elle ne parvient pas à expliquer trois phénomènes importants : la prime sur actions, la volatilité des prix et l'ampleur des mouvements du marché. Pour résoudre ces problèmes, la vidéo explique le concept de la valeur de marché d'un actif et présente deux approches pour l'examiner, y compris l'approche des flux de trésorerie actualisés, qui tient compte de l'attente des flux de trésorerie futurs.

L'orateur introduit le concept d'évaluation de marché, qui peut être calculée en prenant l'attente des flux de trésorerie futurs d'un actif et en les actualisant par un facteur d'actualisation qui tient compte de l'incertitude. Bien qu'il existe une valeur fondamentale objective pour un actif, les informations publiques peuvent ne pas intégrer pleinement toutes les informations privées, et les commerçants peuvent ne pas avoir une connaissance complète de la véritable valeur fondamentale. L'efficacité des prix des actifs en termes de reflet de l'évaluation du marché est déterminée par la mesure dans laquelle le prix s'aligne sur l'évaluation du marché. Si le prix est égal à la valorisation du marché, alors le prix est considéré comme semi-fort efficace. La conférence se termine en définissant l'innovation dans l'évaluation boursière comme une variable aléatoire du point de vue d'un investisseur.

Le présentateur décrit ensuite comment calculer l'espérance de l'innovation dans l'évaluation du marché. La formule consiste à prendre l'espérance de l'innovation dans la période suivante, qui peut être exprimée comme la valeur attendue de la valeur attendue de l'évaluation du marché dans la période suivante. En appliquant la loi des attentes itérées, l'attente imbriquée peut être simplifiée, ce qui fait que l'attente de l'innovation au cours de la période suivante est égale à l'attente actuelle de l'évaluation de marché moins la valeur attendue de l'évaluation de marché compte tenu des informations actuelles. Le présentateur note que si les prix sont efficaces, l'attente d'un changement de prix est nulle, indiquant que la meilleure estimation du prix futur de l'actif est le prix actuel.

Le conférencier explique que dans la forme semi-forte de l'efficience, le cours de l'action est considéré comme une martingale du point de vue des acteurs du marché. Cela signifie que bien que le prix puisse monter ou descendre, la meilleure estimation du prix futur est simplement le prix actuel. Cette implication de l'efficacité informationnelle est une hypothèse populaire faite dans la littérature sur l'évaluation des actifs. La section suivante du cours présentera un modèle particulier de négociation sous information asymétrique, en s'appuyant sur ces concepts fondamentaux.

Dans la section suivante du cours, le présentateur se penche sur un modèle spécifique de trading sous information asymétrique. Ce modèle vise à capturer la dynamique et les résultats qui surviennent lorsque les traders possèdent différents niveaux d'informations sur le marché et ses actifs.

Le conférencier commence par souligner l'importance de comprendre comment l'asymétrie de l'information affecte le comportement commercial et les résultats du marché. Sur les marchés financiers du monde réel, il est courant que certains commerçants aient accès à des informations privées que d'autres ne possèdent pas. Ce déséquilibre dans l'information peut influencer de manière significative les décisions et les stratégies adoptées par les acteurs du marché.

Le présentateur introduit le concept de sélection adverse, qui se produit lorsque des commerçants disposant d'informations privées participent de manière sélective au marché, ce qui entraîne des effets négatifs sur l'efficacité du marché. Les commerçants disposant d'informations supérieures peuvent choisir de négocier uniquement lorsqu'ils pensent avoir un avantage, tandis que les commerçants sans ces informations peuvent hésiter à s'engager dans des transactions en raison du risque accru de résultats défavorables.

Pour illustrer l'impact de la sélection adverse, l'enseignant donne l'exemple d'un marché avec deux types d'actifs : les actifs de haute qualité et les actifs de faible qualité. Les commerçants possèdent des informations privées sur la qualité des actifs, mais ces informations ne sont pas observables par les autres acteurs du marché. Par conséquent, les commerçants connaissant des actifs de haute qualité sont plus susceptibles de s'engager dans des transactions, tandis que ceux qui ne disposent pas de telles informations peuvent se retirer ou exiger des prix plus élevés pour leurs actifs. Cela conduit à une situation où le marché devient dominé par des actifs de faible qualité, car les commerçants informés ne sont pas disposés à négocier des actifs de haute qualité en raison du problème de sélection adverse.

Le conférencier discute ensuite des conséquences de la sélection adverse sur les spreads bid-ask. Comme les commerçants disposant d'informations privées négocient de manière sélective, ils créent un écart plus large entre les cours acheteur et vendeur. L'écart acheteur-vendeur reflète le coût des transactions et sert de compensation pour le risque associé à la sélection adverse. Dans un environnement d'information asymétrique, l'écart acheteur-vendeur s'élargit pour tenir compte de l'incertitude accrue à laquelle sont confrontés les commerçants qui manquent d'informations complètes sur les actifs.

Par ailleurs, l'enseignant introduit la notion de signalisation sur les marchés. La signalisation fait référence aux actions stratégiques prises par les commerçants pour révéler leurs informations privées à d'autres. En adoptant certains comportements ou transactions, les commerçants tentent de transmettre des informations sur la qualité ou la valeur de leurs actifs. Ce processus de signalisation aide à atténuer la sélection adverse et à améliorer l'efficacité du marché en réduisant l'asymétrie de l'information.

Le conférencier donne un exemple de signalisation par le choix du prix. Dans un marché avec deux types d'actifs, un vendeur avec un actif de haute qualité peut fixer un prix plus élevé pour signaler sa qualité, tandis qu'un vendeur avec un actif de faible qualité peut fixer un prix inférieur. En observant les prix fixés par les vendeurs, les acheteurs potentiels peuvent déduire des informations sur la qualité des actifs sous-jacents. Ce mécanisme de signalisation permet une meilleure allocation des actifs et réduit les effets néfastes de l'asymétrie d'information.

Pour explorer davantage la dynamique du commerce sous information asymétrique, le présentateur introduit le concept d'aléa moral. L'aléa moral survient lorsque des individus prennent des risques plus importants ou adoptent un comportement indésirable en raison d'un manque de responsabilité totale pour les conséquences. Sur les marchés financiers, l'aléa moral peut se manifester lorsque les traders possèdent des informations privées qui influencent leurs décisions commerciales.

Le conférencier souligne que la présence d'un aléa moral peut affecter les résultats et l'efficacité du marché. Les commerçants disposant d'informations privées peuvent être enclins à adopter des positions plus risquées ou à s'engager dans des activités qui exploitent leur avantage informationnel, ce qui peut entraîner des distorsions ou des inefficacités du marché. Comprendre les implications de l'aléa moral est essentiel pour concevoir des réglementations et des mécanismes de marché efficaces qui favorisent la transparence et des pratiques commerciales équitables.

Cette section du cours se concentre sur le trading sous information asymétrique, la sélection adverse, la signalisation et l'aléa moral. En étudiant ces concepts, les étudiants acquièrent un aperçu des complexités des marchés financiers du monde réel, où différents niveaux d'information parmi les commerçants peuvent avoir un impact significatif sur le comportement commercial et les résultats du marché.

  • 00:00:00 Le professeur décrit trois grandes parties de la classe. La première partie se concentrera sur la mise en place de modèles mathématiques pour représenter les aspects pertinents des marchés financiers, qui seront appliqués à des problèmes particuliers. La deuxième partie du cours appliquera ces modèles pour étudier des questions spécifiques, telles que les coûts et les avantages de la fragmentation des marchés financiers et les interconnexions entre la liquidité et la politique des entreprises. Enfin, la troisième partie du cours couvrira des sujets spécifiques qui sont très pertinents pour les marchés financiers modernes mais non couverts dans le manuel, tels que les marchés numériques, le trading algorithmique et à haute fréquence, l'information publique et les problèmes liés aux bulles et à l'élevage dans Marchés financiers. Le professeur commence ensuite à discuter de la relation entre l'information et les prix, en introduisant le premier modèle qui explore ces questions et l'écart acheteur-vendeur qui résulte des décisions conscientes des commerçants.

  • 00:05:00 Le conférencier discute des trois raisons pour lesquelles les traders peuvent acheter ou vendre des actifs sur le marché et comment ces raisons peuvent ou non affecter la valorisation de l'actif. La première raison est de former un profil de risque unique à l'opérateur individuel. La deuxième raison est le financement des liquidités, lorsqu'un individu a besoin d'accéder à des fonds liquides ou souhaite investir des fonds excédentaires. Ces deux raisons n'affectent pas la rentabilité ou les flux de trésorerie futurs de l'actif et ne modifient donc pas sa valorisation. La dernière raison du trading est basée sur les fondamentaux du marché, y compris l'état de l'économie, de l'industrie et d'autres facteurs externes. Ces fondamentaux affectent la rentabilité et les flux de trésorerie futurs de l'actif et modifient donc la valorisation de l'actif.

  • 00:10:00 Le conférencier aborde les différents types d'informations (publiques et privées) et leur impact sur la valorisation des actifs. La valeur d'un actif peut dépendre de l'accès des individus à différents types d'informations et de leur interprétation de ces informations. L'information publique peut être comprise et évaluée de la même manière par tous les investisseurs, conduisant à une réévaluation de la valeur d'un actif sans générer de nouveaux désaccords. Cependant, les informations privées peuvent conduire à la création de nouveaux accords, car les investisseurs peuvent avoir des perceptions différentes de la valeur d'un actif en fonction de leur connaissance de facteurs spécifiques.

  • 00:15:00 L'orateur discute des informations publiques et privées et de la manière dont elles affectent le commerce sur le marché. Alors que l'information publique ne peut pas générer de nouveaux échanges dans les limites du paradigme économique classique, l'information privée crée une asymétrie d'information entre les commerçants. Généralement, les informations privées sont supposées être des informations d'initiés, dont il est illégal de faire le commerce. Cependant, les modèles avec des informations asymétriques sont censés démontrer pourquoi le délit d'initié est illégal et montrer ce qui se passerait s'il se produisait sur les marchés.

  • 00:20:00 L'orateur explique l'interprétation académique de l'information privée, affirmant que toute information, qu'elle soit publique ou privée, est en principe accessible à tous. Cependant, certains traders analysent mieux les informations et disposent de meilleures informations sur les fondamentaux des actions. Ils expliquent comment l'information et les prix sont liés, et comment les prix coordonnent les informations provenant de différentes personnes pour permettre une répartition efficace dans la société. L'orateur évoque également les différentes formes d'efficience, dont la faible efficience, qui signifie que les prix intègrent des informations historiques.

  • 00:25:00 Le conférencier discute des différents niveaux d'efficacité du marché et comment l'hypothèse des marchés efficaces implique que les prix doivent être efficaces, au moins à certains égards. La forme la plus forte d'efficacité, la « forme forte », exige que les prix reflètent immédiatement toutes les informations publiques et privées. Cependant, cela crée des problèmes tels que le "théorème de non-échange" car si les commerçants ont des informations privées, ils ne commerceraient pas car tout désir de commerce devient trop informatif et agit comme un signal public et rend tout commerce potentiel non rentable. De plus, si les prix étaient efficaces pour une forme forte, il n'y aurait aucune incitation à acquérir des informations puisque toute connaissance obtenue par un commerçant serait immédiatement incorporée dans les prix, ce qui rendrait l'information inutile à acquérir.

  • 00:30:00 Le conférencier discute des paradoxes de l'hypothèse du marché efficace et du manque d'explication de la volatilité des prix. L'hypothèse n'explique pas comment l'information est incorporée dans les prix, et il y a trois problèmes inexpliqués : la prime d'équité, la volatilité des prix et l'ampleur des mouvements du marché. La vidéo poursuit en expliquant la valeur de marché d'un actif et deux approches pour l'examiner, y compris l'anticipation des flux de trésorerie futurs de l'approche des flux de trésorerie actualisés.

  • 00:35:00 L'orateur introduit le concept de valorisation boursière d'un actif, qui peut être calculée en prenant l'espérance des flux de trésorerie futurs de l'actif, actualisée par un facteur d'actualisation et un niveau d'incertitude. L'orateur note que s'il existe une valeur fondamentale objective d'un actif, les informations publiques peuvent ne pas intégrer toutes les informations privées, de sorte que les commerçants peuvent ne pas avoir une connaissance complète de la véritable valeur fondamentale. L'efficacité informationnelle du prix d'un actif est déterminée par la mesure dans laquelle le prix de l'actif reflète la valorisation du marché, c'est-à-dire que si le prix est égal à la valorisation du marché, le prix est semi-fortement efficace. Enfin, le conférencier définit l'innovation dans l'évaluation boursière et note qu'il s'agit d'une variable aléatoire du point de vue d'un investisseur.

  • 00:40:00 Le présentateur décrit comment calculer l'espérance de l'innovation dans l'évaluation du marché. Le premier terme de la formule est l'espérance de l'innovation dans la période suivante, qui peut être exprimée comme la valeur attendue de la valeur attendue de V dans la période suivante. En utilisant la loi des attentes itérées, l'attente imbriquée peut être simplifiée, de sorte que l'attente de l'innovation dans la période suivante est égale à l'attente actuelle de V moins la valeur attendue de V compte tenu des informations actuelles. Le présentateur note que si les prix sont efficaces, l'attente d'un changement de prix est nulle, ce qui signifie que notre meilleure estimation du prix futur de l'actif est donnée par notre prix actuel de l'actif.

  • 00:45:00 Le conférencier explique que sous la forme semi-forte, le cours de l'action est considéré comme une martingale du point de vue des acteurs du marché, ce qui signifie que même s'il peut monter ou descendre, la meilleure estimation du prix futur est le cours actuel prix. Il s'agit d'une implication populaire de l'efficacité informationnelle et d'une hypothèse couramment formulée dans la littérature sur l'évaluation des actifs. La section suivante présentera un modèle particulier de négociation sous information asymétrique.
Lecture 3, part 1: Information and Prices (Financial Markets Microstructure)
Lecture 3, part 1: Information and Prices (Financial Markets Microstructure)
  • 2020.07.29
  • www.youtube.com
Lecture 3, part 1: Information and PricesFinancial Markets Microstructure course (Masters in Economics, UCPH, Spring 2020)***Full course playlist: https://ww...
 

Cours 3, partie 2 : Modèle de Glosten-Milgrom (microstructure des marchés financiers)


Cours 3, partie 2 : Modèle de Glosten-Milgrom (microstructure des marchés financiers)

Dans cette section du cours, le conférencier met l'accent sur l'importance des modèles pour saisir les problèmes spécifiques présents sur les marchés financiers du monde réel. L'accent est mis sur le modèle Glosten-Milgrom, qui fournit des informations précieuses sur l'impact des problèmes d'information sur les prix et la liquidité du marché.

Le modèle Glosten-Milgrom s'articule autour d'un revendeur de longue date qui interagit avec deux types de commerçants : les spéculateurs informés en privé et les commerçants bruyants non informés. Le modèle suppose que les spéculateurs visent à maximiser leurs bénéfices attendus tout en dissimulant leurs informations privées, en utilisant des marchands de bruit comme couverture. D'autre part, les traders de bruit négocient avec des probabilités fixes en raison de besoins de liquidité ou de risque.

Le conférencier discute des hypothèses et du concept d'équilibre du modèle de Glosten-Milgrom. C'est un jeu statique avec des informations asymétriques, et le concept d'équilibre est un équilibre de base de Nash. Le concessionnaire fixe les prix d'offre et de demande pour maximiser les profits tout en s'assurant qu'il n'y a aucun profit pour lui-même. Les spéculateurs prennent des décisions en fonction de leurs gains attendus. La conférence pose des questions stimulantes concernant l'absence de spéculateurs non informés, la nécessité d'un revendeur dans le modèle et la volonté du revendeur de négocier avec des spéculateurs mieux informés.

Une analyse plus approfondie du modèle Glosten-Milgrom révèle que les prix sans profit du concessionnaire devraient être égaux aux évaluations attendues de l'actif, compte tenu de toutes les transactions et commandes pertinentes. Le conférencier explique comment les ordres d'achat et de vente des marchands de bruit et des spéculateurs, qui possèdent des informations sur la valeur réelle de l'actif, affectent le profit attendu des spéculateurs. La stratégie optimale pour les spéculateurs est décrite, en considérant différentes valeurs d'actifs par rapport aux prix vendeur et acheteur.

Le conférencier souligne également comment les ordres révèlent des informations sur la valorisation de l'actif. La probabilité d'un ordre d'achat d'un commerçant de bruit par rapport à un spéculateur est expliquée, les spéculateurs fournissant plus d'informations sur la valeur réelle de l'actif. L'espérance conditionnelle de la valeur de l'actif est élargie à l'aide de la loi de probabilité totale, permettant le calcul des prix vendeur et acheteur avec une plus grande précision.

En utilisant le modèle Glosten-Milgrom, il est confirmé que le prix vendeur sera supérieur au prix acheteur, conduisant à des prix de marché efficaces sous la forme semi-forte. Cependant, cette efficacité dépend de la compétitivité des concessionnaires et de l'absence de marge commerciale. Si les concessionnaires ont un pouvoir de marché, les prix s'écarteront de la juste valeur marchande de l'actif. La conférence comprend un exemple simple du modèle Glosten-Milgrom avec une valeur d'actif fondamentale binaire.

La conférence se penche sur la dérivation des prix vendeur et acheteur dans l'équilibre du modèle Glosten-Milgrom avec le commerce. Le calcul implique une prise en compte explicite de la répartition de la valeur des actifs, en tenant compte des ordres d'achat et de vente. Les prix ask et bid sont exprimés en fonction des paramètres du modèle, conduisant à un équilibre dans le modèle.

L'illiquidité et le calcul de l'écart coté sur le marché sont discutés, l'écart augmentant avec la probabilité d'une négociation informée et diminuant avec la présence de commerçants bruyants. La statique comparative montre comment le spread est influencé par le degré d'incertitude initial sur la valeur de l'actif. La conférence aborde également un cadre multi-période, où la valeur persistante des actifs et le flux commercial informatif contribuent à la découverte des prix au fil du temps.

Le modèle de Glosten-Milgrom est examiné plus en détail, soulignant que le prix à long terme d'un actif convergera vers sa véritable valeur fondamentale, indiquant une efficacité de forme forte au sein de ce modèle. Cependant, la vitesse de découverte des prix dépend de la proportion de commerçants informés, créant un compromis entre la découverte des prix et la liquidité sur le marché. Équilibrer ces aspects dans la conception du marché peut être difficile. La conférence reconnaît les limites telles que le modèle de concessionnaire centralisé et l'absence de compensation du marché, qui peuvent ne pas saisir pleinement la dynamique du marché réel.

Enfin, la conférence se termine en discutant du dernier inconvénient du modèle de Glosten-Milgrom, qui ne considère que la valeur fondamentale sans intégrer la spéculation ou la revente. Cette limitation signifie que les traders qui perçoivent un gain en achetant un actif à la valeur v ne tiennent pas compte de l'illiquidité potentielle lors de la vente de l'actif à l'avenir. Néanmoins, le modèle de Glosten-Milgrom reste un cadre flexible et simple pour comprendre l'impact de la sélection adverse sur les prix et répondre à des questions spécifiques sur le marché. Le modèle souligne également l'importance du noise trading dans le maintien de la liquidité du marché. Le chapitre se termine par des exercices sur le modèle de Glosten-Milgrom que les lecteurs intéressés pourront explorer.

  • 00:00:00 Dans cette section, l'importance des modèles pour capturer des problèmes spécifiques dans la réalité est mise en évidence avant de plonger dans le modèle Glosten-Milgrom, qui donne un aperçu de la façon dont les problèmes d'information affectent les prix et l'illiquidité des marchés. Le modèle implique un concessionnaire de longue durée qui interagit soit avec un commerçant informé en privé, soit avec un commerçant de bruit non informé qui peut soumettre un ordre de marché pour acheter ou vendre une unité de l'actif. Les traders informés sont classés comme spéculateurs, et ils choisissent leur ordre de marché pour maximiser le profit attendu tout en essayant de se cacher derrière des traders bruyants pour éviter de révéler leurs informations aux autres acteurs du marché.

  • 00:05:00 Dans cette section de la conférence, le modèle Glosten-Milgrom introduit le concept de marchands de bruit et leur comportement. Contrairement aux spéculateurs qui négocient en fonction de leur évaluation de l'actif, les noise traders achètent et vendent avec des probabilités fixes en raison de leurs besoins de liquidité ou de risque. Le modèle suppose que les concessionnaires sont neutres au risque, disposés à négocier une unité à chaque période et indiquent les prix auxquels ils sont prêts à acheter ou à vendre. Parce que les concessionnaires sont compétitifs, ils ne savent pas si le commerçant est un spéculateur ou un marchand de bruit, mais ils ont accès à des informations statistiques pour les identifier.

  • 00:10:00 Dans cette section de la conférence, le modèle Glosten-Milgrom est discuté dans le contexte de la microstructure des marchés financiers, en se concentrant spécifiquement sur le rôle des courtiers sur le marché. Le modèle suppose que les courtiers fournissent des liquidités en cotant à tout moment les cours acheteurs et vendeurs, et que ces cotations doivent être réalistes et significatives pour encourager le commerce. Le modèle suppose également qu'il existe un actif dont la valeur fondamentale est parfaitement connue des spéculateurs. Le résultat ultime de l'utilisation de ce modèle est de rendre les bénéfices des concessionnaires nuls et que les prix qu'ils proposent soient égaux à la valeur attendue de l'actif.

  • 00:15:00 Dans cette section, l'orateur décrit les hypothèses et le concept d'équilibre pour le jeu défini dans le modèle Glosten-Milgrom. Le jeu est un jeu statique avec des informations asymétriques, où le concept d'équilibre est un équilibre de Nash de base. La stratégie d'équilibre comprend les prix d'offre et de demande du concessionnaire qui doivent maximiser le profit, tout en ne rapportant aucun profit au teneur de marché, et la décision du spéculateur d'acheter ou de vendre, qui doit maximiser le gain espéré. L'orateur pose plusieurs questions aux téléspectateurs, telles que pourquoi il n'y a pas de spéculateurs non informés dans le modèle, pourquoi un revendeur est requis dans le modèle et pourquoi le revendeur est prêt à négocier avec des spéculateurs mieux informés.

  • 00:20:00 Dans cette section, le modèle Glosten-Milgrom est analysé, en commençant par quelques-uns des faits qui ont déjà été discutés. Les prix sans profit pour le concessionnaire doivent être égaux aux valorisations attendues de l'actif, à condition d'observer toutes les transactions et tous les ordres pertinents. Pour les traders de bruit, qui négocient au hasard et ont des ordres d'achat ou de vente non corrélés avec la valeur de v, les événements conditionnants ne sont pas pertinents, mais pour les spéculateurs, qui connaissent la véritable valeur fondamentale v, les ordres d'achat et de vente sont corrélés avec v. le profit espéré du spéculateur est donné par une expression appelée grand pi, et le spéculateur connaît v et observe les cotations du concessionnaire en et bt.

  • 00:25:00 Dans cette section de la conférence, le modèle Glosten-Milgrom est discuté dans le contexte de la microstructure des marchés financiers. La stratégie optimale pour un spéculateur est décrite - lorsque la valeur est supérieure au prix demandé, le spéculateur souhaite acheter, et lorsque la valeur est très faible, le spéculateur souhaite vendre. Le spéculateur ne ferait rien lorsque la valeur fondamentale de l'actif est à l'intérieur du spread. L'hypothèse selon laquelle le prix demandé est supérieur au prix acheteur est expliquée pour éviter l'arbitrage sur le marché. La situation du concessionnaire parfaitement concurrentiel est également discutée, où le concessionnaire doit faire un profit nul. Les conditions d'équilibre consistent en des conditions de profit nul pour le concessionnaire et la stratégie du spéculateur sigma t étant optimale.

  • 00:30:00 Dans cette section de la conférence, l'orateur explique comment les ordres révèlent des informations sur la valorisation d'un actif. La probabilité qu'un ordre d'achat vienne d'un négociant de bruit par rapport à un spéculateur est expliquée, ce dernier contenant plus d'informations sur la valeur réelle de l'actif. La loi de la probabilité totale est appliquée pour élargir l'espérance conditionnelle de la valeur de l'actif, ce qui permet le calcul du prix demandé. La distinction entre les marchands de bruit et les spéculateurs est importante car elle révèle plus d'informations sur la valeur réelle de l'actif, qui peuvent être utilisées pour calculer les prix avec plus de précision.

  • 00:35:00 Dans cette section, le conférencier discute du modèle Glosten-Milgrom pour la microstructure des marchés financiers. Le modèle représente une tentative de comprendre l'écart acheteur-vendeur en examinant le comportement des commerçants informés et non informés. Le conférencier explique la probabilité d'observer un acheteur d'un marchand de bruit et un acheteur d'un spéculateur, compte tenu de la probabilité conditionnelle d'observer un ordre d'achat. Il note que la valeur attendue de l'actif sera supérieure à la valorisation attendue ex-ante, éliminant les valeurs les plus basses. L'analyse est effectuée de manière similaire pour les ordres de vente, et dans ce cas, le cours acheteur sera inférieur à la valorisation attendue ex-ante de l'actif. En effet, le modèle conditionne sur le fait, avec une certaine probabilité, que la valeur de l'actif est inférieure à sa valeur actuelle.

  • 00:40:00 Dans cette section, le modèle Glosten-Milgrom est utilisé pour confirmer que le prix demandé sera supérieur au prix acheteur et que le prix du marché sera effectivement efficace sous sa forme semi-forte. Cela signifie que les prix s'écarteront de l'évaluation ex ante de l'actif, mais ils seront efficaces en fonction de l'information publique et des commandes passées. Cependant, l'efficacité du prix de marché tient au fait que les concessionnaires sont compétitifs et n'obtiennent aucune marge commerciale. Si les concessionnaires ont un pouvoir de marché, les prix s'écarteront de la juste valeur marchande de l'actif. La conférence comprend également un exemple simple d'un modèle de Glosten-Milgrom dans lequel la valeur fondamentale de l'actif est binaire et la probabilité a priori que la valeur de l'actif est élevée est égale à thêta.

  • 00:45:00 Dans cette section, l'accent est mis sur la dérivation des prix vendeur et acheteur fixés par les concessionnaires dans l'équilibre du modèle Glosten-Milgrom avec le commerce. L'hypothèse est faite que le spéculateur voudra acheter et vendre à des moments différents, ce qui signifie que le prix acheteur est supérieur à vl et que le prix vendeur est inférieur à vh. Pour trouver les prix vendeur et acheteur produits par les conditions d'équilibre, la distribution de V est explicitement calculée, conditionnellement aux ordres d'achat et de vente. La méthode utilisée dans cette solution diffère de celle utilisée dans les diapositives, et elle calcule explicitement la distribution de V, compte tenu de la nature binaire de la distribution.

  • 00:50:00 Dans cette section, l'orateur explique comment calculer les prix ask et bid dans le modèle Glosten-Milgrom. Le cours vendeur est la probabilité conditionnelle que la valeur de l'actif soit élevée étant donné qu'un ordre d'achat est observé, multipliée par la valeur de l'actif élevée, plus 1 moins la probabilité multipliée par la valeur de l'actif faible. De même, le cours acheteur est la valeur inconditionnelle de l'actif moins un terme représentant l'information contenue dans l'ordre de vente. Ces prix sont dérivés à l'aide des paramètres pi, bêta b et thêta, et après avoir vérifié la condition selon laquelle les valeurs d'actif élevées et basses sont en dehors de l'écart, l'orateur conclut que les prix calculés représentent un équilibre dans le modèle.

  • 00:55:00 Dans cette section de la conférence, l'accent est mis sur l'illiquidité et sur la façon dont l'écart coté sur le marché peut être calculé en utilisant la différence entre deux prix. L'écart augmente avec la probabilité d'un trading informé, ce qui signifie qu'un trade donné sera plus informatif. En revanche, plus la somme des noise traders est élevée, plus le spread est faible. La statique comparative montre que l'écart augmente dans le degré d'incertitude initial sur la valeur de l'actif. La conférence couvre également un cadre multi-période, où la valeur de l'actif est persistante et le flux commercial est informatif, conduisant à la découverte des prix au fil du temps.

  • 01:00:00 Dans cette section, le modèle de Glosten-Milgrom est discuté plus en détail et il est noté que le prix à long terme d'un actif convergera vers sa véritable valeur fondamentale, indiquant une forte efficacité de forme dans ce modèle. Cependant, la vitesse de découverte des prix dépend de la part des commerçants informés, ce qui signifie qu'il existe un compromis entre la découverte des prix et la liquidité sur le marché. Il est important d'équilibrer ces aspects dans la conception du marché, mais cela peut être un problème difficile. Le modèle présente certaines limites, notamment son modèle de concessionnaire centralisé et l'absence de compensation du marché, qui peuvent ne pas refléter avec précision la dynamique du marché dans le monde réel.

  • 01:05:00 Dans cette section, nous découvrons le dernier inconvénient du modèle Glosten-Milgrom : seule la valeur fondamentale compte pour les décisions des commerçants, sans spéculation ni revente prises en compte. Cela signifie que les traders qui achètent un actif avec un gain perçu de v n'envisagent pas la possibilité de souffrir d'illiquidité lors de la vente de l'actif à l'avenir. Cependant, Glosten-Milgrom reste un modèle flexible et simple pour comprendre l'impact de la sélection adverse sur les prix et pour tenir compte des différentes questions spécifiques du marché. Le modèle souligne également l'importance du trading de bruit pour maintenir la liquidité du marché. Enfin, le chapitre contient des exercices sur le modèle de Glosten-Milgrom pour les lecteurs intéressés.
Lecture 3, part 2: Glosten-Milgrom Model (Financial Markets Microstructure)
Lecture 3, part 2: Glosten-Milgrom Model (Financial Markets Microstructure)
  • 2020.07.29
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Lecture 3, part 2: Glosten-Milgrom ModelFinancial Markets Microstructure course (Masters in Economics, UCPH, Spring 2020)***Full course playlist: https://www...
 

Conférence 4 : Déterminants de la liquidité (microstructure des marchés financiers)


Conférence 4 : Déterminants de la liquidité (microstructure des marchés financiers)

La vidéo traite de deux facteurs qui peuvent générer des écarts acheteur-vendeur sur les marchés des concessionnaires. Le premier facteur pris en compte est l'impact des coûts de traitement des commandes sur le spread. Le conférencier explique que les concessionnaires du marché ont divers coûts à gérer, tels que les frais de négociation, les frais de compensation et de règlement, le loyer des bureaux et les frais de recherche et d'analyse. Ces coûts, ainsi que tous les bénéfices supplémentaires que les revendeurs peuvent recevoir, sont finalement supportés par les commerçants qui négocient avec eux, affectant ainsi le spread. Le conférencier souligne l'importance de démêler empiriquement ces coûts pour comprendre leurs effets sur la liquidité du marché et la découverte des prix.

Le deuxième facteur discuté est le modèle Glosten-Milgrom et comment le coût de transaction d'un concessionnaire affecte les cours acheteurs et vendeurs sur le marché. Dans ce modèle, seuls les spéculateurs disposent d'informations sur la valeur fondamentale d'un actif, tandis que les autres acteurs du marché disposent d'informations limitées représentées par omega_t. Le marché évalue un actif à mu_t, qui est l'espérance conditionnelle de la valeur fondamentale compte tenu de l'information publique. Le cours vendeur est déterminé comme la valorisation du marché au début de la période t plus le demi-écart plus le coût de transaction du courtier (gamma), tandis que le cours acheteur est calculé comme la valorisation du marché moins le demi-écart moins le gamma. Par conséquent, l'écart est prolongé par le coût de transaction, et l'écart global comprend deux composantes : les coûts de transaction et les coûts de sélection adverse.

La vidéo met en évidence le défi de déterminer la partie de l'écart de cotation qui découle des coûts de commande par rapport aux coûts de sélection adverse lors de l'examen d'une seule paire de cotations. Cependant, en observant la dynamique des cotations dans le temps, il devient possible de déduire cette information. Les effets de ces coûts sur les prix diffèrent par leur impact dynamique. Le conférencier présente une équation qui démontre comment le prix réalisé payé par un commerçant est centré sur la valeur exacte du marché plus la direction du commerce multipliée par la moitié de l'écart, plus ou moins les coûts de la commande. L'impact dynamique des coûts d'ordre diffère de celui des coûts d'antisélection, l'écart du prix par rapport à l'évaluation de marché ex ante étant donné par le spread réalisé plus la composante d'ordre de transaction. La vidéo traite également du calcul du prix futur attendu.

L'impact à long terme du commerce sur les prix est ensuite examiné en analysant les composants de sélection adverse et de traitement des commandes des demi-écarts. L'anticipation des prix futurs est approximée comme l'évaluation du marché ex ante moins un. Bien que le terme de sélection adverse ait un effet permanent et modifie les prix dans la direction respective, les transactions futures fournissant plus d'informations et modifiant davantage les prix, les coûts de traitement des commandes ne font qu'élargir l'écart et n'ont aucun effet à long terme sur l'évolution des prix moyens. . Les transactions futures inversent l'impact des coûts de traitement des commandes, tandis que le terme de sélection adverse reste plus permanent, entraînant un déplacement permanent des prix dans la direction respective.

La vidéo explore en outre l'effet de la sélection adverse par rapport aux coûts de traitement des commandes sur l'évaluation du marché. La sélection adverse a un effet permanent sur les valorisations futures du marché en les déplaçant en fonction de la composante de sélection adverse pertinente. En revanche, les coûts de traitement des commandes ne font qu'élargir l'écart sans exercer d'impact durable sur les prix moyens. Passant au modèle de Stahl de 1978, la vidéo suggère que les coûts d'inventaire des concessionnaires peuvent être responsables de l'illiquidité du marché ou des écarts acheteur-vendeur. Les concessionnaires sont tenus de conserver des stocks pendant un certain temps, et si le prix de l'actif change pendant cette période, cela peut devenir coûteux pour les concessionnaires. Par conséquent, les concessionnaires peuvent exiger une prime pour détenir des positions positives ou négatives sur l'actif. Le modèle repose sur l'hypothèse d'aversion au risque chez les concessionnaires.

La vidéo explique ensuite comment les teneurs de marché ou les concessionnaires soumettent leurs calendriers de demande concurrentiels ou leurs calendriers d'approvisionnement. Ces barèmes fournissent des prix distincts pour tout montant donné qu'un commerçant pourrait vouloir acheter ou vendre, formant essentiellement un carnet d'ordres à cours limité rempli exclusivement par le concessionnaire. Le modèle se concentre sur la dérivation des calendriers de l'offre et de la demande, en supposant qu'il n'y a pas de commerçants informés et uniquement des commerçants bruyants. Les informations surgissent sur le marché par le biais d'annonces publiques, qui peuvent modifier l'évaluation de tous les agents sur le marché, introduisant ainsi le risque de changement d'évaluation. Le conférencier note que s'il est naturel de supposer que les concessionnaires sont intrinsèquement averses au risque, l'aversion au risque survient de manière instrumentale en raison de la réglementation. Si les courtiers sont tenus par des exigences réglementaires de maintenir des positions ou des marges données, ils ne peuvent pas prendre de positions importantes sur un actif donné, se comportant comme s'ils étaient averses au risque.

Ensuite, le conférencier explique un modèle dans lequel les concessionnaires du marché détiennent des positions qu'ils ont acquises au cours d'une seule période et ne peuvent les dénouer qu'au cours de la période suivante lorsque la valeur fondamentale a changé. Les concessionnaires doivent acheter ou vendre l'actif aujourd'hui, puis le vendre ou l'acheter plus tard, respectivement. Cependant, ils ne sont pas confrontés à une illiquidité future car ils peuvent dénouer la position à la valeur exacte à laquelle ils l'ont achetée ou vendue. De plus, le modèle suppose la présence d'un seul concessionnaire concurrent ou d'un très grand nombre de concessionnaires, ce qui n'affecte pas l'argument. Un concessionnaire représentatif a une position initiale appelée « dotation » dans l'actif.

La vidéo traite en outre de la demande ou de l'offre d'actifs par un concessionnaire et de la manière dont le concessionnaire agit en tant que preneur de prix sur un marché concurrentiel. La décision du concessionnaire d'offrir ou de demander est motivée par le désir de maximiser l'utilité définie sur sa prochaine période de richesse, qui est une variable aléatoire perçue par le concessionnaire au temps t. La richesse du concessionnaire au début de la période t + 1 est déterminée par sa position d'actif future et ses avoirs en espèces, notés respectivement zt plus un et ct plus un. L'utilité est définie en fonction de cette richesse. L'algorithme de résolution de ce modèle est complexe et peut ne pas être intuitif.

L'hypothèse de concessionnaires concurrents est également discutée, ce qui est plus raisonnable s'il y a un million de concessionnaires sur le marché. Dans ce cas, aucun concessionnaire ne peut avoir un impact significatif sur les prix, et ils agissent tous comme des preneurs de prix, optimisant en fonction des calendriers de demande et d'offre établis par tous les autres concessionnaires du marché. Le problème de maximisation pour un concessionnaire donné consiste à décider de la quantité de l'unité à fournir compte tenu d'un prix fixe. Les préférences moyenne-variance des concessionnaires sont également considérées en termes d'espérance de richesse future. L'espérance de richesse future est déterminée par la position future de l'agent dans l'actif, tandis que la variance de la richesse future découle de la détention d'actifs car la valeur de la trésorerie est un actif sans risque dans ce modèle.

La vidéo présente ensuite l'algorithme permettant de dériver le programme d'approvisionnement d'un concessionnaire compte tenu d'un prix fixe. La fonction d'utilité du concessionnaire est utilisée pour obtenir la fonction d'offre d'actifs, qui est proportionnelle à la différence entre le prix et la cote médiane. La cote médiane représente le prix auquel le concessionnaire n'est pas disposé à fournir ou à acheter des unités de l'actif et dépend de la position initiale du concessionnaire dans l'actif. Une position initiale plus importante entraîne une cotation moyenne inférieure, ce qui entraîne une baisse des prix d'achat et de vente de l'actif.

La conférence se penche sur la façon dont la liquidité est affectée par l'aversion au risque d'un courtier et sa préférence pour l'écart type moyen. Plus l'aversion au risque du courtier est grande et plus la valorisation des actifs est volatile, moins le courtier est disposé à accepter des positions plus importantes. Cela se traduit par un barème de prix plus raide et un impact plus important sur les prix, ce qui conduit finalement à une profondeur de marché plus faible. L'orateur explique également comment la préférence du concessionnaire pour l'écart type moyen affecte sa volonté d'approvisionner le marché, la pente de la fonction déterminant la limite d'offre du concessionnaire.

Le conférencier décrit l'indifférence du concessionnaire à acheter et vendre un actif en fonction des rendements. Le seul scénario où le concessionnaire peut atteindre l'équilibre est lorsque la pente de la fonction est exactement nulle, ce qui signifie que le concessionnaire serait indifférent à acheter ou à vendre un actif à n'importe quel prix. Ce point d'équilibre crée un seul point de discontinuité déterminé par la position positive ou négative du croupier. Contrairement aux préférences moyenne-variance, ce modèle de préférence d'écart-type génère des spreads bid-ask comme mesures naturelles. Ces écarts représentent la distance entre les prix auxquels le concessionnaire est prêt à accepter une position positive et le prix auquel le concessionnaire est prêt à accepter une position négative sur l'actif. De plus, le modèle montre que les transactions de bruit aléatoire entrantes peuvent faire varier les prix, ce qui fait que le prix moyen s'écarte de la valeur attendue.

Les concessionnaires visent à maintenir une position neutre dans l'actif à moyen et à long terme. Cependant, cela n'est pas toujours possible et tout inventaire non nul peut entraîner un écart des prix par rapport à l'évaluation du marché. En tant que commerçant, on peut bénéficier de cette inefficacité des prix lorsqu'on rencontre un concessionnaire avec une position favorable. Cependant, si les termes de l'échange sont défavorables ou s'il est urgent d'acheter une quantité spécifique de l'actif, le commerçant peut rencontrer des difficultés. Néanmoins, à long terme, les prix convergeront vers le niveau efficace à mesure que les concessionnaires élimineront leurs stocks.

La vidéo se termine par la présentation d'un graphique qui démontre visuellement les effets de la sélection adverse, des coûts de traitement des commandes et des coûts d'inventaire sur l'évaluation du marché. La composante de sélection adverse a un effet permanent, entraînant des variations de prix à long terme. En revanche, la composante coût de traitement des commandes n'affecte que les prix courants et n'a pas d'impact sur les prix commerciaux attendus. La composante coût de contrôle des stocks a un effet à moyen terme sur les prix, qui s'estompe progressivement. Dans la prochaine conférence, l'orateur prévoit d'estimer l'importance de chaque mécanisme et leurs contributions empiriques à la propagation, en fournissant des exercices pertinents sur le risque d'inventaire à partir de la liste de lecture. D'un point de vue économique, les coûts de traitement des commandes sont considérés comme insignifiants par rapport à d'autres facteurs.

  • 00:00:00 La vidéo traite de deux facteurs qui peuvent générer un écart acheteur-vendeur sur les marchés des concessionnaires, à commencer par la prise en compte des coûts de traitement des commandes. Le conférencier explique que les courtiers d'un marché peuvent avoir une variété de coûts à gérer, tels que les frais de négociation, les frais de compensation et de règlement, le loyer des bureaux et les dépenses de recherche et d'analyse. Ces coûts, ainsi que tous les bénéfices supplémentaires que les revendeurs peuvent recevoir, se font au détriment des commerçants qui négocient avec eux, affectant ainsi le spread. Le conférencier souligne que ces coûts peuvent être démêlés empiriquement pour comprendre leurs effets sur la liquidité du marché et la découverte des prix.

  • 00:05:00 Le conférencier discute du modèle de Gloston Milgram et de la façon dont le coût de transaction d'un concessionnaire affecte les cours acheteurs et vendeurs sur le marché. Le modèle suppose que seuls les spéculateurs disposent d'informations sur la valeur fondamentale d'un actif, tandis que les autres acteurs du marché disposent d'informations limitées représentées par omega_t. Ainsi, le marché évalue un actif à mu_t, qui est l'espérance conditionnelle de la valeur fondamentale compte tenu de l'information publique. Le cours vendeur est la valorisation du marché au début de la période t plus le demi-écart plus le coût de transaction du courtier (gamma), tandis que le cours acheteur est la valorisation du marché au début de la période t moins le demi-écart moins le gamma. Par conséquent, l'écart est prolongé par le coût de transaction et l'écart global a deux composantes : les coûts de transaction et les coûts de sélection adverse.

  • 00: 10: 00 Nous apprenons qu'il est difficile de déterminer la partie d'un écart de cotation qui provient des coûts de commande par rapport aux coûts de sélection adverse lorsqu'on ne regarde qu'une seule paire de cotations. Cependant, en observant la dynamique des cotations dans le temps, nous pouvons déduire cette information. La différence entre les effets de ces coûts sur les prix réside dans leur impact dynamique. Une équation est fournie pour montrer comment le prix réalisé payé par un commerçant est centré sur la valeur exacte du marché plus la direction du commerce multipliée par la moitié de l'écart, plus ou moins les coûts de la commande. L'impact dynamique des coûts d'ordre diffère de celui des coûts d'antisélection, l'écart du prix par rapport à l'évaluation de marché ex ante étant donné par le spread réalisé plus la composante d'ordre de transaction. Le prix futur attendu est également discuté dans le calcul.

  • 00: 15: 00 Le conférencier discute de l'impact à long terme du commerce sur les prix en examinant les composants de sélection adverse et de traitement des commandes des demi-écarts. L'anticipation des prix futurs est approchée par l'évaluation du marché ex ante moins un. Bien que le terme de sélection adverse soit permanent et modifie les prix dans la direction respective, les transactions futures fournissant davantage d'informations et modifiant les prix, les coûts de traitement des commandes ne font qu'élargir l'écart mais n'ont aucun effet à long terme sur l'évolution des prix moyens. Ceci est inversé par les transactions futures, et le terme de sélection adverse est plus permanent, ce qui fait que les prix changent de manière permanente dans la direction respective.

  • 00:20:00 Le conférencier discute de l'effet de la sélection adverse par rapport aux coûts de traitement des commandes sur l'évaluation du marché. La sélection adverse a un effet permanent sur les valorisations futures du marché en les déplaçant de leur composante de sélection adverse pertinente, tandis que les coûts de traitement des commandes élargissent simplement l'écart, mais n'ont pas d'effet durable sur les prix moyens. Passant au modèle de Stahl de 1978, le conférencier suggère que les coûts d'inventaire des concessionnaires peuvent être responsables de l'illiquidité ou des écarts acheteur-vendeur. Les concessionnaires doivent conserver des stocks pendant un certain temps, ce qui peut devenir coûteux si le prix de l'actif change, de sorte que les concessionnaires peuvent exiger une prime pour détenir des positions positives ou négatives sur l'actif. Le modèle s'appuie fortement sur l'aversion au risque.

  • 00: 25: 00 Le conférencier explique comment les teneurs de marché ou les concessionnaires soumettent leurs programmes de demande concurrentiels ou leurs programmes d'approvisionnement. Ces barèmes prescrivent un prix distinct pour tout montant donné qu'un commerçant pourrait vouloir acheter ou vendre, et peuvent être considérés comme un carnet d'ordres à cours limité rempli exclusivement par le concessionnaire. Le modèle se concentre sur la dérivation du calendrier de l'offre et de la demande, sans hypothèse de commerçants informés, uniquement des commerçants bruyants. Les informations surgissent sur le marché par le biais d'annonces publiques qui modifieront l'évaluation de tous les agents sur le marché, entraînant ainsi le risque de changement d'évaluation. Le conférencier note que s'il est naturel de supposer que les concessionnaires sont intrinsèquement averses au risque, l'aversion au risque survient de manière instrumentale en raison de la réglementation. Si les courtiers sont tenus par des exigences réglementaires de maintenir des positions ou des marges données, ils ne peuvent pas prendre de positions importantes sur un actif donné, se comportant ainsi comme s'ils étaient averses au risque.

  • 00:30:00 Le conférencier explique un modèle dans lequel les concessionnaires du marché conservent les positions qu'ils ont acquises au cours d'une seule période et ne peuvent les retirer qu'au cours de la période suivante lorsque la valeur fondamentale a changé. Les courtiers doivent acheter ou vendre l'actif aujourd'hui, puis le vendre ou l'acheter plus tard, respectivement, mais ils ne souffrent pas d'illiquidité future car ils peuvent se dénouer à la valeur exacte à laquelle ils l'ont acheté ou vendu. De plus, le modèle suppose qu'il n'y a qu'un seul concessionnaire concurrent ou un très grand nombre d'entre eux, ce qui ne change pas l'argument. Un concessionnaire représentatif a une position initiale appelée « dotation » dans l'actif.

  • 00: 35: 00 Le conférencier discute de la demande ou de l'offre d'actifs par un concessionnaire et de la manière dont le concessionnaire agit en tant que preneur de prix sur un marché concurrentiel. La décision du concessionnaire d'offrir ou de demander est motivée par le désir de maximiser l'utilité définie sur sa prochaine période de richesse, une variable aléatoire perçue par le concessionnaire au temps t. La richesse du concessionnaire au début de la période t + 1 est déterminée par sa position d'actifs et ses avoirs en espèces futurs, notés respectivement zt plus un et ct plus un, et l'utilité est définie en fonction de cette richesse. L'algorithme de résolution de ce modèle est complexe et peut ne pas être intuitif.

  • 00:40:00 L'hypothèse de revendeurs compétitifs est discutée, ce qui est plus raisonnable s'il y a un million de revendeurs sur le marché. Dans ce cas, aucun concessionnaire ne peut influer sur les prix et ils agissent tous en tant que preneurs de prix, optimisant en fonction des calendriers de demande et d'offre établis par tous les autres concessionnaires du marché. Le problème de maximisation pour un concessionnaire donné consiste à décider de la quantité de l'unité à fournir compte tenu d'un prix fixe. Les préférences de variance moyenne des concessionnaires sont également discutées en termes d'espérance de richesse future. L'espérance de richesse future est donnée par la position future de l'agent dans l'actif, tandis que la variance de la richesse future provient de la détention d'actifs car la valeur de la trésorerie est un actif sans risque dans ce modèle.

  • 00: 45: 00 L'orateur discute de l'algorithme permettant de dériver le programme d'approvisionnement d'un concessionnaire en fonction d'un prix fixe. La fonction d'utilité du concessionnaire est utilisée pour obtenir la fonction d'offre d'actifs, qui est proportionnelle à la différence entre le prix et la cote médiane. La cote médiane, définie comme le prix auquel le concessionnaire n'est pas disposé à fournir ou à acheter des unités de l'actif, dépend de la position initiale du concessionnaire dans l'actif. Plus la position initiale est importante, plus la cote médiane est basse, ce qui entraîne une baisse des prix d'achat et de vente de l'actif.

  • 00: 50: 00 L'orateur explique comment la liquidité est affectée par l'aversion au risque d'un courtier et sa préférence pour l'écart type moyen. Plus l'aversion au risque du courtier est grande et plus la valorisation des actifs est volatile, moins le courtier est disposé à accepter des positions plus importantes, ce qui se traduit par un barème de prix plus raide et un impact sur les prix plus important conduisant à une profondeur de marché plus faible. L'orateur explique également comment la préférence du concessionnaire pour l'écart-type moyen affecte sa volonté d'approvisionner le marché et comment la pente de la fonction détermine la limite d'offre du concessionnaire.

  • 00: 55: 00 Le conférencier décrit l'indifférence du concessionnaire à acheter et à vendre un actif en fonction des rendements. Le seul scénario où le concessionnaire peut atteindre l'équilibre est lorsque la pente de la fonction est exactement nulle, ce qui signifie que le concessionnaire serait indifférent à acheter ou à vendre un actif à n'importe quel prix. Il en résulte un seul point de discontinuité déterminé par la position positive ou négative du concessionnaire. Contrairement aux préférences de variance moyenne, ce modèle de préférence d'écart-type génère des mesures naturelles de l'écart acheteur-vendeur, à savoir la distance entre les prix auxquels le concessionnaire est prêt à accepter une position positive et le prix auquel le concessionnaire est prêt à accepter une position positive. position négative sur l'actif. De plus, le modèle montre que les transactions de bruit aléatoire entrantes déplacent les prix et que le prix moyen s'écarte de la valeur attendue.

  • 01:00:00 Les concessionnaires visent à maintenir une position neutre sur l'actif à moyen et à long terme, mais cela n'est pas toujours possible, et tout inventaire non nul peut faire dévier les prix de la valorisation du marché. En tant que commerçant, vous pouvez bénéficier de cette inefficacité des prix si vous rencontrez un concessionnaire avec une position favorable pour vous, mais sinon, les termes de l'échange peuvent être défavorables, surtout si vous avez un besoin urgent d'acheter une quantité spécifique de l'actif. Cependant, à long terme, les prix convergeront vers le niveau efficace à mesure que les concessionnaires se débarrasseront de leurs stocks.

  • 01:05:00 L'orateur présente un graphique pour montrer visuellement les effets de la sélection adverse, du coût de traitement des commandes et du coût des stocks sur l'évaluation du marché. La composante de sélection adverse a un effet permanent et entraînera des variations de prix à long terme, tandis que la composante de coût de traitement des commandes n'affecte que les prix actuels et n'a aucun impact sur les prix commerciaux attendus. La composante coût de contrôle des stocks a un effet à moyen terme sur les prix, qui s'estompe progressivement. La semaine prochaine, le conférencier utilisera cette distinction pour estimer l'importance de chaque mécanisme et leurs contributions empiriques à la propagation. La liste de lecture du cours contient des exercices pertinents sur le risque d'inventaire, car les coûts de traitement des commandes sont insignifiants d'un point de vue économique.
Lecture 4: Determinants of Liquidity (Financial Markets Microstructure)
Lecture 4: Determinants of Liquidity (Financial Markets Microstructure)
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Cours 5, partie 1 : Déterminants de profondeur, modèle de Kyle (microstructure des marchés financiers)


Cours 5, partie 1 : Déterminants de profondeur, modèle de Kyle (microstructure des marchés financiers)

La conférence commence par discuter des déterminants de la profondeur du marché et de la manière dont la taille des échanges affecte les prix du marché, en s'appuyant sur la discussion de la conférence précédente sur les déterminants de la propagation. La principale question posée est de savoir pourquoi les traders doivent payer plus lorsqu'ils négocient de gros montants, les transactions plus importantes ayant généralement un écart plus important et éloignant le prix du niveau efficace, indiquant une profondeur de marché limitée.

La conférence présente le modèle de Kyle, qui est un modèle largement utilisé dans la littérature sur la microstructure des marchés financiers qui permet des tailles de transaction flexibles. Il est mentionné que la deuxième partie de la conférence couvrira l'estimation empirique des facteurs contribuant à la liquidité, y compris l'estimation de l'impact sur les prix, la profondeur et la proportion de transactions informées.

La vidéo explore les facteurs potentiels qui expliquent le phénomène de payer plus pour des transactions plus importantes, notamment la sélection adverse, le risque d'inventaire et les coûts de traitement des commandes. La sélection adverse et le risque d'inventaire sont considérés comme des explications valables de la profondeur limitée du marché, car les concessionnaires sont réticents à prendre des positions importantes en raison du risque associé et exigent des primes plus importantes de la part des commerçants. Cependant, la conférence fait la distinction entre les coûts payés aux concessionnaires et les coûts payés à la bourse lors de l'examen des coûts de traitement des commandes.

La relation entre le pouvoir de marché, la profondeur limitée du marché et les coûts découlant de la concurrence imparfaite des concessionnaires est également examinée. Les concessionnaires imparfaitement compétitifs peuvent établir des écarts plus larges et extraire le surplus des commerçants, ce qui entraîne des écarts plus importants pour une taille de transaction donnée par rapport aux concessionnaires parfaitement compétitifs. Cependant, il n'est pas clair si cette différence générée par la concurrence imparfaite serait plus grande ou plus petite pour les grandes tailles de commerce. De plus, la conférence reconnaît que les coûts de traitement des commandes peuvent augmenter ou diminuer dans l'expression par action selon que les commerçants paient des frais fixes ou des frais en pourcentage. La difficulté d'organiser, de compenser ou de régler des transactions importantes peut également entraîner des coûts de transaction plus élevés.

La conférence se concentre ensuite sur le modèle de Kyle, qui explique le lien entre la sélection adverse et la profondeur du marché. Il discute des hypothèses concernant le comportement des commerçants, en soulignant que les actions des commerçants et le fait qu'ils soient informés ou des commerçants bruyants peuvent affecter la valeur fondamentale de l'actif. Le conférencier explique les aspects clés du modèle Kyle, en particulier le rôle d'un spéculateur qui choisit stratégiquement la taille de sa commande pour minimiser l'impact sur les prix.

Les hypothèses faites dans le modèle de Kyle sont discutées, en les comparant au modèle de Stahl de la classe précédente. Dans le modèle de Kyle, les teneurs de marché sont supposés être neutres au risque et compétitifs, ne faisant aucun profit. Les concessionnaires observent uniquement le flux global du marché et ne peuvent pas faire la distinction entre les ordres spéculatifs et les ordres bruyants. Les commandes sont compensées par lots via une enchère par appel, plutôt qu'une enchère continue.

Le spéculateur du modèle Kyle a accès à la vraie valeur de l'actif et achète stratégiquement un certain nombre d'unités, visant un gain net. Le prix auquel la transaction sera compensée n'est pas explicitement observé par le spéculateur lors du choix du prix de l'ordre. Le marchand de bruit dans le modèle a une demande aléatoire, mais aucune information n'est transmise sur la valeur fondamentale.

Le conférencier explique le rôle des teneurs de marché dans le modèle Kyle, où ils ne font aucun profit et soumettent un barème de prix. Le prix du marché est déterminé par la taille de l'ordre des commerçants et la transaction est exécutée au prix du marché. Le modèle recherche l'équilibre, où la stratégie du spéculateur est basée sur la valeur fondamentale de l'actif. Le spéculateur est supposé utiliser une stratégie linéaire, le coefficient bêta déterminant son agressivité à réagir aux nouvelles du marché. Le teneur de marché connaît la stratégie du spéculateur, estime la valeur probable de l'actif à partir du flux d'ordres total et extrait la relation entre le flux d'ordres et la valeur de l'actif.

La conférence traite du coefficient d'impact sur les prix, lambda, et de son rôle dans la détermination de la stratégie du teneur de marché. Le coefficient est estimé comme le coefficient de régression de la taille du commerce (q) sur la valeur de l'actif (v), et il mesure la relation linéaire entre la taille du commerce et l'impact sur les prix. La vidéo explique l'équation de tarification linéaire et comment la distance entre le prix de transaction réalisé et l'évaluation du marché ex ante est linéairement liée à la taille de la transaction (q) avec le coefficient lambda. L'inverse de lambda sert de mesure de la profondeur du marché, indiquant combien d'échanges peuvent être effectués avant que le prix ne change d'un dollar.

La mesure de l'information véhiculée par la taille du commerce (q) dans le modèle de Kyle est également discutée. L'espérance de q représente l'information neutre, tandis que q moins l'espérance de q indique l'information véhiculée par la taille du commerce. Cette mesure peut être utilisée pour estimer la taille de la valeur fondamentale (v), une taille de transaction plus grande (q) suggérant une valeur plus grande (v). L'orateur présente une interprétation alternative du coefficient en normalisant toutes les variables par leurs écarts-types, ce qui facilite la compréhension de la corrélation entre la valeur fondamentale (v) et la taille du commerce (q). Le processus d'obtention des résultats à partir des diapositives à l'aide des fonctions de densité de probabilité conditionnelle (PDF) et de l'application de la règle de Bayes est brièvement décrit.

Le cours couvre la dérivation de la fonction de densité de probabilité (PDF) dans le modèle de Kyle en utilisant la règle de Bayes. Le PDF est obtenu en multipliant la probabilité d'une valeur donnée de la valeur fondamentale (v) et la probabilité d'une valeur donnée de la taille du commerce (q) étant donné v, divisée par la probabilité de q. Il est expliqué que les trois PDF (valeur fondamentale, taille du commerce compte tenu de la valeur fondamentale et taille du commerce) sont supposées être des distributions normales, et la conférence montre comment les exprimer en termes de moyenne et de variance.

La recherche de la stratégie de spéculation optimale dans le modèle de Kyle est discutée. L'équation de tarification linéaire est donnée au spéculateur, et elle est connectée à l'expression du profit du spéculateur, ce qui donne une expression quadratique du nombre d'unités échangées (x) avec un maximum unique. La conférence conclut que la stratégie de trading optimale pour le spéculateur est donnée par bêta multiplié par la différence entre la valeur fondamentale (v) et la valeur estimée (mu), où bêta est déterminé par 1 sur 2 fois lambda. Il est à noter que le modèle se concentre sur les stratégies linéaires et que d'autres équilibres avec des règles de tarification et des stratégies de négociation non linéaires ne sont pas explorés en raison de la complexité de calcul impliquée.

La conférence traite de la stratégie commerciale des spéculateurs dans le modèle de Kyle, soulignant que les spéculateurs s'attendent à réaliser un profit moyen positif. Les intermédiaires compétitifs et neutres au risque sur le marché ne font aucun profit, tandis que les marchands de bruit génèrent en moyenne des profits négatifs. Cependant, la conférence mentionne que le profit négatif des noise traders peut être compensé par des gains dans les portefeuilles à risque ou les besoins de liquidité, qui ne sont pas explicitement modélisés. Le modèle est considéré comme complet après avoir déduit la stratégie de tarification optimale du concessionnaire compte tenu de la stratégie de négociation des spéculateurs et résolu le problème de négociation des spéculateurs compte tenu de la stratégie de tarification du concessionnaire. Le paramètre d'agressivité (bêta) et le coefficient d'impact sur les prix (lambda) sont exprimés en termes de paramètres de modèle connus, le bêta étant plus élevé lorsque la valeur fondamentale de l'actif est moins volatile.

La vidéo se penche sur les facteurs qui affectent le profit d'un spéculateur par unité échangée et comment cela peut conduire à la nécessité de plus d'échanges pour compenser les faibles bénéfices. Lorsque le profit par unité n'est pas substantiel, la dépense et la perte marginales liées à l'augmentation de la taille des échanges et à la négociation à des prix plus défavorables sont relativement plus faibles. La profondeur du marché, déterminée par 2 fois l'écart type de la demande des commerçants bruyants (sigma u) divisé par l'écart type de la valeur fondamentale (sigma v), augmente avec moins de délits d'initiés et plus de commerce bruyant. Le profit de l'initié s'améliore à mesure que le nombre de marchands de bruit sur le marché augmente et que la valeur de l'actif devient plus volatile. Le cours couvre également le calcul de la variance résiduelle et sa dépendance à la taille du commerce (q).

Le cours aborde le concept de variance résiduelle, qui représente l'incertitude restant sur le marché concernant la valeur fondamentale après que toutes les informations contenues dans la taille de la transaction ont été prises en compte. La variance conditionnelle quantifie la quantité d'informations inconnues qui restent après la négociation, qui devrait être inférieure à l'incertitude initiale car la taille des transactions transmet des informations sur la valeur fondamentale. Dans le modèle de Kyle, le spéculateur d'initié révèle la moitié de ses informations et la profondeur globale du marché est limitée en raison du délit d'initié. Le modèle est décrit comme étant plus complet que le modèle Bloom-Milgram, car il permet d'explorer les effets de la taille du commerce. Contrairement au modèle Bloom-Milgram, le spéculateur du modèle Kyle n'est pas un preneur de prix.

Le conférencier met en évidence l'importance du modèle Kyle dans le cadre des marchés d'enchères groupées avec intermédiaire concessionnaire. Ce modèle permet aux commerçants de choisir la position souhaitée sur un barème de prix prédéterminé, qui influence le prix qu'ils recevront. La conférence mentionne des extensions potentielles du modèle pour incorporer la dynamique, plusieurs cycles de négociation, des enchères infinies et des initiés supplémentaires. Ces extensions introduisent plus de concurrence, une agressivité accrue et une plus grande liquidité, conduisant à la fois à la découverte des prix et à une plus grande liquidité du marché.

L'accent de la conférence se tourne vers les extensions du modèle de Kyle, en considérant des modèles dynamiques avec de multiples initiés et le rôle des concessionnaires en tant qu'intermédiaires. Il est reconnu que parvenir à la fois à la liquidité et à la découverte des prix peut être difficile en raison du fait que les spéculateurs préfèrent le pouvoir de marché et cherchent à éviter la concurrence. La conférence explore les conséquences de différentes hypothèses, telles que la concurrence imparfaite entre les concessionnaires, qui peut entraîner des marchés moins liquides et des inefficacités de tarification, ainsi que l'impact des teneurs de marché averses au risque, introduisant des problèmes d'inventaire dans le modèle. En fin de compte, le modèle de Kyle est présenté comme une base théorique plus avancée et efficace pour l'analyse de marché par rapport au modèle de Stahl.

Le conférencier conclut la discussion en soulignant que le modèle de Kyle fournit un cadre solide pour comprendre la dynamique du marché et analyser divers facteurs qui influencent la liquidité et la tarification du marché. La capacité du modèle à intégrer la taille des échanges et le comportement des différents acteurs du marché, tels que les spéculateurs, les intermédiaires et les marchands de bruit, offre des informations précieuses sur les scénarios de marché réels.

De plus, la conférence souligne que le modèle de Kyle peut être encore étendu pour aborder des dynamiques et des considérations plus complexes. Par exemple, l'incorporation de plusieurs initiés peut capter la présence de divers commerçants informés en concurrence sur le marché. De plus, l'introduction de la dynamique dans le modèle peut tenir compte des facteurs variant dans le temps et de l'évolution des conditions du marché sur plusieurs cycles de négociation. Ces extensions améliorent le réalisme du modèle et fournissent une compréhension plus complète des résultats du marché.

Le conférencier reconnaît également que parvenir à un équilibre entre l'apport de liquidités et la découverte des prix est une tâche difficile. Les spéculateurs, qui jouent un rôle crucial dans la fourniture de liquidités, ont tendance à préférer le pouvoir de marché et peuvent éviter la concurrence. Cette tension inhérente entre la liquidité et la découverte des prix nécessite une exploration et une analyse plus approfondies pour identifier les structures et les mécanismes de marché optimaux qui favorisent les deux objectifs.

En conclusion, le modèle de Kyle est un outil précieux pour étudier la microstructure du marché et comprendre les déterminants de la profondeur du marché, des prix et de la liquidité. Sa capacité à saisir l'impact de la taille des transactions, le comportement des acteurs du marché et le rôle des intermédiaires contribue à une analyse complète des marchés financiers. Avec le potentiel d'extensions et de raffinements, le modèle de Kyle continue d'être un cadre théorique important pour l'analyse de marché et une voie pour de futures recherches dans le domaine de l'économie financière.

  • 00:00:00 La conférence présente les déterminants de la profondeur du marché et comment la taille des transactions affecte les prix du marché, en s'appuyant sur la discussion de la conférence précédente sur les déterminants de la propagation. La conférence présente le modèle de Kyle, un modèle populaire dans la littérature sur la microstructure des marchés financiers qui permet des tailles de transaction flexibles. La conférence mentionne également la deuxième partie de la conférence, qui couvrira l'estimation empirique des facteurs contribuant à la liquidité, y compris l'estimation de l'impact et de la profondeur des prix et la proportion de transactions informées.

  • 00:05:00 La conférence explore la question de savoir pourquoi les commerçants doivent payer plus lorsqu'ils veulent négocier de gros montants. L'écart est généralement plus grand pour les transactions importantes et plus le prix s'éloigne du niveau efficace, qui est une définition de la profondeur limitée du marché. L'antisélection, le risque d'inventaire et les coûts de traitement des commandes sont autant de facteurs potentiels pouvant expliquer ce phénomène. La sélection adverse et le risque d'inventaire sont deux explications valables de la profondeur limitée du marché, car les positions importantes sont risquées pour les négociants et exigent des primes plus importantes de la part des négociants. Cependant, en ce qui concerne les coûts de traitement des commandes, la conférence divise la question en deux : les coûts que les commerçants paient aux concessionnaires et les coûts que les commerçants paient à la bourse.

  • 00: 10: 00 La vidéo traite de la relation entre le pouvoir du marché, la profondeur limitée du marché et les coûts résultant de la concurrence imparfaite des concessionnaires, ce qui peut leur permettre de fixer des écarts plus larges et d'extraire le surplus des commerçants. S'il est vrai que l'écart pour une taille de commerce donnée sera plus grand avec des concessionnaires imparfaitement compétitifs qu'il ne l'aurait été avec des concessionnaires parfaitement compétitifs, il n'est pas clair si cette différence générée par une concurrence imparfaite serait plus grande ou plus petite pour les grandes tailles de commerce. De plus, les coûts de traitement des commandes peuvent augmenter ou diminuer dans l'expression par action selon que les commerçants doivent payer une commission fixe ou une commission en pourcentage. Les transactions importantes peuvent également avoir des coûts de transaction plus élevés en raison de la difficulté d'organiser, de compenser ou de régler ces transactions. La vidéo présente ensuite le modèle de Kyle, qui explique comment la sélection adverse est liée à la profondeur du marché.

  • 00: 15: 00 Le conférencier discute des hypothèses impliquées dans le comportement des commerçants. Ils expliquent que le comportement des commerçants et le fait qu'ils soient des commerçants informés ou bruyants peuvent affecter la valeur fondamentale de l'actif. Ils discutent ensuite du modèle de Kyle, qui implique un spéculateur qui négocie en utilisant un ordre de marché spéculatif important. Le spéculateur choisira stratégiquement la taille de sa commande pour réduire l'impact sur les prix. Le conférencier explique ensuite les hypothèses formulées dans le modèle de Kyle et les compare au modèle de Stahl du dernier cours.

  • 00:20:00 Nous nous concentrons sur le modèle de Kyle, en particulier sur les teneurs de marché, qui sont neutres au risque et compétitifs, ce qui implique qu'ils ne feront aucun profit. Les concessionnaires n'observent que le flux global du marché au cours d'une période donnée et ne peuvent pas faire la distinction entre les ordres spéculatifs et les ordres bruyants. Les commandes sont compensées par lots, car nous avons une enchère par appel, et non une enchère continue dans laquelle les commandes sont accumulées sur une certaine période de temps. Les spéculateurs observent la vraie valeur de l'actif et achètent x unités, le gain net étant de v moins p. Il est important de noter que le prix auquel la transaction sera compensée n'est pas explicitement observé par le spéculateur lorsqu'il choisit le prix de son ordre. Le marchand de bruit dans ce modèle a une demande aléatoire, donnée par u, qui est également normale, sans qu'aucune information ne soit transmise sur la valeur fondamentale v.

  • 00: 25: 00 Le modèle de microstructure du marché de Kyle est expliqué, où les teneurs de marché ne font aucun profit et le prix prédéterminé du commerce est la valeur attendue de l'actif. Le courtier soumet le barème des prix, le prix du marché est déterminé par la taille de l'ordre des commerçants et la transaction est exécutée au prix du marché. Le modèle recherche également un équilibre dans lequel la stratégie du spéculateur est basée sur la valeur fondamentale de l'actif. Le spéculateur est supposé utiliser une stratégie linéaire avec un certain coefficient bêta, qui détermine l'agressivité avec laquelle il réagit aux nouvelles du marché. Le teneur de marché connaît la stratégie du spéculateur, extrait la relation entre le flux d'ordres et la valeur de l'actif et estime la valeur probable de l'actif à partir du flux d'ordres total.

  • 00:30:00 L'orateur discute du coefficient d'impact sur les prix et comment il détermine la stratégie du teneur de marché. Le coefficient lambda est estimé comme le coefficient de régression de q sur v, qui est déterminé par la covariance entre les deux variables d'intérêt divisée par la variance du régresseur q. L'équation d'impact sur les prix montre que la distance entre le prix de transaction réalisé et la valorisation exante du marché est linéaire dans la taille de la transaction avec le coefficient lambda. L'inverse de lambda est la mesure de la profondeur du marché, qui vous indique combien vous pouvez échanger avant que le prix ne change d'un dollar. De plus, l'orateur explique que dans leur version du modèle, si q est donné par une expression spécifique et que leurs deux variables aléatoires v et u sont conjointement normales, alors v conditionnel à q est normal avec une certaine espérance et variance.

  • 00: 35: 00 L'orateur discute de la mesure de l'information véhiculée par la taille du commerce q dans le modèle de Kyle. Il explique que l'attente de q est l'information neutre, tandis que q moins l'attente de q est la mesure de l'information véhiculée par la taille du commerce q. Cette mesure peut être utilisée pour déterminer la taille de v, avec un grand q indiquant un grand v. L'orateur propose également une autre façon d'interpréter le coefficient dans l'équation en normalisant toutes les variables par leurs écarts-types, ce qui facilite la compréhension de la corrélation entre v et q. De plus, l'orateur décrit brièvement comment obtenir le résultat des diapositives en utilisant des PDF conditionnels et en appliquant la règle de Bayes.

  • 00: 40: 00 Le conférencier explique comment dériver la fonction de densité de probabilité (PDF) dans le modèle de Kyle en utilisant la règle de Bayes. Il explique que le PDF est donné en multipliant la probabilité d'une valeur donnée de v et la probabilité d'une valeur donnée de q étant donné v, puis en divisant le résultat par la probabilité de q. Le conférencier déclare également que les trois PDF sont normaux et montre comment exprimer la distribution normale en termes de moyenne et de variance. Il conclut que le barème de prix est linéaire et trouve le coefficient d'impact sur les prix lambda en utilisant les variances de v et u et le bêta d'agressivité du commerçant.

  • 00:45:00 L'orateur discute de la recherche de la stratégie spéculative optimale. L'équation de tarification linéaire de mu plus lambda q est donnée au spéculateur, et celle-ci est connectée à l'expression du profit du spéculateur, ce qui donne une expression quadratique en x avec un maximum unique. La stratégie de trading optimale du spéculateur se révèle être bêta fois v moins mu, qui est donnée par 1 sur 2 lambdas. La restriction à la stratégie linéaire ne révèle qu'un seul équilibre ; par conséquent, d'autres équilibres avec des règles de tarification non linéaires et des stratégies de négociation non linéaires ne sont pas examinés pour une complexité de calcul plus considérable. L'orateur note également une ressemblance entre le problème du spéculateur et le problème du monopole dans l'organisation industrielle.

  • 00: 50: 00 Le conférencier discute de la stratégie commerciale des spéculateurs dans le modèle de Kyle, où un spéculateur s'attend toujours à réaliser un profit positif en moyenne. Les intermédiaires compétitifs et neutres au risque sur le marché ne gagnent toujours aucun profit, tandis que les marchands de bruit sont ceux qui perdent et génèrent des profits négatifs dans l'attente. Cependant, cette perte peut être compensée par les gains de portefeuille à risque ou la satisfaction de leurs besoins de liquidité, qui ne sont pas explicitement modélisés. Le modèle est fermé après avoir dérivé la stratégie de tarification optimale du concessionnaire compte tenu de la stratégie de négociation des spéculateurs, résolu le problème de négociation des spéculateurs compte tenu de la stratégie de tarification du concessionnaire et exprimé à la fois le bêta d'agressivité des commerçants et le coefficient d'impact sur les prix lambda en termes de paramètres de modèle connus. Le bêta est plus élevé lorsque la valeur fondamentale de l'actif est peu volatile, ce qui signifie que l'agressivité droite est augmentée lorsque le sigma v est petit.

  • 00: 55: 00 La vidéo discute des facteurs qui affectent le profit d'un spéculateur par unité négociée et comment cela conduit à la nécessité de plus de transactions pour compenser les faibles bénéfices. Lorsque le profit n'est pas très important, la dépense et la perte marginales liées à l'augmentation de la taille des échanges et à la négociation à des prix plus défavorables sont plus faibles. La profondeur du marché est déterminée par 2 sigma u sur sigma v, et elle augmente avec moins de délits d'initiés et plus de bruit. Le profit de l'initié s'améliore à mesure que le nombre de marchands de bruit sur le marché augmente et que la valeur de l'actif devient plus volatile. La variance résiduelle et sa condition sur q sont également calculées dans la vidéo.

  • 01:00:00 La variance résiduelle est discutée, c'est-à-dire l'incertitude qui subsiste sur le marché concernant la valeur fondamentale compte tenu de toutes les informations contenues dans la taille de la transaction. La variance conditionnelle nous indique combien nous ne savons toujours pas après la négociation, et ce sera évidemment moins qu'avant la négociation car la taille des transactions transmet certaines informations sur la valeur fondamentale. Dans le modèle de Kyle, c'est le spéculateur d'initié qui révèle exactement la moitié de ses informations, et dans l'ensemble, la profondeur du marché est limitée en raison du délit d'initié. Le modèle est plus riche que le modèle Bloom-Milgram et permet d'explorer les effets de la taille du commerce. Le spéculateur dans le modèle Kyle n'est pas un preneur de prix, comme dans le modèle Bloom-Milgram.

  • 01:05:00 Le conférencier discute du modèle Kyle, qui est un modèle précieux pour les marchés d'enchères par lots avec un courtier intermédiaire. Le modèle permet aux commerçants de choisir où ils veulent être sur un barème de prix prédéterminé et influence le prix qu'ils obtiendront. Le modèle peut être étendu pour ajouter de la dynamique, s'adapter à plusieurs cycles de négociation et à des enchères infinies, et ajouter plus d'initiés. L'ajout de plus d'initiés crée plus de concurrence, une agressivité accrue et plus de liquidité, conduisant à la fois à la découverte des prix et à une plus grande liquidité du marché.

  • 01:10:00 L'accent est mis sur les extensions du modèle de Kyle pour considérer à la fois les modèles dynamiques avec plusieurs initiés et le rôle des concessionnaires en tant qu'intermédiaires. Il est reconnu que parvenir à la fois à la liquidité et à la découverte des prix peut être difficile en raison du fait que les spéculateurs préfèrent avoir un pouvoir de marché et éviter la concurrence. Les conséquences de différentes hypothèses sont explorées, y compris la concurrence imparfaite entre les concessionnaires, entraînant des marchés moins liquides et des inefficacités dans la tarification, et l'impact des teneurs de marché averses au risque, qui introduit des problèmes d'inventaire dans le modèle. En fin de compte, il est suggéré que le modèle de Kyle est plus avancé que le modèle de Stall et peut fournir une base théorique efficace pour l'analyse du marché.
Lecture 5, part 1: Depth determinants, Kyle Model (Financial Markets Microstructure)
Lecture 5, part 1: Depth determinants, Kyle Model (Financial Markets Microstructure)
  • 2020.08.02
  • www.youtube.com
Lecture 5, part 1: Depth determinantsFinancial Markets Microstructure course (Masters in Economics, UCPH, Spring 2020)***Full course playlist: https://www.yo...
 

Conférence 5, partie 2 : Empirique de l'illiquidité (microstructure des marchés financiers)


Conférence 5, partie 2 : Empirique de l'illiquidité (microstructure des marchés financiers)

Au cours du cours, le professeur approfondit l'estimation de l'empirique de l'illiquidité en démêlant les contributions de divers facteurs théoriques à la liquidité du marché. Cette discussion s'appuie sur les discussions précédentes sur les mesures empiriques de la liquidité et les théories qui expliquent comment la liquidité est influencée par des facteurs tels que la sélection adverse, les coûts de commande et le risque d'inventaire.

Pour faciliter l'analyse, le professeur introduit une notation pour trois facteurs clés : lambda, qui représente la composante de sélection adverse du coefficient d'impact sur les prix ; bêta, qui se rapporte au coefficient d'impact sur les prix associé aux problèmes de risque d'inventaire ; et gamma, qui sert de composante fourre-tout pour la liquidité. Les données utilisées dans le processus d'estimation comprennent les prix des transactions, le flux net d'ordres sur le marché et le signe d'ordre. L'objectif est d'évaluer l'effet de la taille et du signe de l'ordre d'une transaction spécifique sur le marché global.

Ensuite, le conférencier explore l'estimation de l'effet d'une transaction donnée sur les prix des transactions futures sur les marchés financiers. Ils utilisent le modèle Gloston Milgram, qui intègre les coûts de traitement des commandes. Selon ce modèle, le prix de transaction est composé de la valorisation boursière et de la composante coût de traitement des commandes, qui dépend du sens des échanges. En prenant la première différence, on peut obtenir la variation de la valorisation boursière, reflétant la composante de sélection adverse qui intègre les informations de la transaction précédente. Le conférencier montre comment ces informations peuvent être utilisées pour estimer les prix des transactions futures, ce qui donne une expression qui ne contient aucun terme non observable, à l'exception du terme de bruit.

À l'avenir, le conférencier explique le processus d'estimation de la composante de sélection adverse et de la composante de coût de traitement des commandes séparément. L'estimation se fait en deux temps. La première étape consiste à constater que les coûts d'inventaire ou de traitement des commandes sont indépendants de la quantité échangée. Dans la deuxième étape, une régression est effectuée en considérant uniquement la direction des échanges et le volume des échanges. Le conférencier mentionne un document de recherche spécifique qui utilise des données de transaction de la Bourse de New York au début des années 1980, avertissant que le nombre d'observations dans ce document est limité.

En outre, les limites d'une procédure d'estimation en deux étapes utilisée dans un article particulier sont discutées. Cet article n'a estimé que deux facteurs contribuant à l'illiquidité tout en négligeant les coûts d'inventaire. Le conférencier souligne que la séparation des coûts d'inventaire des composants de sélection adverse pose des défis, ce qui rend impossible d'identifier les coefficients séparément. Le conférencier souligne ensuite que le flux d'ordres présente une autocorrélation et que l'introduction d'ordres fractionnés ajoute un degré positif d'autocorrélation à un flux d'ordres autrement non corrélé. Des chercheurs ultérieurs ont tenté d'estimer les trois composantes de la propagation à l'aide de cette spécification, ce qui a entraîné un processus autorégressif d'ordre un, qui modifie l'expression dans l'équation estimée.

L'orateur discute ensuite d'une étude dans laquelle les auteurs ont estimé une équation pour 20 actions majeures à la Bourse de New York. L'étude a révélé que l'autocorrélation du flux d'ordres est, en fait, négative plutôt que positive. Ils ont attribué cette conclusion à la tendance des concessionnaires à dénouer immédiatement tout stock qu'ils auraient pu accumuler, plutôt qu'à fractionner les commandes. L'étude a en outre déterminé que les coûts de commande représentent plus de 60 % de l'écart, soulignant l'importance des coûts de commande dans l'illiquidité. De plus, un tiers de l'écart est dû aux problèmes d'inventaire des concessionnaires, tandis que 10 % sont attribués à la composante de sélection adverse. L'étude a également révélé que la composante de sélection adverse est la plus forte le matin.

La conférence explore ensuite comment la sélection adverse et les problèmes d'inventaire sont équilibrés pendant les heures d'ouverture et de fermeture de la négociation. Le matin, le marché intègre toutes les informations accumulées des heures hors marché, y compris les nouvelles et les informations générées par les marchés du monde entier. Cela conduit à un besoin pour le marché d'assimiler rapidement une quantité importante d'informations, affectant les prix. Le soir, les traders visent à dénouer leurs positions avant la fin de la journée de négociation, ce qui a un impact significatif sur les cours de clôture. Cependant, cette inefficacité est rapidement résolue le matin grâce à des échanges après les heures de bureau qui ramènent les prix à la valeur de marché établie avant l'enchère de clôture.

De plus, le conférencier discute de deux articles qui évaluent l'impact des transactions sur les prix et l'étendue de la sélection adverse sur les marchés financiers. Le premier article se concentre sur l'estimation de la réponse impulsionnelle des prix aux transactions et trouve un effet à court terme significatif, mais un impact à long terme plus faible en raison des coûts de traitement des commandes. L'étude confirme l'hypothèse de l'antisélection, l'impact étant plus prononcé pour les titres moins liquides. Le deuxième article utilise un modèle pour estimer la probabilité d'un commerce informé, en supposant un processus d'arrivée des commerçants qui comprend à la fois des commerçants informés et non informés. Le modèle identifie une importante sélection adverse sur les marchés financiers.

L'orateur se penche ensuite sur l'estimation de la probabilité de négociation informée (PIN) à l'aide de données de la Bourse de New York couvrant la période de 1983 à 1998. PIN représente la probabilité qu'une transaction donnée provienne d'un commerçant informé. L'estimation révèle que la probabilité médiane de négociation éclairée sur les actifs et les actions est d'environ 19 %, 90 % des actions ayant une probabilité de négociation éclairée comprise entre 10 % et 30 %. Cependant, pour les 10 % d'actions restantes, en particulier celles à petite capitalisation et à négociation peu fréquente, la probabilité d'une négociation éclairée peut être beaucoup plus élevée. De plus, cette probabilité est positivement corrélée avec le spread et la volatilité des prix.

En outre, les conférenciers discutent de la manière dont la probabilité d'un trading informé a tendance à être plus élevée sur des marchés plus anonymes en raison de la difficulté d'acquérir une mauvaise réputation en tant que trader informé. Sur ces marchés, les commerçants informés sont plus enclins à s'engager dans le commerce, ce qui entraîne une illiquidité accrue. La section se termine par un résumé des sujets abordés dans le cours, soulignant l'importance des coûts d'ordre dans la détermination des coûts de liquidité. Cependant, les auteurs rappellent aux téléspectateurs que les coûts de commande englobent divers facteurs et que différentes composantes de la propagation peuvent avoir des explications distinctes.

Enfin, le présentateur mentionne un article de blog qui raconte un incident au cours duquel le prix du pétrole a chuté à des valeurs négatives au printemps 2020 en raison de contraintes sur les stocks physiques de stockage de pétrole. De plus, le présentateur recommande de se référer au chapitre 4 d'un manuel, qui fournit des variantes du modèle de Kyle et des exercices pour une pratique plus poussée. Enfin, un aperçu est donné pour l'accent de la semaine à venir, qui se concentre sur les différences entre les marchés des concessionnaires et les marchés des ordres limités, ainsi que sur la façon dont les commerçants et les régulateurs peuvent utiliser l'hétérogénéité pour obtenir les résultats souhaités.

  • 00:00:00 Le professeur discute de l'estimation de l'empirique de l'illiquidité en démêlant les contributions de divers facteurs théoriques à la liquidité du marché. La conférence s'appuie sur les discussions précédentes sur les mesures empiriques de la liquidité et les théories qui expliquent comment la liquidité est affectée par des facteurs tels que la sélection diversifiée, les coûts de commande et le risque d'inventaire. Le professeur introduit la notation pour trois facteurs : lambda, qui se rapporte à la composante de sélection adverse du coefficient d'impact sur les prix ; bêta, qui se rapporte au coefficient d'impact sur les prix lié aux problèmes de risque d'inventaire ; et gamma, une composante fourre-tout pour la liquidité. Les données utilisées comprennent les prix des transactions, le flux net d'ordres sur le marché et le signe de l'ordre. L'objectif est d'évaluer l'effet de la taille et du signe de l'ordre d'une transaction donnée sur le marché.

  • 00:05:00 Le conférencier explique comment estimer l'effet d'une transaction donnée sur les prix des transactions futures sur les marchés financiers. En utilisant le modèle Gloston Milgram avec les coûts de traitement des commandes, le prix de transaction est donné par la valorisation du marché plus la composante des coûts de traitement des commandes qui dépend de la direction des échanges. En prenant la première différence, la variation de l'évaluation de marché sera donnée par la composante de sélection adverse, qui intègre l'information contenue dans la transaction t moins une. Le conférencier explique comment ces informations peuvent être utilisées pour estimer les prix des transactions futures et montre l'expression résultante, qui ne contient aucun terme non observable à l'exception du terme de bruit.

  • 00:10:00 Le conférencier explique comment estimer deux composants séparément - le composant de sélection adverse, qui dépend de la direction du commerce actuel, et le composant de coût de traitement des commandes, qui dépend des changements de direction du commerce. L'enseignant explique comment l'estimation se déroule en deux étapes, en partant du constat que les coûts d'inventaire ou de traitement des commandes sont indépendants de la quantité échangée, puis en estimant une deuxième régression en ne regardant que le sens des échanges et le volume des échanges. L'article en discussion utilise des transactions de la Bourse de New York du début des années 1980, et le conférencier prévient que le nombre d'observations dans cet article est limité.

  • 00:15:00 Le conférencier discute des limites d'une procédure d'estimation en deux étapes utilisée dans un article qui n'estimait que deux facteurs sous-jacents à l'illiquidité, en ignorant les coûts d'inventaire. Ils expliquent que les coûts d'inventaire ne peuvent pas être facilement dissociés des composants d'antisélection, ce qui rend impossible d'identifier les coefficients séparément. Le conférencier poursuit en expliquant comment le flux d'ordres est autocorrélé, les ordres fractionnés ajoutant un certain degré positif d'autocorrélation à un flux d'ordres autrement non corrélé. Des chercheurs ultérieurs ont tenté d'estimer les trois composantes de la propagation à l'aide de cette spécification, ce qui a entraîné un processus autorégressif d'ordre un, qui, lorsqu'il est utilisé, modifie l'expression de notre équation estimée.

  • 00:20:00 L'orateur discute d'une étude dans laquelle les auteurs ont estimé une équation pour 20 actions majeures à la Bourse de New York et ont découvert que l'autocorrélation dans le flux d'ordres est négative, et non positive. Le principal moteur de l'autocorrélation des commandes n'est pas le fractionnement des commandes, mais plutôt le désir des concessionnaires de dénouer immédiatement tout inventaire avec lequel ils se sont retrouvés. L'étude a également révélé que les coûts de commande représentent plus de 60 % de l'écart, que l'illiquidité est principalement due aux coûts de commande et qu'un tiers de l'écart est dû aux problèmes d'inventaire des concessionnaires, tandis que 10 % de l'écart est dû aux effets négatifs élément de sélection. Enfin, l'étude a révélé que la composante de sélection adverse est la plus forte le matin.

  • 00:25:00 La conférence explique comment la sélection adverse et les problèmes d'inventaire sont équilibrés dans les heures d'ouverture et de fermeture de la négociation. Le matin, le marché révèle toutes les informations qui ont été accumulées pendant les heures hors marché. Les actions de nombreuses entreprises sont négociées ailleurs dans le monde, et il existe des nouvelles et des informations générées par les marchés du monde entier. Cela signifie qu'au moment où le marché s'ouvre, de nombreuses informations accumulées doivent être incorporées dans les prix. Le soir, les traders essaient de dénouer leurs positions vers la fin de la journée de trading, ce qui contribue de manière significative aux cours de clôture. Cependant, cette inefficacité est rapidement éliminée le matin lorsque les échanges après les heures de fermeture ramènent ces prix à la valeur marchande établie avant l'enchère de clôture.

  • 00:30:00 Le conférencier discute de deux articles qui évaluent l'impact des transactions sur les prix et l'ampleur de la sélection adverse sur les marchés financiers. Le premier article estime la réponse impulsionnelle des prix aux transactions et constate qu'il existe un effet à court terme qui peut être important, mais que l'impact à long terme est moindre en raison des coûts de traitement des commandes. L'impact est plus important pour les titres les moins liquides, confirmant l'hypothèse de sélection adverse. Le deuxième article utilise un modèle pour estimer la probabilité d'un commerce informé et suppose un processus d'arrivée des commerçants qui comprend des commerçants informés et non informés. Le modèle constate que la sélection adverse est importante sur les marchés financiers.

  • 00:35:00 L'orateur explique comment ils estiment la probabilité d'un commerce informé à l'aide des données du NYSE de 1983 à 1998. La probabilité de négociation informée (PIN) est la probabilité qu'une transaction donnée provienne d'un commerçant informé. Ils estiment que la probabilité médiane de négociation éclairée sur les actifs et les actions est d'environ 19 %, 90 % des actions ayant une probabilité de négociation éclairée comprise entre 10 % et 30 %. Cependant, pour les 10 % d'actions restantes, en particulier les actions à petite capitalisation qui ne sont pas fréquemment négociées, la probabilité d'une négociation éclairée peut être beaucoup plus grande et est positivement corrélée à l'écart et à la volatilité des prix.

  • 00:40:00 Les orateurs discutent de la probabilité d'un trading informé et de la façon dont elle est plus élevée sur des marchés plus anonymes car il est plus difficile d'acquérir une mauvaise réputation en tant que trader informé. La réputation peut entraîner des prix défavorables pour les commerçants. Les auteurs ont constaté que les commerçants informés sont plus enthousiastes à l'idée de négocier sur des marchés plus anonymes, ce qui rend ces marchés plus illiquides en raison de l'augmentation du commerce informé. La section se termine par un résumé des sujets abordés dans le cours, y compris l'importance des coûts d'ordre dans la détermination du coût de la liquidité. Cependant, les auteurs rappellent aux téléspectateurs que les coûts de commande sont un fourre-tout pour divers coûts, et il peut y avoir différents facteurs qui expliquent explicitement différentes parties de la propagation.

  • 00:45:00 Le présentateur discute d'un article de blog sur l'incident au cours duquel le prix du pétrole est tombé à des valeurs négatives au printemps 2020 en raison de contraintes sur les stocks physiques de stockage de pétrole. Il recommande également de consulter le chapitre 4 du manuel, qui propose des variantes du modèle de Kyle et des exercices pour le pratiquer. Enfin, il donne un aperçu de l'accent mis la semaine prochaine sur les différences entre les marchés des concessionnaires et les marchés des ordres à cours limité et sur la manière dont les commerçants et les régulateurs peuvent utiliser l'hétérogénéité pour obtenir leurs résultats préférés.
Lecture 5, part 2: Empirics of Illiquidity (Financial Markets Microstructure)
Lecture 5, part 2: Empirics of Illiquidity (Financial Markets Microstructure)
  • 2020.08.02
  • www.youtube.com
Lecture 5, part 2: Empirics of IlliquidityFinancial Markets Microstructure course (Masters in Economics, UCPH, Spring 2020)***Full course playlist: https://w...
 

Conférence 6: Limit Order Book Markets (Microstructure des marchés financiers)



Conférence 6: Limit Order Book Markets (Microstructure des marchés financiers)

La conférence se concentre sur la microstructure des marchés financiers et approfondit la distinction entre les marchés de concessionnaires et les marchés axés sur les ordres. Sur les marchés des concessionnaires, un intermédiaire agit en tant qu'intermédiaire et fournit des cotations de prix, servant essentiellement de représentant pour toutes les transactions. D'autre part, les marchés axés sur les ordres fonctionnent différemment, où tous les participants soumettent leurs ordres à un carnet d'ordres à cours limité. Les ordres au marché peuvent alors accéder directement à la liquidité de ce livre sans avoir besoin d'un courtier dédié. Ce changement technologique a conduit à l'émergence du commerce en ligne ou électronique, où les ordres peuvent être appariés et acheminés automatiquement à l'aide de systèmes électroniques.

La vidéo explique les différences entre les marchés des concessionnaires et les marchés axés sur les commandes. Pour les traders de marché qui soumettent des ordres de marché, la distinction entre les deux types de marchés peut ne pas être significative. Cependant, les commerçants qui choisissent de soumettre des ordres à cours limité assument un rôle similaire à celui des concessionnaires. En fournissant de la liquidité au marché, ces négociateurs d'ordres limités sont confrontés à un risque de non-exécution et à un risque de retard, qui ne sont pas rencontrés par les courtiers. Sur les marchés axés sur les ordres, les traders ont le choix entre les ordres au marché et les ordres à cours limité, un choix qui n'existe pas sur les marchés des concessionnaires. Malgré les risques supplémentaires encourus, les ordres limités sont souvent préférés car ils offrent aux commerçants un meilleur prix pour leurs transactions, même s'ils doivent accepter les risques potentiels de non-exécution et de retard.

La vidéo explique ensuite le concept et le choix entre les ordres au marché et les ordres à cours limité dans un marché axé sur les ordres. Les ordres au marché sont exécutés au cours vendeur, tandis que les ordres à cours limité sont exécutés au cours acheteur. Le conférencier met l'accent sur la nature auto-équilibrée des marchés et sur la manière dont le choix entre les ordres au marché et les ordres à cours limité peut avoir un impact sur la profondeur et la liquidité du carnet d'ordres à cours limité. La vidéo explique comment le coût de soumission d'un ordre à cours limité varie en fonction de la saturation du marché. Dans un marché saturé, le coût est plus élevé, mais le bénéfice devient plus important lorsque le marché est étroit. La conférence présente un modèle de Glosten de 1994, qui explore comment les prix sont déterminés dans un marché axé sur les ordres et comment les commerçants à cours limité établissent leurs prix, garantissant l'efficacité des prix. De plus, la vidéo aborde la détermination de la profondeur du carnet d'ordres à cours limité et la façon dont les traders prennent des décisions concernant la prise ou la fourniture de liquidités.

À l'avenir, la vidéo se penche sur la composition d'un carnet d'ordres limités avec des commerçants concurrents pour un seul côté du marché, en se concentrant spécifiquement sur les ordres limités de vente et les ordres d'achat au marché. Une fois que le carnet d'ordres à cours limité est construit, un barème de prix est créé et les commerçants du marché sont confrontés à ce barème. Les prix sont ajustés en fonction du volume et le prix marginal d'achat d'une certaine quantité d'actifs est défini comme le prix auquel la dernière transaction a eu lieu. Le montant total payé pour acheter un volume q est obtenu en intégrant le prix marginal sur toutes les transactions prises, et la dérivée de ce paiement total par rapport à q donne le prix marginal p prime de q.

Un modèle du processus de prise de décision d'un opérateur de marché sur un marché à carnet d'ordres à cours limité est présenté dans la vidéo. Le modèle suppose la présence d'un opérateur de marché par période, noté « i ». L'opérateur du marché détermine la taille de son ordre d'achat, noté "q", en assimilant sa valorisation marginale pour une unité supplémentaire de l'actif au prix marginal de cette unité. L'évaluation marginale représente le taux de substitution du trader entre l'argent et les actifs, appelé "thêta i de q". La vidéo explique que les transactions plus importantes nécessitent plus de capital, ce qui entraîne des coûts supplémentaires pour acheter plus d'actifs. En conséquence, la volonté effective de payer pour des unités supplémentaires diminue.

L'orateur explique comment l'état de q est lié à la valeur fondamentale de l'actif dans la microstructure des marchés financiers. Bien que cela ne soit pas explicitement décrit, le modèle suppose qu'une valorisation plus élevée pour une transaction d'une taille donnée suggère une valeur d'actif plus élevée. La vidéo explique comment les commerçants à cours limité publient des ordres à cours limité de manière compétitive, mais ne sont exécutés que si un commerçant du marché passe un ordre de taille égale ou supérieure. Cependant, étant donné que les traders limit n'ont pas accès à toutes les informations, ils savent que si leur ordre est exécuté, il est au moins de leur taille spécifiée mais peut ne pas être plus grand.

La vidéo se penche sur la tarification des ordres à cours limité, expliquant que le prix fixé par un trader à cours limité pour la qème unité d'un actif sur un marché du carnet d'ordres à cours limité est l'attente conditionnelle de la valeur fondamentale de l'actif, étant donné que la taille de l'ordre est d'au moins Q. Cela crée un écart intérieur entre les cours acheteur et vendeur lorsque la taille de la commande approche de zéro, ce qui entraîne une discontinuité due au conditionnement. La vidéo souligne que les commerçants de limite profitent toujours de la vente des dernières unités, car leurs prix génèrent un profit moyen nul entre différents cas de commandes importantes et des nouvelles optimistes sur la valeur fondamentale du commerçant du marché. Cependant, le prix marginal du premier actif peut ou non être inférieur à cela.

Le conférencier discute ensuite des conditions que doivent remplir les meilleures cotations ask et bid sur un marché à carnet d'ordres limités. Ces cotations sont conditionnées par la volonté des commerçants du marché d'acheter et de vendre, mais elles ne peuvent pas être conditionnées par des montants spécifiques d'achat ou de vente. Cette condition crée le spread intérieur, qui représente la différence entre le meilleur cours vendeur et le meilleur cours acheteur. Le conférencier explique également comment la discrétion des prix entre en jeu, car les prix respectent souvent un pas de cotation qui limite la quantité de sous-cotation entre concurrents.

Pour illustrer davantage les concepts, l'enseignant présente un modèle similaire au précédent mais qui intègre une grille de prix discrète avec une taille de pas de cotation constante. Le modèle suppose que les ordres limités sont priorisés en fonction du temps et du prix, les ordres affichés en premier étant exécutés en premier et les ordres limités avec des prix inférieurs exécutés avant ceux avec des prix plus élevés. Le conférencier introduit la notation pour représenter le montant fourni à un certain prix et le montant total qu'un commerçant du marché peut obtenir à des prix ne dépassant pas un prix particulier. Le modèle tient également compte du fait que les commandes plus importantes indiquent généralement des valorisations plus élevées, ce qui influence le calcul des attentes. La conférence se termine en expliquant comment la concurrence fonctionne au sein du modèle.

La conférence explique ensuite le processus de fourniture d'ordres limités à chaque tick dans un système de type file d'attente. Le trader marginal qui soumet le dernier ordre à chaque niveau de prix ne réalise aucun profit, tandis que le trader suivant qui tente de soumettre un ordre au même niveau de prix ne le trouve plus rentable et passe au tick suivant. Ce processus peut être illustré à l'aide d'un graphique où la courbe d'offre ressemble à une fonction en escalier. Le premier trader gagne généralement un profit positif attendu, tandis que le dernier trader ne reçoit généralement aucun profit attendu.

Le conférencier discute de la condition de profit zéro pour les ordres marginaux dans un marché du carnet d'ordres à cours limité. Les ordres infra-marginaux peuvent générer un profit positif basé sur le profit attendu du trader limite multiplié par la probabilité d'exécution de l'ordre, qui est égale au coût d'affichage "c". L'expression reliant le niveau de prix « ak » et la profondeur cumulée « yk » se compose de deux composantes : le terme d'antisélection au prix et la composante de risque d'exécution. Le conférencier incorpore le coût d'affichage "c" dans le graphique et fournit des exemples de variables aléatoires binaires et continues pour modéliser les traders sur le marché.

Le concept d'équilibre dans la microstructure des marchés financiers est ensuite introduit. Le modèle avec des prix continus et un équilibre discret est utilisé, où deux prix, "a1" et "a2", sont déterminés de sorte que la profondeur à "a1" soit égale à "qs" et la profondeur cumulée à "a2" soit égale à "ql." L'hypothèse est faite qu'un commerçant de bruit emploie l'un des quatre métiers avec des probabilités égales : un petit achat, un gros achat, une petite vente ou une grande vente. Le spéculateur n'échange également que l'une des deux unités, soit "qs" ou "ql". Enfin, les prix de "a1" et "a2" doivent satisfaire deux équations pour déterminer la valeur fondamentale attendue pour chaque taille d'ordre d'un côté particulier du commerce.

L'orateur explique le concept d'équilibre dans un simple modèle de marché du carnet d'ordres à cours limité. L'équilibre englobe les stratégies des deux groupes d'acteurs actifs sur le marché : les commerçants de limite et les commerçants de marché. Les commerçants à cours limité fixent les prix, tels que "a1" et "a2", sur la base de la condition de profit nul, tandis que les commerçants du marché décident quels ordres soumettre et négocier de manière optimale en fonction de probabilités conditionnées d'être informés ou non informés. Les expressions dérivées démontrent que les conditions d'équilibre sont remplies, établissant ce modèle comme un équilibre.

La vidéo présente ensuite des exemples de marchés de carnets d'ordres limités. Dans un exemple, des niveaux de prix discrets surviennent en raison de la discrétion des stratégies des traders bruyants, ce qui se traduit par seulement deux niveaux d'ordre possibles et effectivement deux groupes d'événements possibles. L'impact sur les prix est positif en raison de la stratégie des commerçants non informés. Un autre exemple est introduit où la taille des ordres de marché suit une distribution exponentielle. L'équation d'impact sur les prix suppose lambda fois x pour un facteur d'impact sur les prix constant lambda, qui mesure le caractère informatif du flux de commandes. Bien que cet exemple soit significatif, la vidéo se concentre principalement sur la façon dont le carnet d'ordres à cours limité est formé en fonction du comportement des commerçants du marché et présente une analyse de forme réduite.

L'orateur explique comment dériver une espérance conditionnelle à l'aide de la fonction de densité de probabilité conditionnelle (pdf) de "q", qui est basée sur la profondeur cumulée "yk" pour les commerçants de limite. En appliquant la règle de Bayes, l'orateur démontre une méthode simple pour calculer la valeur fondamentale attendue "v", qui représente le prix que le trader limite fixerait pour l'unité "ykth" de l'actif. L'expression finale de la fdp conditionnelle des tailles d'échange "q" intègre la distribution exponentielle, et l'intégration par parties est utilisée pour dériver l'équation d'impact linéaire sur les prix. L'inclusion du facteur « 1/thêta » donne l'étalement intérieur de l'équation.

Le cours conclut en résumant le lien entre l'équation reliant le tick "ak" et la profondeur cumulée au tick "yk" dans un marché aux ticks prédéterminés, en tenant compte des paramètres du modèle de coût d'affichage. La conférence insiste sur l'impact du coût d'affichage et la nécessité d'inverser l'expression dans un marché aux ticks prédéterminés. Le conférencier indique que le rôle de la fourniture de liquidité diffère pour les négociateurs et les courtiers en limite en raison de leurs environnements informationnels distincts, ce qui entraîne des résultats de marché différents. La prochaine conférence explorera comment la taille des ticks et les règles de priorité affectent les résultats du marché grâce à une analyse dynamique qui considère un modèle de salon où les traders ont le choix entre les ordres à cours limité et les ordres au marché. L'instructeur fournit aux étudiants des questions pratiques tirées du manuel pour renforcer leur compréhension.

Le conférencier commence par introduire le concept de pas de cotation, qui fait référence à l'incrément de prix minimum auquel les titres peuvent être cotés ou négociés. La taille du pas de cotation joue un rôle crucial dans la microstructure du marché car elle affecte la granularité des niveaux de prix et la rentabilité potentielle des commerçants à cours limité. Un pas de cotation plus petit permet des niveaux de prix plus élevés et une différenciation des prix plus fine, ce qui peut entraîner une concurrence accrue et des écarts plus serrés sur le marché. D'un autre côté, un pas de cotation plus important peut entraîner des niveaux de prix moins élevés et des écarts plus larges.

Ensuite, la conférence explore l'impact de la taille du pas de cotation sur le résultat d'équilibre dans un marché du carnet d'ordres à cours limité. Le modèle suppose que les traders ont le choix entre soumettre des ordres à cours limité ou des ordres au marché. Les ordres à cours limité ont priorité sur les ordres au marché, ce qui signifie qu'ils sont exécutés en premier à un niveau de prix donné. Le conférencier explique que la taille du pas de cotation affecte le nombre d'ordres à cours limité qui peuvent être soumis et exécutés à chaque niveau de prix.

L'orateur présente un modèle de salon pour analyser l'interaction dynamique entre les ordres à cours limité et les ordres au marché. Dans ce modèle, les traders alternent entre la soumission d'ordres à cours limité et d'ordres au marché, en fonction du résultat du tour précédent. Le cours se concentre sur le cas où la taille du tick est petite par rapport à l'écart type des changements de valeurs fondamentales. Dans ce scénario, le résultat d'équilibre est caractérisé par un prix stable, où les ordres à cours limité dominent les ordres de marché en raison de leur priorité.

L'enseignant explique que la stabilité du prix d'équilibre résulte d'un mécanisme de rétroaction. Lorsqu'un trader observe que le carnet d'ordres à cours limité est mince, ce qui indique une faible liquidité, il est plus susceptible de soumettre un ordre à cours limité. Cette augmentation des ordres à cours limité stimule la liquidité sur le marché, attirant davantage d'ordres au marché et renforçant la prédominance des ordres à cours limité. À l'inverse, lorsque le carnet d'ordres à cours limité est épais, ce qui indique une liquidité élevée, les traders sont plus enclins à soumettre des ordres au marché, ce qui réduit la prédominance des ordres à cours limité.

La conférence souligne que la taille des ticks joue un rôle crucial dans ce mécanisme de rétroaction. Avec une taille de cotation plus petite, il y a plus de niveaux de prix, permettant une différenciation plus fine et un processus de rétroaction plus efficace. Cela conduit à un prix d'équilibre plus stable et à des spreads plus serrés. En revanche, un pas de cotation plus grand limite le nombre de niveaux de prix, réduit l'efficacité du mécanisme de rétroaction et conduit potentiellement à un équilibre moins stable avec des écarts plus larges.

Le conférencier discute également de l'impact des règles de priorité sur les résultats du marché. Les règles de priorité déterminent l'ordre dans lequel les ordres sont exécutés à un niveau de prix donné. Le cours introduit deux règles de priorité : la priorité prix-temps et la priorité au prorata. Sous la priorité prix-temps, le premier ordre soumis à un niveau de prix donné est exécuté en premier. Sous priorité au prorata, les ordres à un niveau de prix donné sont exécutés proportionnellement en fonction de leur taille.

L'orateur explique que les règles de priorité peuvent affecter les résultats du marché en influençant le comportement des commerçants. La priorité prix-temps encourage les traders à soumettre leurs ordres tôt pour obtenir la priorité, ce qui peut conduire à un niveau plus élevé de liquidité affichée sur le marché. La priorité au prorata, en revanche, incite les traders à soumettre des ordres plus importants pour recevoir une plus grande part du volume exécuté.

La conférence se termine en soulignant l'interaction entre le pas de cotation et les règles de priorité dans la détermination des résultats du marché. Le choix du pas de cotation affecte le nombre de niveaux de prix et l'efficacité du mécanisme de rétroaction, tandis que les règles de priorité influencent le comportement des traders et la répartition du volume exécuté. Ces deux facteurs jouent un rôle important dans la formation de la dynamique du marché et de l'apport de liquidités dans un marché à carnet d'ordres à cours limité.

Les étudiants sont encouragés à approfondir ces sujets par le biais de lectures et d'exercices pratiques afin d'approfondir leur compréhension de la microstructure du marché et de ses implications pour les stratégies de négociation et les résultats du marché.

  • 00:00:00 Cette section de la conférence portant sur la microstructure des marchés financiers explique que sur les marchés des concessionnaires, il existe un intermédiaire qui cote les prix et sert de proxy pour toutes les transactions. D'autre part, sur les marchés axés sur les ordres, tous les acteurs du marché soumettent leurs ordres à un carnet d'ordres à cours limité, et les ordres de marché prélèvent des liquidités de ce carnet sans avoir besoin d'un courtier dédié. Ce changement de technologie a donné naissance à ces marchés, où toutes les transactions se font en ligne ou par voie électronique, et où les ordres peuvent être appariés et acheminés à l'aide de systèmes électroniques automatiques.

  • 00:05:00 La vidéo explique en quoi les marchés axés sur les ordres, ou marchés du carnet d'ordres limités, diffèrent des marchés des concessionnaires. Pour les commerçants du marché qui soumettent des ordres au marché, il n'y a pas de différence significative entre les deux marchés. Cependant, les commerçants qui soumettent des ordres à cours limité assument le rôle de courtiers en fournissant de la liquidité au marché et en faisant face à un risque de non-exécution et à un risque de retard, auxquels ne sont pas confrontés les courtiers. Sur les marchés axés sur les ordres, tout trader peut choisir entre un ordre au marché ou un ordre à cours limité, ce qui est un nouveau choix qui n'est pas présent sur les marchés des concessionnaires. Les ordres à cours limité sont préférés car ils donnent aux commerçants un meilleur prix sur leur transaction, même s'ils doivent accepter le risque de non-exécution et de retard.

  • 00:10:00 La vidéo explique le concept et le choix entre les ordres au marché et les ordres limités dans un marché axé sur les ordres. Les ordres au marché achèteront l'actif au prix vendeur, tandis que les ordres à cours limité achèteront au prix acheteur. La vidéo met en évidence la propriété d'auto-équilibrage des marchés et comment le choix des traders entre les ordres au marché et les ordres à cours limité peut affecter la profondeur et la liquidité du carnet d'ordres à cours limité. Il met en évidence le fait que le coût de soumission d'un ordre à cours limité est plus élevé dans un marché saturé alors que l'avantage est important lorsque le marché est étroit. La vidéo présente un modèle de Glosten de 1994, qui explore la façon dont les prix sont déterminés dans un marché axé sur les ordres et comment les commerçants à cours limité fixent leurs prix, en s'assurant que les prix sont efficaces. Il aborde également la manière dont la profondeur du carnet d'ordres à cours limité est déterminée et la manière dont les traders choisissent entre prendre et créer de la liquidité.

  • 00:15:00 Nous apprenons la composition d'un carnet d'ordres limités avec des commerçants concurrents pour un seul côté du marché, dans lequel les ordres limités sont de vente et les ordres de marché sont d'achat. Une fois ce livre composé, un barème de prix est créé, et les commerçants du marché font face à ce barème de prix et les prix sont ajustés en fonction du volume. Ce barème de prix est considéré comme le prix marginal des actifs de q que quelqu'un veut acheter. Le montant total payé pour acheter le volume q est donné par l'intégrale de ce prix marginal sur toutes les transactions prises, et la première dérivée de ce montant total payé est le prix marginal p prime de q.

  • 00:20:00 La vidéo présente un modèle du processus de prise de décision d'un trader sur un marché à carnet d'ordres à cours limité. Le modèle suppose qu'il y a un opérateur de marché par période, étiqueté « i ». L'opérateur de marché détermine la taille de son ordre d'achat "q" en égalant sa valorisation marginale pour l'unité suivante de l'actif et le prix marginal d'une unité supplémentaire de l'actif. L'évaluation marginale est définie comme le taux marginal de substitution du trader entre l'argent et les actifs, également connu sous le nom de "thêta i de q". La vidéo explique également comment les transactions plus importantes nécessitent plus de capital et attirent donc plus de coûts pour acheter plus d'actifs, ce qui entraîne une diminution de la volonté effective de payer pour d'autres unités.

  • 00:25:00 L'orateur explique comment l'état de q est lié à la valeur fondamentale de l'actif dans la microstructure des marchés financiers. Bien qu'il ne décrive pas explicitement comment cet état est lié à la valeur de l'actif, le modèle suppose que pour l'évaluation de tout commerçant, une évaluation plus élevée pour le commerce d'une taille donnée suggère une valeur d'actif plus élevée. L'orateur explique ensuite comment les traders à cours limité affichent des ordres à cours limité de manière compétitive, mais leurs ordres ne sont exécutés que si un trader du marché passe un ordre de taille égale ou supérieure. Le trader limite n'a pas accès à toutes les informations, donc si sa commande passe, il sait que la commande était au moins de la taille spécifiée, mais pas nécessairement de combien.

  • 00:30:00 La vidéo traite de la tarification des ordres à cours limité, où le prix fixé par le négociant à cours limité pour la qème unité d'un actif sur un marché du carnet d'ordres à cours limité est donné par l'attente conditionnelle de la valeur fondamentale de l'actif, étant donné que le la taille de la commande est au moins q. Cela génère l'écart intérieur entre les cours acheteur et vendeur lorsque la taille de l'ordre tend vers zéro, créant une discontinuité à zéro en raison du conditionnement. Les commerçants de limite profitent toujours de la vente des dernières unités, car leur prix ne rapporte aucun profit en moyenne entre différents cas de grosses commandes et des nouvelles optimistes sur la valeur fondamentale du commerçant de marché. Cependant, le prix marginal du premier actif peut ou non être inférieur à cela.

  • 00:35:00 Le conférencier discute des conditions auxquelles sont soumises les meilleures cotations d'achat et de vente sur un marché de carnet d'ordres à cours limité. Ces cotations sont conditionnées par le fait que les commerçants du marché sont disposés à acheter et à vendre respectivement, mais ne peuvent pas dépendre du montant de l'achat ou de la vente. Cela crée le spread intérieur, qui est la différence entre le meilleur cours vendeur et le meilleur cours acheteur. Le conférencier explique également comment la discrétion des prix entre en jeu, car les prix sont souvent soumis à un pas de cotation, ce qui limite la quantité de sous-cotation entre concurrents.

  • 00:40:00 Le conférencier présente un modèle qui est essentiellement similaire au précédent, mais inclut maintenant une grille de prix discrète avec une taille de pas constante. Le modèle suppose que les ordres à cours limité sont hiérarchisés en fonction du temps et du prix, les ordres qui sont affichés en premier étant exécutés en premier, et les ordres à cours limité avec des prix inférieurs exécutés avant ceux avec des prix plus élevés. Le conférencier introduit également une notation pour indiquer le montant fourni à un certain prix et le montant total qui peut être obtenu en tant que commerçant du marché à des prix ne dépassant pas ce prix. De plus, le modèle suppose que les commandes plus importantes suggèrent généralement des valorisations plus élevées, ce qui est pris en compte lors du calcul des attentes. La conférence se termine par une explication du fonctionnement de la concurrence dans le modèle.

  • 00:45:00 Le processus de fourniture de limiteurs à chaque tick dans un système de type file d'attente est expliqué. Le trader marginal qui soumet le dernier ordre à chaque niveau de prix ne réalisera aucun profit tandis que le prochain trader qui essaie de soumettre un ordre au même niveau de prix ne le trouvera plus rentable. Ainsi, ils passent au tick suivant. Ce processus peut être illustré à l'aide d'un graphique où la courbe d'offre est une fonction en escalier. Le premier trader obtient généralement un profit positif attendu tandis que le dernier trader ne reçoit généralement aucun profit attendu.

  • 00:50:00 Le conférencier discute de la condition de profit zéro pour les ordres marginaux dans un marché du carnet d'ordres à cours limité. Les ordres infra-marginaux peuvent générer un profit positif basé sur le profit attendu du trader limite multiplié par la probabilité que leur ordre s'exécute, qui est alors égal au coût d'affichage c. L'expression qui relie le niveau de prix ak à la profondeur cumulée yk se compose de deux termes, le terme d'antisélection au prix et la composante de risque d'exécution. Le conférencier intègre également le coût d'affichage c dans le graphique et fournit des exemples de variables aléatoires binaires et continues pour modéliser les commerçants sur le marché.

  • 00:55:00 L'équilibre de la microstructure du marché financier est discuté. Le modèle à prix continus et équilibre discret est utilisé avec deux prix, a1 et a2, tels que la profondeur en a1 est égale à qs et la profondeur cumulée en a2 est égale à ql. L'hypothèse est faite qu'un commerçant de bruit utilise l'un des quatre métiers avec des probabilités égales, à savoir un petit achat, un gros achat, une petite vente ou une grande vente. Le spéculateur n'échangera également que l'une des deux unités - soit qs ou ql. Enfin, les prix de a1 et a2 doivent satisfaire deux équations pour déterminer la valeur fondamentale attendue pour chaque taille d'ordre pour un côté particulier du commerce.

  • 01:00:00 L'orateur explique le concept d'équilibre dans un modèle simple de marché du carnet d'ordres à cours limité. L'équilibre se compose de stratégies des deux groupes d'acteurs actifs sur le marché, les commerçants de limite et les commerçants de marché. Les commerçants de limite fixent des prix tels que a1 et a2, sur la base de conditions de profit nul, tandis que les commerçants de marché décident quels ordres soumettre et négocier de manière optimale en fonction des probabilités conditionnées d'être informés ou non informés. Les expressions dérivées montrent que les conditions d'équilibre sont remplies, faisant de ce modèle un équilibre.

  • 01:05:00 La vidéo présente un exemple de marchés de carnet d'ordres limités où des niveaux de prix discrets surviennent en raison de la discrétion de la stratégie du négociant de bruit, ce qui entraîne seulement deux niveaux d'ordre possibles et effectivement deux groupes d'événements possibles. L'impact sur les prix est positif en raison de la stratégie des commerçants non informés. La vidéo présente ensuite un autre exemple où les tailles des ordres de marché sont distribuées selon une distribution exponentielle. L'équation d'impact sur les prix suppose lambda x pour un facteur d'impact de prix constant lambda, qui mesure le caractère informatif du flux de commandes. Bien que cet exemple soit significatif, la vidéo se concentre sur la façon dont le carnet d'ordres à cours limité est formé compte tenu du comportement des commerçants du marché et effectue une analyse de forme réduite.

  • 01:10:00 L'orateur explique comment dériver une espérance conditionnelle à l'aide du pdf conditionnel de q, qui est basé sur la profondeur cumulée yk pour les commerçants de limite. En utilisant la règle de Bayes, l'orateur montre un moyen simple de calculer la valeur fondamentale attendue v, qui est le prix que le trader limite fixerait pour ykth unité de l'actif. L'expression finale de la fdp conditionnelle des tailles d'échanges q utilise la distribution exponentielle, et l'intégration par partie est utilisée pour dériver l'équation linéaire de l'impact sur les prix. Cependant, le facteur de un sur thêta nous donne la propagation à l'intérieur de l'équation.

  • 01:15:00 Le conférencier conclut la discussion sur les marchés axés sur les ordres en mettant l'accent sur le lien entre l'équation reliant le tick ak et la profondeur cumulée au tick yk, en fonction des paramètres du modèle de coût d'affichage. La conférence met en évidence l'impact du coût d'affichage et la nécessité d'inverser l'expression dans un marché aux ticks prédéterminés. Le conférencier indique que le rôle d'approvisionnement en liquidités d'un marché diffère pour les négociateurs et les courtiers en limites en raison de leurs environnements informationnels différents conduisant à des résultats de marché différents. La prochaine conférence explorera comment la taille des ticks et les règles de priorité affectent les résultats du marché avec une analyse dynamique qui considère un modèle de salon donnant aux traders le choix entre les limites et les ordres de marché. L'instructeur fournit quelques questions pratiques que les étudiants peuvent faire avec des exercices du manuel.
Lecture 6: Limit Order Book Markets (Financial Markets Microstructure)
Lecture 6: Limit Order Book Markets (Financial Markets Microstructure)
  • 2020.08.03
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Exercice cours 3, partie 1 (Microstructure des marchés financiers)



Exercice cours 3, partie 1 (Microstructure des marchés financiers)

Dans la conférence portant sur la microstructure des marchés financiers, l'orateur fournit une explication détaillée des différences entre les marchés de concessionnaires et les marchés axés sur les ordres. Sur les marchés de concessionnaires, il y a un intermédiaire qui cite les prix et gère toutes les transactions au nom des participants au marché. D'autre part, sur les marchés axés sur les ordres, les participants soumettent leurs ordres à un carnet d'ordres à cours limité, et les ordres de marché sont exécutés en prélevant des liquidités sur le carnet sans l'intervention d'un courtier dédié. L'avènement de la technologie de négociation électronique a permis le développement de marchés axés sur les ordres, où les échanges ont lieu en ligne et les ordres sont appariés et acheminés automatiquement.

La vidéo souligne que pour les traders du marché qui soumettent des ordres au marché, le choix entre les marchés des concessionnaires et les marchés axés sur les ordres ne fait pas de différence significative. Cependant, pour les commerçants qui soumettent des ordres à cours limité, ils assument le rôle de courtiers en fournissant la liquidité du marché. Ces commerçants sont confrontés à un risque de non-exécution et à un risque de retard, auxquels ne sont pas confrontés les concessionnaires sur les marchés des concessionnaires. Sur les marchés axés sur les ordres, les traders ont le choix entre les ordres au marché et les ordres à cours limité. Malgré les risques encourus, les ordres à cours limité sont privilégiés car ils offrent aux traders un meilleur prix sur leurs transactions.

Le concept d'ordres au marché et d'ordres limités dans un marché axé sur les ordres est expliqué dans la vidéo. Les ordres au marché sont exécutés au cours vendeur lors de l'achat ou au cours acheteur lors de la vente. Les ordres à cours limité, en revanche, permettent aux traders de spécifier le prix auquel ils sont prêts à acheter ou à vendre l'actif. La vidéo met en évidence la nature auto-équilibrée des marchés et la manière dont le choix entre les ordres au marché et à cours limité affecte la profondeur et la liquidité du carnet d'ordres à cours limité. Il explique également comment le coût et les avantages de la soumission d'un ordre à cours limité varient en fonction de la saturation du marché. Dans les marchés étroits, l'avantage d'un meilleur prix l'emporte sur les risques de non-exécution et de retard.

Le conférencier présente un modèle proposé par Glosten en 1994, qui examine comment les prix sont déterminés dans un marché axé sur les ordres et comment les commerçants à cours limité fixent leurs prix pour assurer l'efficacité du marché. La vidéo aborde également la manière dont la profondeur du carnet d'ordres à cours limité est déterminée et la manière dont les traders font des choix entre prendre et créer des liquidités.

La composition d'un carnet d'ordres à cours limité avec des négociateurs concurrents pour un seul côté du marché (par exemple, des ordres de vente) est expliquée. Une fois le livre composé, un barème de prix est créé et les commerçants du marché sont confrontés à ce barème. Les prix sont ajustés en fonction du volume et le prix marginal pour une quantité souhaitée d'actifs à acheter est déterminé. Le montant total payé pour acheter un volume particulier est calculé en utilisant l'intégrale du prix marginal sur toutes les transactions. La première dérivée de ce montant total payé représente le prix marginal pour la quantité souhaitée.

La vidéo présente un modèle du processus de prise de décision d'un opérateur de marché dans un marché à carnet d'ordres à cours limité. Chaque période, étiquetée « i », est associée à un opérateur de marché qui détermine la taille de l'ordre d'achat « q » en assimilant leur évaluation marginale pour l'unité suivante de l'actif au prix marginal d'une unité supplémentaire. La valorisation marginale représente le taux marginal de substitution du trader entre la monnaie et les actifs. Les échanges plus importants nécessitent plus de capital, ce qui entraîne une diminution de la volonté effective de payer pour d'autres unités.

L'orateur discute de la relation entre l'état de la quantité "q" et la valeur fondamentale de l'actif dans la microstructure des marchés financiers. Bien que la vidéo n'explique pas explicitement le lien exact entre l'état et la valeur de l'actif, le modèle suppose que des valorisations plus élevées pour une taille de transaction donnée indiquent une valeur d'actif plus élevée. L'orateur explique également comment les commerçants à cours limité affichent leurs ordres à cours limité de manière compétitive, mais les ordres ne sont exécutés que lorsqu'un commerçant du marché passe un ordre de taille égale ou supérieure. Le trader à cours limité peut ne pas connaître la taille exacte de l'ordre au marché qui a exécuté son ordre à cours limité.

La vidéo se penche sur la tarification des ordres à cours limité sur un marché du carnet d'ordres à cours limité. Le prix fixé par un trader à cours limité pour la qème unité d'un actif est donné par l'espérance conditionnelle de la valeur fondamentale de l'actif, étant donné que la taille de l'ordre est d'au moins q. Cela conduit à l'écart intérieur entre les cours acheteur et vendeur lorsque la taille de l'ordre se rapproche de zéro. Cependant, l'équation de tarification crée une discontinuité à zéro en raison du conditionnement. La vidéo note que les commerçants limitent toujours les bénéfices sur la vente des dernières unités, car leur prix génère un bénéfice moyen nul entre les cas de commandes importantes et les nouvelles optimistes concernant la valeur fondamentale du commerçant du marché. Le prix marginal du premier actif peut ou non être inférieur à cela.

Le conférencier discute des conditions que doivent remplir les meilleures cotations ask et bid sur un marché à carnet d'ordres limités. Ces cotations sont conditionnées par la volonté des commerçants du marché d'acheter ou de vendre, mais ne peuvent pas être conditionnées par le montant spécifique de l'achat ou de la vente. Cela crée le spread intérieur, qui représente la différence entre le meilleur cours vendeur et le meilleur cours acheteur. Le conférencier explique également comment la discrétion des prix entre en jeu, les prix étant souvent soumis à un pas de cotation qui limite la sous-cotation entre concurrents.

Un modèle est introduit, qui est similaire au précédent mais intègre une grille de prix discrète avec une taille de pas de cotation constante. Dans ce modèle, les ordres à cours limité sont hiérarchisés en fonction du temps et du prix, les ordres antérieurs étant exécutés en premier et les ordres les moins chers exécutés avant les plus chers. Le conférencier introduit la notation pour désigner le montant fourni à un certain prix et le montant total qui peut être obtenu par un commerçant du marché à des prix ne dépassant pas ce prix. Le modèle suppose que les commandes plus importantes indiquent généralement des valorisations plus élevées, ce qui est pris en compte lors du calcul de l'attente. La conférence se termine par une explication du fonctionnement de la concurrence dans ce modèle.

La vidéo explique le processus de livraison des ordres limités à chaque tick dans un système de type file d'attente. Le trader marginal qui soumet le dernier ordre à chaque niveau de prix ne réalise aucun profit, tandis que le trader suivant qui essaie de soumettre un ordre au même niveau de prix ne le trouve plus rentable. Par conséquent, ils passent au tick suivant. Ce processus peut être illustré à l'aide d'un graphique où la courbe d'offre prend la forme d'une fonction en escalier. Le premier trader réalise généralement un profit positif attendu, tandis que le dernier trader ne reçoit généralement aucun profit attendu.

Le conférencier discute de la condition de profit zéro pour les ordres marginaux dans un marché du carnet d'ordres à cours limité. Les ordres infra-marginaux peuvent générer un profit positif basé sur le profit attendu du trader limite multiplié par la probabilité d'exécution de l'ordre, qui est égale au coût d'affichage "c". L'expression reliant le niveau de prix « ak » et la profondeur cumulée « yk » comprend deux termes : le terme d'antisélection et la composante de risque d'exécution. Le conférencier incorpore le coût d'affichage "c" dans le graphique et fournit des exemples de variables aléatoires binaires et continues pour modéliser les traders sur le marché.

L'équilibre de la microstructure des marchés financiers est ensuite discuté. Le modèle à prix continus et équilibre discret est utilisé, impliquant deux prix, « a1 » et « a2 ». La profondeur à « a1 » est égale à « qs », tandis que la profondeur cumulée à « a2 » est égale à « ql ». L'hypothèse est faite qu'un commerçant de bruit emploie l'un des quatre métiers avec des probabilités égales : petit achat, gros achat, petite vente ou grande vente. Le spéculateur n'échange également que l'une des deux unités, soit "qs" ou "ql". Enfin, les prix de "a1" et "a2" doivent satisfaire deux équations pour déterminer la valeur fondamentale attendue pour chaque taille d'ordre sur un côté spécifique du commerce.

L'orateur explique le concept d'équilibre dans un simple modèle de marché du carnet d'ordres à cours limité. L'équilibre consiste en des stratégies des deux groupes d'acteurs actifs sur le marché : les commerçants de limite et les commerçants de marché. Les commerçants à cours limité fixent des prix tels que "a1" et "a2" sur la base de conditions de profit nul, tandis que les commerçants du marché décident quels ordres soumettre et négocier de manière optimale en fonction de probabilités conditionnées d'être informés ou non informés. Les expressions dérivées montrent que les conditions d'équilibre sont remplies, faisant de ce modèle un équilibre.

La vidéo présente un exemple de marchés de carnet d'ordres limités où des niveaux de prix discrets surviennent en raison de la discrétion de la stratégie du négociant de bruit, ce qui entraîne seulement deux niveaux d'ordres possibles et effectivement deux groupes d'événements possibles. L'impact sur les prix est positif en raison de la stratégie des commerçants non informés. Un autre exemple est introduit où les tailles d'ordres de marché sont distribuées selon une distribution exponentielle. L'équation d'impact sur les prix suppose un facteur d'impact sur les prix constant, lambda, qui mesure le caractère informatif du flux de commandes. Bien que cet exemple soit significatif, la vidéo se concentre principalement sur la façon dont le carnet d'ordres à cours limité est formé compte tenu du comportement des commerçants du marché et fournit une analyse de forme réduite.

L'orateur explique comment dériver une espérance conditionnelle à l'aide de la fonction de densité de probabilité conditionnelle (pdf) de "q", qui est basée sur la profondeur cumulée "yk" pour les commerçants de limite. En appliquant la règle de Bayes, l'orateur démontre un moyen simple de calculer la valeur fondamentale attendue "v", qui est le prix que le trader limite fixerait pour la "yk"-ième unité de l'actif. L'expression finale de la fdp conditionnelle des tailles d'échange "q" utilise la distribution exponentielle, et l'intégration par parties est utilisée pour dériver l'équation d'impact linéaire sur les prix. Cependant, le facteur de un sur "thêta" donne la propagation à l'intérieur de l'équation.

Le conférencier conclut la discussion sur les marchés commandés par les ordres en se concentrant sur le lien entre l'équation reliant le tick "ak" et la profondeur cumulée au tick "yk", en tenant compte des paramètres du modèle de coût d'affichage. La conférence met en évidence l'impact du coût d'affichage et la nécessité d'inverser l'expression dans un marché aux ticks prédéterminés. Le conférencier indique que le rôle de fourniture de liquidités d'un marché diffère pour les négociateurs et les courtiers en limites en raison de leurs environnements informationnels distincts, ce qui entraîne des résultats de marché différents. La prochaine conférence explorera comment la taille des ticks et les règles de priorité affectent les résultats du marché avec une analyse dynamique, en considérant un modèle de salon qui donne aux traders le choix entre les ordres à cours limité et les ordres au marché. L'instructeur fournit quelques questions pratiques du manuel sur lesquelles les étudiants peuvent travailler.

  • 00:00:00 L'instructeur passe en revue le modèle de Kyle et l'exercice qui a exploré la concurrence entre spéculateurs. Le modèle comportait un trader informé, un dealer ou un teneur de marché et, implicitement, un trader bruyant. Le modèle supposait un actif avec une certaine valeur fondamentale V qui était normalement distribuée, et le spéculateur connaissait cette valeur et décidait de l'ordre de marché à placer. Le noisetrader a soumis un ordre aléatoire et le teneur de marché a soumis un programme d'approvisionnement. On a supposé que le spéculateur utilisait une stratégie linéaire, et le bêta a été déterminé à l'équilibre, ce qui est connu comme l'agressivité du spéculateur ou l'agressivité avec laquelle le spéculateur négocie compte tenu de ses informations.

  • 00:05:00 La vidéo traite d'un modèle de microstructure des marchés financiers où il existe plusieurs commerçants informés plutôt qu'un seul. Chaque trader averti utilise une stratégie linéaire et connaît parfaitement la valeur fondamentale de l'actif. L'équilibre est supposé être symétrique, et ils tiennent tous pour acquis la taille de l'ordre de leurs collègues spéculateurs. Le problème est de trouver l'agressivité d'équilibre des traders (beta) et de déterminer comment elle dépend de n (nombre de spéculateurs) et d'expliquer pourquoi. La fonction de profit des commerçants est maximisée en choisissant une taille d'ordre optimale x, qui peut être résolue en utilisant l'équation d'impact linéaire sur les prix.

  • 00:10:00 L'orateur explique l'équation d'impact linéaire sur les prix, dans laquelle le concessionnaire fixe les prix selon une certaine équation pour une valeur spécifique de λ. En intégrant la taille totale de l'ordre d'un spéculateur q, l'équation permet à l'orateur de déterminer comment le prix est affecté par la taille de l'ordre d'un spéculateur et la valeur fondamentale, compte tenu du comportement de tous les autres commerçants du marché. Le locuteur utilise ensuite cette équation pour déterminer le profit espéré d'un spéculateur, ce qui lui permet d'optimiser sa stratégie de trading dans le but de maximiser ses profits.

  • 00:15:00 L'orateur explique comment le profit attendu d'un spéculateur est incertain car il ne sait pas combien de bruit les commerçants seront prêts à négocier. La seule inconnue dans l'attente est la valeur "u". La valeur attendue de l'ordre des commerçants de bruit est zéro, ne laissant que "u" comme variable inconnue. L'orateur souligne ensuite comment le spéculateur maximise son profit en choisissant une taille d'ordre pour maximiser l'équation de son profit espéré. L'équation peut être résolue de manière linéaire pour révéler la stratégie de trading optimale pour le spéculateur.

  • 00:20:00 L'orateur discute de la stratégie de trading optimale pour le trader i dans une microstructure de marché. Ils en déduisent que xi est linéaire en v moins mu, bêta étant le coefficient de proportionnalité. Après avoir résolu le bêta, ils proposent une expression de l'agressivité du trader comme un sur lambda fois n plus un. L'orateur explique ensuite que plus il y a de spéculateurs sur le marché, plus la part du gâteau de chaque commerçant individuel sera petite. De plus, ils notent que n bêta augmentera en n, ce qui signifie que la taille et l'agressivité totales des échanges ne seront pas constantes.

  • 00:25:00 L'orateur discute du compromis auquel les commerçants sont confrontés dans la microstructure du marché financier entre négocier plus ou négocier à un meilleur prix. Plus il y a de commerçants, plus l'effet de l'un d'eux sur le prix est faible, ce qui signifie que tous les commerçants deviennent plus agressifs et que la profondeur cumulée du marché augmente. L'orateur dérive également le coefficient d'impact sur les prix lambda de la condition de profit zéro du concessionnaire, dans le but d'avoir une représentation plus explicite de lambda, et insère les expressions pour q du point de vue du concessionnaire.

  • 00:30:00 L'orateur explique comment la file d'attente de la taille totale de l'ordre est déterminée pour un marché avec n spéculateurs et un revendeur. Le revendeur suppose que les n traders suivent tous une stratégie linéaire et soumettent une taille d'ordre bêta fois v moins mu. La variance de la taille du commerce des commerçants non informés est également prise en compte. L'orateur poursuit ensuite en montrant comment la covariance de ces variables peut être divisée en deux parties et calculée à l'aide de diverses équations. Dans l'ensemble, le conférencier fournit une explication détaillée de la façon dont la file d'attente de la taille totale des commandes est déterminée dans ce type de marché.

  • 00:35:00 L'instructeur déduit le coefficient d'impact sur les prix, lambda, de la condition de profit zéro, qui est similaire à celle dérivée dans les cours précédents. La profondeur du marché, qui est l'inverse de l'impact sur les prix, est calculée comme un sur lambda. La profondeur du marché augmente à mesure que le nombre de commerçants informés augmente parce que les commerçants deviennent plus agressifs et soumettent des commandes plus importantes, ce qui rend le marché plus profond. La robustesse de ce résultat est également discutée, mais une réponse spécifique ne peut être donnée sans autre matériel de classe.

  • 00:40:00 L'orateur explique comment dessiner des courbes pour le bêta et une sur lambda (profondeur) sur un graphique pour la stratégie de spéculation et la stratégie de profit zéro. La stratégie de spéculation est une fonction linéaire tandis que la stratégie de profit zéro est une fonction convexe. L'intersection de ces deux courbes se produit au minimum de la fonction de profit nul pour le cas d'un seul joueur. Cependant, pour le cas du joueur le plus élevé, l'intersection se déplace le long de la partie croissante de l'égalité d'impact sur les prix, et la profondeur du marché un sur lambda augmente à mesure que n (nombre de joueurs) augmente. L'intersection ne se produit plus au minimum, et cela ne se produit que parce que l'ancienne intersection pour n égal à un était au minimum.

  • 00:45:00 L'instructeur parle d'une intuition géométrique avec peu d'intuition économique mais explique le rapport avec la discussion qu'ils ont eue au cours précédent. La profondeur augmente avec le nombre de commerçants informés, mais elle peut diminuer avec de faibles valeurs de bêta, puis commencer à augmenter, en fonction du comportement des commerçants et des raisons de moins d'agressivité. Le profit de chaque investisseur informé doit être calculé dans la partie d, ainsi que les effets d'un n croissant sur le profit agrégé des investisseurs informés.

  • 00:50:00 Le profit attendu du commerçant i est évalué avant qu'il ne connaisse la valeur de v. L'équation de profit prend en compte la nature incertaine de u et v, et le calcul est dérivé étape par étape, en tenant compte de la variance et covariance de v. Le profit espéré est alors
    représenté en fonction du nombre de commerçants informés, démontrant que lorsque le nombre de commerçants informés augmente, le profit global de tous les spéculateurs diminue tandis que le profit de chaque spéculateur individuel diminue également.

  • 00:55:00 L'instructeur discute de l'impact de plusieurs spéculateurs informés sur la microstructure des marchés financiers. Il explique que si un seul spéculateur informé peut maximiser ses profits, plusieurs spéculateurs informés agissant dans leur propre intérêt n'obtiendront pas un profit aussi élevé individuellement et verront une diminution de leur profit global. En effet, plus il y a de commerçants informés, plus ils se font concurrence, ce qui entraîne une baisse des bénéfices pour tous. C'est le problème trois du chapitre quatre.
Exercise class 3, part 1 (Financial Markets Microstructure)
Exercise class 3, part 1 (Financial Markets Microstructure)
  • 2020.08.04
  • www.youtube.com
Exercise class 3, part 1Financial Markets Microstructure course (Masters in Economics, UCPH, Spring 2020)***Full course playlist: https://www.youtube.com/pla...
 

Exercice cours 3, partie 2 (Microstructure des marchés financiers)



Exercice cours 3, partie 2 (Microstructure des marchés financiers)

L'instructeur présente le modèle de glosage, qui est un modèle de marché similaire au modèle de Kyle mais avec un trader limite au lieu d'un revendeur. Dans ce modèle, le trader à cours limité soumet des ordres à cours limité et ne dispose pas d'informations sur la taille totale de la file d'attente des échanges. Le négociant à cours limité ne peut que conditionner le fait que son ordre a été exécuté. En conséquence, le prix dans ce modèle sera discriminatoire, ce qui signifie que l'opérateur du marché qui soumet un ordre au marché exécutera différentes parties de son ordre à des prix différents au fur et à mesure qu'il grimpe dans le livre.

Pour analyser ce modèle, l'instructeur discute de l'hypothèse d'une distribution des tailles des transactions sur le marché et de la manière dont les commerçants informés se comportent pour générer une équation linéaire d'impact sur les prix. Ils supposent que les commerçants de limite n'affectent pas ce comportement. L'instructeur se penche ensuite sur la valeur attendue du prix marginal de la dernière unité échangée et explique comment elle peut être représentée à l'aide de la loi des anticipations itérées. Ils expriment également la valeur attendue de la taille conditionnelle du commerce supérieure à un seuil donné.

Ensuite, l'instructeur explique comment trouver la valeur attendue d'un actif étant donné que la taille de la transaction est supérieure à un certain niveau. Ils dérivent une densité de probabilité conditionnelle pour les tailles de transactions supérieures à une certaine valeur et l'utilisent pour calculer l'espérance conditionnelle. Le processus consiste à prendre l'intégrale de la taille des échanges par rapport à la densité conditionnelle des tailles des échanges. Ils présentent deux expressions possibles pour le résultat final.

L'instructeur explique en outre comment utiliser la densité conditionnelle pour trouver la valeur attendue de la valeur fondamentale étant donné que la taille de la transaction est supérieure à un niveau fixe. Ils considèrent le profit total attendu du trader limite, en tenant compte de la probabilité de transaction, du profit de transaction et du coût d'affichage. On suppose que les commerçants de limite sont compétitifs. En considérant la distribution des tailles des transactions et la distribution de la valeur fondamentale conditionnelle à la taille des transactions, une expression est dérivée qui relie le prix d'une unité spécifique et la profondeur du marché.

La vidéo passe ensuite de l'hypothèse de tailles de ticks et de la recherche de valeurs spécifiques à l'examen du comportement des traders informés compte tenu des limites du marché. L'hypothèse est faite que certains commerçants sont informés tandis que d'autres ne le sont pas, et les commerçants informés optimisent avec une probabilité pi. Les traders non informés soumettent des ordres d'achat ou de vente avec une probabilité égale à une taille de distribution exponentielle. Le scénario suppose un carnet d'ordres à cours limité continu sans pas de cotation. L'instructeur fournit un indice du manuel indiquant que l'espérance conditionnelle pour cette configuration peut être trouvée via le paramètre de distribution sigma.

L'intuition géométrique de la décision commerciale du spéculateur est discutée. Le spéculateur vise à acheter une certaine partie de l'actif lorsque sa valeur est supérieure à un prix minimal indiqué par une étoile. Le commerçant du marché remonte la courbe de l'offre, payant des prix discriminatoires pour chaque unité achetée. La stratégie optimale pour le trader informé est de soumettre une taille d'ordre basée sur une proportion de la valeur de l'actif jusqu'à ce que la courbe d'offre croise la valeur. Le coût marginal d'achat de la première unité est donné par le prix marginal sur la courbe d'offre, tandis que le bénéfice marginal est donné par la valeur de l'actif.

L'instructeur discute ensuite de la relation entre le revenu marginal et le coût marginal dans la microstructure du marché financier. Le commerçant achètera des unités tant que le coût marginal est inférieur à la valeur et que le prix marginal est inférieur au revenu marginal. La partie B de la vidéo se concentre sur la dérivation de la courbe d'offre à l'aide des concepts abordés dans la partie A et de la condition de profit nul. La condition de profit nul stipule que le prix marginal de la qème unité doit être égal à la valeur attendue de l'évaluation fondamentale. La probabilité que l'ordre au marché provienne d'un trader informé peut être déterminée à l'aide de la règle de Bayes.

La probabilité conditionnelle qu'un commerçant soit informé est discutée, étant donné que la taille de la transaction est au moins une certaine valeur. La probabilité est calculée en multipliant la probabilité inconditionnelle qu'un trader soit informé par la probabilité que le trader informé soumette un ordre d'achat d'au moins cette valeur. Des probabilités similaires pour les commerçants non informés sont impliquées dans les dénominateurs, et lors de la simplification, une expression de la probabilité conditionnelle est obtenue avec plusieurs termes exponentiels. Cette valeur alpha est nécessaire pour calculer l'espérance conditionnelle de la valeur fondamentale, ce qui aide à dériver la courbe d'offre ou la profondeur cumulée du marché.

La vidéo explique comment le livre de marché devient plus mince lorsqu'il y a des commerçants plus informés ou lorsque la volatilité augmente. Au fur et à mesure que des transactions plus informées se produisent, le coût de la négociation pour le revendeur augmente, ce qui réduit l'empressement des commerçants à limiter à soumettre leurs ordres. De même, la profondeur du marché diminue lorsque la volatilité augmente, ce qui rend les commerçants de limite plus réticents à soumettre leurs ordres. Les mathématiques impliquées dans ces développements sont relativement simples et l'intuition qui les sous-tend s'aligne sur ce qui a été observé dans de nombreux modèles.

En outre, la vidéo explore le choix auquel sont confrontés les commerçants informés entre négocier à des prix discriminatoires dans un carnet d'ordres à cours limité ou négocier avec un revendeur tout en révélant la taille de leur ordre. La principale différence réside dans la façon dont les prix sont formés, car les revendeurs conditionnent les prix sur la taille totale de la transaction, tandis que les commerçants limites conditionnent les prix sur la taille de leur commande au-dessus d'un certain niveau. En général, les commerçants devraient choisir d'échanger de petites commandes contre un courtier pour faire comprendre qu'ils n'ont pas un fort avantage en matière d'information. À l'inverse, ils devraient choisir de négocier des ordres importants en utilisant un carnet d'ordres à cours limité pour exploiter les informations limitées des commerçants à cours limité et obtenir de meilleurs prix que ceux qu'offrirait un courtier.

En outre, la vidéo explore le choix auquel sont confrontés les commerçants informés entre négocier à des prix discriminatoires dans un carnet d'ordres à cours limité ou négocier avec un revendeur tout en révélant la taille de leur commande. La principale différence réside dans la façon dont les prix sont formés, car les revendeurs conditionnent les prix sur la taille totale de la transaction, tandis que les commerçants limites conditionnent les prix sur la taille de leur commande au-dessus d'un certain niveau. En général, les commerçants devraient choisir d'échanger de petites commandes contre un courtier pour faire comprendre qu'ils n'ont pas un fort avantage en matière d'information. À l'inverse, ils devraient choisir de négocier des ordres importants en utilisant un carnet d'ordres à cours limité pour exploiter les informations limitées des commerçants à cours limité et obtenir de meilleurs prix que ceux qu'offrirait un courtier.

Enfin, l'instructeur répond à la préoccupation concernant les pas de cotation dans le carnet d'ordres à cours limité. Dans ce contexte, les pas de cotation font référence à certains niveaux de prix fixes qui déterminent les prix autorisés sur le marché. Plus le pas de cotation est grand, plus les commerçants de limite de profit peuvent gagner, potentiellement aux dépens des commerçants du marché. En conséquence, la soumission à un carnet d'ordres à cours limité devient moins attrayante par rapport à un marché de concessionnaires où le concessionnaire peut coter n'importe quel prix souhaité.

  • 00:00:00 L'instructeur présente le modèle de glosage, un modèle de marché très similaire au modèle de Kyle mais avec un trader à cours limité qui soumet des ordres à cours limité au lieu d'un revendeur. Le limit trader ne connaît pas la taille totale de la file d'attente et ne peut que conditionner le fait que son ordre a été exécuté. Dans ce modèle, le prix sera discriminatoire et l'opérateur de marché qui a soumis l'ordre de marché exécutera différentes parties de son ordre de marché à des prix différents au fur et à mesure qu'il grimpe dans le livre. L'instructeur passe également en revue un exemple qui adopte une approche globale et ne se concentre pas sur le micro-niveau.

  • 00:05:00 L'orateur discute de l'hypothèse d'une distribution de la taille des transactions sur le marché et explique comment les traders informés se comportent pour générer une équation linéaire d'impact sur les prix, qui définit la juste valeur de l'actif en fonction de la taille de la commande. Ils supposent que les commerçants de limite n'affectent pas ce comportement. L'orateur se penche ensuite sur la valeur attendue du prix marginal de la dernière unité échangée et explique comment elle peut être représentée à l'aide de la loi des anticipations itérées. Ils finissent par exprimer la valeur attendue de la taille conditionnelle du commerce supérieure à q.

  • 00:10:00 L'orateur explique comment trouver la valeur attendue d'un actif étant donné que la taille de la transaction est supérieure à un certain niveau. Ils dérivent une densité de probabilité conditionnelle pour les tailles de transactions supérieures à une certaine valeur et l'utilisent pour calculer l'espérance conditionnelle. L'orateur parcourt le processus de recherche de la densité conditionnelle en prenant l'intégrale de la taille des échanges par rapport à la densité conditionnelle des tailles des échanges, et explique comment arriver à l'une des deux expressions pour le résultat final.

  • 00:15:00 L'orateur explique comment utiliser la densité conditionnelle pour trouver la valeur attendue de la valeur fondamentale de v étant donné que q est au-dessus d'un niveau fixe yk, qui est supérieur à la valeur attendue de v compte tenu de la taille d'ordre fixe. Le profit total attendu du trader limite est donné par la probabilité de transaction multipliée par le profit de la transaction moins le coût d'affichage, et on suppose que les traders limite sont compétitifs. Une fois que la distribution de q et la distribution de v conditionnelle à la taille du commerce q sont prises en compte, une belle expression peut être dérivée qui relie le prix ak de l'unité yk et la profondeur du marché yk.

  • 00:20:00 La vidéo va de l'hypothèse de tailles de cotation et de la recherche d'une valeur spécifique à l'examen du comportement des traders informés compte tenu des limites du marché. L'hypothèse est faite que certains commerçants sont informés tandis que d'autres ne le sont pas, et les commerçants informés optimisent avec la probabilité pi. Pendant ce temps, les traders non informés soumettent des ordres d'achat ou de vente avec une probabilité égale à une taille de distribution exponentielle. Le scénario suppose qu'il n'y a pas de pas de cotation et un carnet d'ordres à cours limité continu, avec un indice donné dans le manuel indiquant que l'attente conditionnelle pour cette configuration peut être trouvée via le paramètre de distribution sigma.

  • 00:25:00 L'orateur discute de l'intuition géométrique de la décision commerciale du spéculateur, qui consiste à acheter y actions sur v lorsque la valeur est supérieure au prix minimal, indiqué par une étoile. Le commerçant du marché grimpera sur la courbe d'offre, en payant des prix discriminatoires pour chaque unité achetée, et la stratégie optimale du commerçant informé est de soumettre une taille d'ordre de y de v jusqu'à ce que la courbe d'offre croise v. Le coût marginal d'achat de la première unité de l'actif est donné par le prix marginal de cette unité sur la courbe d'offre, et le bénéfice marginal de l'achat de cette unité est donné par v.

  • 00:30:00 L'instructeur discute de la relation entre le revenu marginal et le coût marginal dans la microstructure des marchés financiers. Le commerçant achètera des unités tant que le coût marginal est inférieur à la valeur et que le prix marginal est inférieur au revenu marginal. La partie B de la vidéo se concentre sur la dérivation de la courbe d'offre à l'aide de la partie A et de la condition de profit nul, qui stipule que le prix marginal de la qème unité doit être égal à la valeur attendue de l'évaluation fondamentale v. La probabilité de l'ordre du marché provenant d'un trader informé peut être déterminée à l'aide de la règle de Bayes.

  • 00:35:00 La probabilité conditionnelle qu'un commerçant soit informé est discutée, étant donné que la taille de la transaction est au moins q. La probabilité est calculée en prenant la probabilité inconditionnelle qu'un trader soit informé et en la multipliant par la probabilité que le trader informé soumette une taille d'ordre d'achat d'au moins q. Les dénominateurs impliquent des probabilités similaires pour les commerçants non informés, et lors de la simplification, une expression de la probabilité conditionnelle est obtenue avec beaucoup d'exponentielles. Cette valeur alpha est nécessaire pour calculer l'espérance conditionnelle de la valeur fondamentale, qui à son tour aide à dériver la courbe d'offre de l'actif ou la profondeur cumulée du marché.

  • 00:40:00 La vidéo explique comment le livre s'amincit lorsqu'il y a des traders plus informés ou lorsqu'il y a une augmentation de la volatilité. La profondeur cumulée du marché devient plus faible, ce qui entraîne une diminution de la liquidité sur le marché. Comme il y a des échanges plus informés, le coût des échanges pour le revendeur augmente, ce qui fait que les commerçants à cours limité deviennent moins désireux de soumettre leurs ordres à cours limité. De même, la profondeur du marché s'assèche lorsque la volatilité augmente, ce qui rend les traders à cours limité réticents à soumettre leurs ordres à cours limité. Les mathématiques impliquées sont simples et l'intuition derrière ces développements est similaire à celle que nous avons vue dans de nombreux modèles auparavant.

  • 00:45:00 La vidéo traite d'un choix auquel sont confrontés les commerçants informés entre négocier à des prix discriminatoires dans un carnet d'ordres à cours limité ou négocier avec un revendeur tout en révélant la taille de leur commande. La principale différence entre les deux options est la façon dont les prix sont formés, car les concessionnaires conditionnent les prix sur la taille totale de la transaction, tandis que les commerçants limites conditionnent les prix sur la taille de la commande supérieure à un certain niveau. En général, les commerçants devraient choisir de négocier de petits ordres contre un courtier, car cela leur permet de faire comprendre qu'ils n'ont pas un fort avantage en matière d'information, alors qu'ils devraient choisir de négocier des ordres importants en utilisant un carnet d'ordres à cours limité, car ils peuvent exploiter les informations limitées. des commerçants à cours limité pour obtenir de meilleurs prix que ceux qu'un concessionnaire offrirait pour une commande importante.

  • 00:50:00 L'orateur discute de la préoccupation concernant les tailles de cotation dans le livre limitatif, où seuls certains bâtons fixes déterminent les prix. Plus le pas de cotation est grand, plus les commerçants de limite de profit gagnent, ce qui peut se faire au détriment des commerçants du marché. Ainsi, se soumettre à une limite ou à un marché du livre devient moins attrayant lorsque le pas de cotation est plus grand, par rapport à un marché de concessionnaires où le concessionnaire peut coter n'importe quel prix souhaité.
Exercise class 3, part 2 (Financial Markets Microstructure)
Exercise class 3, part 2 (Financial Markets Microstructure)
  • 2020.08.04
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Cours 7, partie 1 : Conception du marché (microstructure des marchés financiers)



Cours 7, partie 1 : Conception du marché (microstructure des marchés financiers)

Dans la conférence précédente, l'orateur a donné un rappel sur les marchés du carnet d'ordres limités ou les marchés axés sur les ordres, en se concentrant sur le modèle de Claussen. Ce modèle a mis en évidence que les limit traders agissent comme des fournisseurs de liquidités sur le marché, similaires aux dealers, mais avec une approche différente en raison d'un désavantage informationnel. La conférence a ensuite introduit diverses dimensions de la conception du marché qui peuvent influencer le commerce et l'environnement du marché dans les marchés axés sur les ordres. Ces dimensions incluent les pas de cotation, les règles de priorité et l'inclusion des concessionnaires. L'orateur a souligné que la compréhension de ces dimensions est cruciale pour une régulation efficace du marché, et leurs effets seront explorés plus en détail dans la conférence.

L'accent principal de la conférence était sur l'analyse dynamique des marchés axés sur les ordres et le processus de prise de décision pour les commerçants quant à savoir s'il faut soumettre des ordres de marché ou des ordres à cours limité. Cette décision est une décision courante prise par les commerçants sur les marchés réels. La conférence s'est penchée sur la réglementation des pas de cotation et son impact sur la liquidité et la profondeur du marché. Cependant, il a également mis en évidence les conséquences involontaires potentielles de ces réglementations, car elles peuvent avoir l'effet inverse et fausser les incitations des agents, conduisant à des résultats inefficaces. Des graphiques ont été utilisés pour aider à expliquer comment la courbe d'offre générée par le carnet d'ordres à cours limité représente les informations disponibles pour les commerçants lorsqu'une transaction a lieu.

Le conférencier a ensuite discuté du concept de la ligne de profit zéro pour les commerçants à cours limité dans un marché concurrentiel avec des ticks continus. Cette ligne représente le prix auquel un trader limite fixe son ordre pour s'assurer qu'aucun profit n'est réalisé. Cependant, avec des ticks discrets, la ligne de profit zéro se déplace lorsque les traders à cours limité soumettent des ordres, générant potentiellement des bénéfices positifs. Dans un marché à priorité temporelle, le carnet d'ordres à cours limité fonctionne selon le principe du premier arrivé, premier servi, donnant la priorité aux ordres antérieurs par rapport aux ultérieurs. Par conséquent, une fois que le point de profit zéro est atteint à un prix spécifique, aucun autre ordre à cours limité ne sera présent dans le livre.

L'impact de la réduction du pas de cotation sur le marché a ensuite été examiné. Des pas de cotation plus petits entraînent une fixation des prix à des incréments plus fins, ce qui se traduit géométriquement par une baisse du potentiel de profit pour les commerçants à cours limité. Le profit moyen des limit traders diminue, ce qui entraîne une réduction du nombre de limit traders participant au marché et par conséquent moins de profondeur dans le carnet d'ordres. Bien qu'une diminution de l'écart acheteur-vendeur puisse se produire, elle est généralement minime en raison d'erreurs d'arrondi, plutôt qu'une diminution significative.

À l'avenir, le conférencier a discuté des effets du pas de cotation sur la microstructure des marchés financiers. Le pas de cotation fait référence à l'incrément de prix minimum auquel un titre peut évoluer. La diminution de la taille du tick conduit à un écart acheteur-vendeur plus étroit et à une liquidité accrue, mais cela peut également chasser certains traders de limite du marché. En conséquence, la profondeur du marché diminue et la récupération de la liquidité après les transactions devient plus lente, ce qui a un impact sur la résilience du marché. Ces conclusions ont été étayées par des tests effectués sur le NYSE lorsque la taille du tick est passée de 1/8 à 1/16 de dollar, ce qui correspond aux effets prédits. Pour susciter une discussion plus approfondie, le conférencier a posé une question ouverte sur le rôle de la priorité temporelle sur le marché et a inclus une citation de Man Winner sur HFT 101.

L'importance du pas de cotation dans la conception du marché et son impact sur la priorité des prix par rapport à la priorité temporelle ont ensuite été discutés. Des pas de cotation plus petits donnent une plus grande importance à la priorité de prix par rapport à la priorité de temps. Des tailles de cotation inférieures peuvent être utilisées pour équilibrer les deux priorités, éliminant potentiellement les traders à haute fréquence tout en attirant les traders plus lents. La conférence a également présenté l'attribution au prorata comme alternative à la priorité temporelle. L'allocation au prorata attribue les actions à tous les ordres limités à un niveau de prix donné proportionnellement à leur taille lorsqu'un ordre au marché est reçu.

La vidéo a ensuite exploré l'allocation au prorata sur des marchés concurrentiels. Sur ces marchés, le dernier trader à cours limité qui a soumis un ordre à un tick donné ne reçoit aucun profit. Cependant, tous les traders à ce niveau de tick sont traités de la même manière, ce qui entraîne un profit nul pour tous les traders collectivement à ce tick. Par conséquent, la courbe d'offre globale sur le marché présente une plus grande profondeur à un tick donné. Cependant, cela n'implique pas nécessairement qu'une plus grande quantité sera disponible à un niveau de prix spécifique.

Le concept d'allocation au prorata a été examiné plus avant, en particulier sur des marchés tels que les contrats à terme électroniques sur les taux d'intérêt à court terme et le marché des bons du Trésor américain à deux ans. Bien que l'allocation au prorata puisse améliorer la profondeur à chaque niveau de prix, elle peut également entraîner une baisse des bénéfices pour les traders de limite, les éloignant potentiellement du marché. La conférence a également abordé les marchés hybrides, où les concessionnaires sont introduits dans les marchés axés sur les ordres pour fournir des liquidités supplémentaires. Cependant, cette inclusion peut annuler les avantages, car les commerçants à cours limité adaptent leur comportement à la présence de concessionnaires.

Enfin, le conférencier a discuté des actions d'un concessionnaire sur un marché avec des ticks rouges et une priorité de prix. La rentabilité des traders à cours limité a été examinée, révélant que les petites commandes génèrent des bénéfices tandis que les grosses commandes entraînent des pertes. Dans un tel scénario, le concessionnaire observe la taille des ordres de marché entrants et doit offrir un prix qui dépasse le seuil de rentabilité tout en améliorant les prix indiqués dans le carnet d'ordres à cours limité. Ce faisant, le concessionnaire peut générer des profits et potentiellement améliorer l'exécution de la transaction.

De plus, l'impact des concessionnaires sur le carnet d'ordres à cours limité et la liquidité globale du marché a été abordé. Les concessionnaires peuvent tirer profit en proposant des prix plus favorables que ceux du carnet d'ordres à cours limité. Cependant, cela signifie qu'ils prennent de manière sélective des ordres à cours limité rentables tout en ne relayant que ceux qui ne sont pas rentables dans le carnet d'ordres. En conséquence, les limit traders sont progressivement chassés du marché et la liquidité fournie par les dealers remplace la liquidité précédemment offerte par les limit traders. Par conséquent, l'ajout de courtiers diminue la liquidité et la profondeur du marché dans des conditions de marché favorables. Cependant, il peut augmenter la liquidité en période défavorable en fournissant une forme d'assurance de liquidité pour le marché.

En conclusion, la conférence a mis en lumière divers aspects des marchés axés sur les ordres et leur dynamique. Il a souligné l'importance de comprendre les dimensions de la conception du marché telles que les tailles de cotation, les règles de priorité et le rôle des concessionnaires dans la formation des résultats du marché. La réglementation du pas de cotation a été examinée, révélant son impact sur la liquidité du marché, sa profondeur et le comportement des commerçants à cours limité.

Le conférencier a souligné que la réduction de la taille des ticks peut conduire à un écart acheteur-vendeur plus étroit et à une liquidité accrue, mais peut également chasser certains traders de limite du marché. Cette réduction de la profondeur du marché peut entraîner une récupération plus lente de la liquidité après les transactions et affecter la résilience globale du marché. Les effets du pas de cotation ont été étayés par des tests empiriques menés sur le NYSE, renforçant les conséquences anticipées.

La conférence a également exploré l'interaction entre la priorité de prix et la priorité de temps, soulignant que des pas de cotation plus petits augmentent l'importance de la priorité de prix par rapport à la priorité de temps. Des tailles de cotation inférieures peuvent être utilisées pour équilibrer les deux priorités, attirant potentiellement les traders plus lents tout en décourageant les traders à haute fréquence. L'allocation au prorata a été introduite comme alternative à la priorité temporelle, ce qui peut améliorer la profondeur à chaque niveau de prix mais peut réduire les bénéfices des traders à cours limité.

Le rôle des concessionnaires sur les marchés axés sur les commandes était un autre point central. Il a été révélé que les concessionnaires peuvent profiter en offrant de meilleurs prix que ceux du carnet d'ordres à cours limité, en sélectionnant de manière sélective les ordres à cours limité rentables tout en laissant ceux qui ne sont pas rentables pour le carnet de commandes. Par conséquent, la liquidité fournie par les courtiers remplace celle des négociateurs à cours limité, ce qui peut entraîner une diminution de la liquidité et de la profondeur du marché. Cependant, la présence de concessionnaires peut offrir une assurance de liquidité dans des conditions de marché défavorables.

Tout au long de la conférence, des graphiques et des exemples ont été utilisés pour illustrer les concepts clés et faciliter la compréhension. En plongeant dans les subtilités des marchés axés sur les ordres, la conférence a fourni des informations précieuses sur la dynamique du marché, le processus de prise de décision des commerçants et les conséquences potentielles des choix de conception du marché.

L'analyse complète des marchés des carnets d'ordres limités, des pas de cotation, des règles de priorité et du rôle des courtiers a permis de mieux comprendre les complexités et les compromis impliqués dans la conception et la réglementation des marchés axés sur les ordres. La conférence a servi de base pour une exploration et une discussion plus approfondies sur la nature dynamique de ces marchés et les implications pour les acteurs du marché et les régulateurs.

  • 00:00:00 L'orateur donne un rappel de la conférence précédente, qui couvrait les marchés du carnet d'ordres à cours limité ou les marchés axés sur les ordres, en particulier le modèle de Claussen et comment il a montré que les commerçants à cours limité agissent comme des revendeurs en fournissant des liquidités au marché, mais dans un manière différente en raison d'un désavantage informationnel. L'orateur présente ensuite différentes dimensions de la conception du marché qui peuvent affecter le commerce et l'environnement du marché dans les marchés axés sur les ordres, telles que l'utilisation de pas de cotation, les règles de priorité et l'inclusion de concessionnaires dans le marché. Ces dimensions peuvent être utilisées pour la régulation et l'orateur explorera leurs effets dans la suite du cours.

  • 00:05:00 L'accent est mis sur l'analyse dynamique des marchés axés sur les ordres et sur la manière dont les traders choisissent entre soumettre un ordre au marché ou un ordre à cours limité, décision prise par la plupart des traders sur les marchés réels. La conférence se penche sur la réglementation du pas de cotation et son incidence sur la liquidité et la profondeur du marché. Les conséquences involontaires de ces réglementations sont mises en évidence car elles peuvent se retourner contre elles en déformant les incitations des agents, entraînant des résultats inefficaces. La conférence comprend également des graphiques pour expliquer comment la courbe d'offre générée par le carnet d'ordres à cours limité représente ce qu'un commerçant sait en cas de transaction.

  • 00:10:00 Le conférencier discute de la ligne de profit zéro pour les commerçants de limite dans un marché concurrentiel avec des ticks continus. La ligne de profit zéro représente le prix qu'un trader limite fixe pour s'assurer qu'il ne reçoit aucun profit. Avec des ticks discrets, la ligne de profit zéro change à mesure que les traders à cours limité soumettent des ordres jusqu'au point où ils génèrent des profits positifs. Dans un marché avec priorité temporelle, le carnet d'ordres à cours limité fonctionne selon le principe du premier arrivé, premier servi, ce qui signifie que les ordres antérieurs ont priorité sur les suivants. Par conséquent, il n'y aura plus d'ordres à cours limité une fois que le point de profit zéro sera atteint à un certain prix.

  • 00:15:00 Le conférencier discute de l'impact de la réduction de la taille des ticks sur le marché et de l'effet qu'elle a sur les bénéfices des commerçants à cours limité. Avec des tailles de cotation plus petites, les prix sont fixés à des incréments plus fins, ce qui entraîne une baisse des bénéfices pour les commerçants à cours limité, comme indiqué géométriquement. Le profit moyen pour les traders de limite diminuera, ce qui entraînera moins de traders de limite et moins de profondeur sur le marché. De plus, bien qu'une réduction de la propagation puisse se produire, il s'agira d'une petite diminution due à des erreurs d'arrondi, plutôt qu'une diminution significative de la propagation.

  • 00:20:00 Le conférencier discute des effets de la taille des ticks sur la microstructure des marchés financiers. Le pas de cotation fait référence à la plus petite augmentation de prix qu'un titre peut déplacer. Lorsque la taille du tick est réduite, cela conduit à un écart acheteur-vendeur plus étroit et augmente la liquidité, mais chasse également certains traders de limite du marché. Ceci, à son tour, se traduit par une profondeur moindre et une récupération plus lente de la liquidité après les transactions, ce qui affecte la résilience. Les conclusions sont étayées par des tests effectués à la NYSE lorsque la taille du tick est passée de 1/8 à 1/16 de dollar et s'alignent sur les effets prédits. Le conférencier pose ensuite une question ouverte sur le rôle de la priorité temporelle sur le marché et fournit une citation par un homme gagnant sur HFT 101.

  • 00:25:00 Le conférencier discute de l'importance de la taille du tick dans la conception du marché et de son impact sur la priorité des prix par rapport à la priorité temporelle. Plus le pas de cotation est petit, plus la priorité de prix devient importante par rapport à la priorité de temps. Des tailles de cotation inférieures peuvent être utilisées pour équilibrer la priorité des prix par rapport à la priorité temporelle et peuvent chasser les traders à haute fréquence tout en attirant les traders plus lents. Le conférencier introduit ensuite l'allocation au prorata comme alternative à la priorité temporelle, qui alloue des actions à tous les ordres à cours limité à un niveau de prix donné proportionnellement à leur taille lorsqu'un ordre au marché arrive.

  • 00:30:00 La vidéo explore le concept d'allocation au prorata sur des marchés concurrentiels. Sur ces marchés, le dernier trader à cours limité qui a soumis un ordre à un tick donné ne reçoit aucun profit, mais tous les traders à un tick donné sont traités de la même manière, ce qui signifie que le profit de tous les traders sur un marché donné est égal à zéro. Par conséquent, la courbe d'offre globale sur le marché affichera une plus grande profondeur à un tick donné, mais cela ne signifie pas nécessairement qu'il y aura une plus grande quantité disponible à un niveau de prix particulier.

  • 00:35:00 La vidéo traite de l'allocation au prorata, c'est-à-dire où les traders se voient attribuer une partie d'une transaction en fonction de la taille de leur commande. Il est utilisé sur certains marchés, tels que les contrats à terme électroniques pour les taux d'intérêt à court terme et le marché des bons du Trésor américain à deux ans, mais peut entraîner une baisse des bénéfices pour les traders à cours limité et les chasser du marché. La section explore également le concept de marchés hybrides, où les concessionnaires sont attirés vers des marchés axés sur les ordres pour fournir plus de liquidités, mais cela peut finalement compenser les avantages car les commerçants limite adaptent leur comportement à la présence des concessionnaires.

  • 00:40:00 Le conférencier discute des actions d'un revendeur sur un marché avec des ticks rouges et une priorité de prix. Les bénéfices des commerçants à cours limité sont examinés, où les petites commandes font un profit mais les grosses commandes entraînent une perte. Le négociant observe alors la taille de l'ordre de marché entrant et doit proposer un prix supérieur au seuil de rentabilité, mais peut encore améliorer les prix indiqués par le carnet d'ordres à cours limité. Ce faisant, le concessionnaire peut réaliser un profit et potentiellement améliorer l'exécution de la transaction.

  • 00:45:00 L'orateur discute de l'impact des concessionnaires sur le carnet d'ordres limités et la liquidité du marché. Il explique que les concessionnaires peuvent profiter en citant un prix meilleur que ceux du carnet d'ordres à cours limité. Cependant, cela signifie qu'ils sélectionnent les ordres à cours limité rentables et ne relaient que ceux qui ne sont pas rentables dans le carnet d'ordres à cours limité. Le résultat est que les commerçants à cours limité sont chassés du marché et la liquidité fournie par le courtier évince la liquidité fournie par les commerçants à cours limité sur le marché. L'ajout d'un courtier diminue la liquidité et la profondeur du marché dans les périodes fastes, mais il peut augmenter la liquidité dans les périodes difficiles en fournissant une sorte d'assurance de liquidité pour le marché.
Lecture 7, part 1: Market Design (Financial Markets Microstructure)
Lecture 7, part 1: Market Design (Financial Markets Microstructure)
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Conférence 7, partie 2 : LOB Markets - Dynamic Analysis (Financial Markets Microstructure)



Conférence 7, partie 2 : LOB Markets - Dynamic Analysis (Financial Markets Microstructure)

Dans ce segment de la conférence, l'accent est mis sur l'analyse dynamique des marchés du carnet d'ordres à cours limité (LOB), en particulier le processus de prise de décision des traders lorsqu'il s'agit de choisir entre prendre ou créer des liquidités et soumettre des ordres de marché ou à cours limité. Le conférencier se penche sur le compromis impliqué dans ces choix, soulignant que les ordres au marché offrent une exécution immédiate mais au prix actuel du marché, tandis que les ordres à cours limité ont le potentiel d'un meilleur prix mais comportent un risque de non-exécution et sont sensibles à la sélection adverse.

Deux modèles notables sont introduits pour examiner l'analyse dynamique du choix entre ordre de marché et ordre à cours limité : le modèle de Christine Parlour et le modèle de Foucault. Ces modèles diffèrent dans leurs considérations de sélection adverse, de risque de non-exécution et de retard, visant à comprendre quels types d'ordres sont soumis par différents commerçants. Cependant, le conférencier reconnaît la complexité d'effectuer une analyse dynamique complète des marchés LOB en raison de la multitude de facteurs en jeu.

Le conférencier discute ensuite de la dépendance dynamique entre les futurs agents dans la microstructure des marchés financiers. L'attrait de soumettre un ordre à cours limité aujourd'hui dépend de la probabilité d'exécution ou des choix faits par les futurs agents qui négocieront contre lui. Cela crée une boucle dynamique difficile où la soumission des ordres à cours limité dépend des choix des futurs agents, qui, à leur tour, dépendent des probabilités d'exécution. Pour illustrer ce concept, un modèle simple est introduit où les commerçants arrivent et décident de soumettre un ordre à cours limité ou au marché pour une unité de l'actif. Le choix est influencé par la probabilité d'exécution de l'ordre à cours limité, qui est inférieure à un, entraînant un retard dans le processus de prise de décision.

La conférence explore en outre un modèle qui prend en compte le risque de non-exécution, où les traders se voient attribuer une évaluation de V plus y. Bien que les traders aient des évaluations différentes pour l'actif, cela n'est pas dû au fait qu'ils possèdent des informations différentes sur la valeur fondamentale V. V représente la valeur fondamentale de l'actif, connue ou inconnue de tous les acteurs du marché. Les traders attribuent différentes évaluations à des fins de liquidité ou de gestion des risques. Chaque commerçant intègre une idée d'une composante de crédit uniformément répartie sur un intervalle, centrée autour de zéro et indépendante entre les commerçants. Les probabilités d'équilibre d'exécution des ordres à cours limité ou au marché sont déterminées en tenant compte du délai explicite, qui sert d'inconnue recherchée dans le modèle.

Pour faciliter la compréhension, le présentateur introduit une représentation graphique de quatre lignes linéaires représentant les bénéfices associés aux différents types d'ordres sur les marchés LOB. Les traders rationnels sont censés choisir le type d'ordre qui maximise leur profit attendu en fonction de leur valorisation Y. Les traders avec un Y élevé opteront pour un achat immédiat via un ordre au marché, tandis que ceux avec des valorisations élevées mais sans sentiment d'urgence peuvent risquer un ordre limité pour obtenir un meilleur prix. D'autre part, les commerçants avec des valorisations faibles préféreront vendre l'actif. Ce processus de prise de décision garantit que tous les commerçants ont la possibilité d'acheter l'actif au meilleur prix possible.

La stratégie de trading optimale est discutée en fonction de différents niveaux d'urgence à vendre. Les traders dont les valorisations sont extrêmement faibles pour détenir l'actif sont disposés à vendre à un prix inférieur, tandis que ceux dont les valorisations sont modérément faibles peuvent prendre le risque d'une période d'exécution plus longue en échange d'un prix légèrement plus élevé. La probabilité des prochains ordres de marché à vendre ou à acheter peut être calculée sur la base de la distribution de Y, de la composante crédit des valorisations et des points de rupture dans le graphique. La conférence reconnaît que les seuils d'équilibre et les probabilités n'ont pas encore été déterminés.

L'orateur approfondit ensuite les probabilités associées à la distribution uniforme et la détermination des seuils pour y à l'aide de points d'indifférence. Les points d'indifférence représentent les valorisations auxquelles les traders sont également enclins à soumettre un ordre limité de vente ou un ordre limité d'achat, car les bénéfices attendus des deux choix sont équivalents. L'orateur montre comment résoudre le système et trouver l'équilibre à l'aide d'un modèle simplifié. Un exemple est fourni, illustrant que les traders avec des valorisations extrêmes entre -2 et -0,4 soumettront des ordres au marché pour vendre, tandis que ceux avec des valorisations élevées entre 1,4 et 2 soumettront des ordres au marché pour acheter. Bien que la probabilité d'exécution des ordres à cours limité soit faible, les traders sont prêts à prendre le risque en raison de l'amélioration significative potentielle des prix qu'ils peuvent atteindre.

De plus, l'orateur mentionne l'inclusion de la sélection adverse dans un modèle, ainsi que le risque de non-exécution. Cependant, étant donné que ces deux frictions n'interagissent pas de manière significative, le modèle n'offre pas d'informations substantielles au-delà de ce qui a déjà été exploré dans les discussions précédentes sur la sélection adverse (modèle de Clausten) et le risque de non-exécution (modèle de Parlour). L'orateur avertit que les efforts réglementaires visant à améliorer la liquidité et la profondeur du marché peuvent avoir des conséquences imprévues, comme en témoignent les divers aspects de la conception du marché examinés tout au long de la conférence.

À la fin de la conférence, l'orateur propose un exercice sur lequel les étudiants travailleront, explorant l'effet des frais facturés pour les ordres limités et les ordres de marché dans le cadre du modèle Parlour. Cet exercice encourage une exploration et une analyse plus approfondies de la dynamique complexe et des implications des différents mécanismes de marché. De plus, la conférence se termine en invitant les téléspectateurs à envisager de s'inscrire à un prochain cours de conception de mécanismes, indiquant qu'il y a plus à apprendre et à discuter concernant le domaine fascinant de la dynamique du marché et de la conception.

  • 00:00:00 Le conférencier plonge dans l'analyse dynamique des marchés des carnets d'ordres à cours limité, en se concentrant sur la façon dont les traders décident de prendre ou de créer des liquidités et de soumettre des ordres à cours limité ou au marché. Le compromis entre ces choix est exploré, car les ordres au marché peuvent être exécutés immédiatement mais au prix actuel du marché, tandis que les ordres à cours limité peuvent donner un meilleur prix mais présentent un risque de non-exécution et sont sujets à la sélection adverse. Le conférencier évoque également une future discussion sur la fragmentation du marché et invite les téléspectateurs à suivre un prochain cours de conception de mécanismes.

  • 00:05:00 L'enseignant discute des modèles d'analyse dynamique du choix entre ordres de marché et ordres à cours limité, en se concentrant sur deux modèles particuliers : le modèle de Christine Parlour et le modèle de Foucault. Bien que les deux modèles examinent le choix entre les types d'ordres, ils diffèrent en termes de prise en compte de la sélection adverse, du risque de non-exécution et du délai. Le conférencier note que les modèles tentent de déterminer quels commerçants soumettent quel type d'ordres. Cependant, ils reconnaissent qu'il est difficile d'effectuer une analyse dynamique appropriée des marchés des carnets d'ordres à cours limité en raison des nombreux éléments mobiles impliqués dans l'analyse.

  • 00:10:00 L'orateur discute de la dépendance dynamique entre les futurs agents dans la microstructure des marchés financiers. L'attrait de soumettre un ordre à cours limité aujourd'hui dépend de la probabilité d'exécution ou des choix des futurs agents qui négocieront contre lui. Cela crée une boucle dynamique difficile car la soumission des ordres à cours limité dépend des choix de l'agent futur, qui à leur tour dépendent des probabilités d'exécution. L'orateur présente ensuite un modèle simple où les commerçants arrivent et décident de soumettre un ordre à cours limité ou au marché pour une unité de l'actif. Le choix dépend de la probabilité que l'ordre à cours limité soit exécuté, qui est inférieur à un, provoquant un retard.

  • 00:15:00 L'accent est mis sur un modèle sur le risque de non-exécution où les commerçants reçoivent une évaluation comme V plus y et ont des évaluations différentes pour l'actif mais pas parce qu'ils ont des informations différentes sur V. V est la valeur fondamentale de l'actif et est connu ou inconnu de tous. Les commerçants font des évaluations différentes pour des raisons de liquidité ou de gestion des risques. Chaque commerçant aura cette idée dans la composante de crédit qui est uniformément répartie sur un certain intervalle pour plus de simplicité, de sorte qu'elle est centrée autour de 0 et est indépendante entre les commerçants. Les probabilités d'exécution des transactions limite ou Electra seront déterminées à l'équilibre car ce sont en fait les inconnues recherchées impliquant un retard explicite.

  • 00:20:00 Le présentateur dessine quatre lignes linéaires représentant les bénéfices de la soumission de différents types d'ordres sur les marchés LOB et explique qu'un trader rationnel choisira le type d'ordre qui génère le bénéfice attendu le plus élevé en fonction de leur Y ou de la valorisation de l'actif . Les traders avec un Y élevé voudront acheter immédiatement avec un ordre au marché, tandis que ceux avec des valorisations élevées mais pas urgentes risqueront un ordre à cours limité pour avoir une chance de négocier à un meilleur prix, et ceux avec des valorisations faibles voudront vendre. Ce processus de prise de décision garantit que tous les commerçants peuvent acheter l'actif au meilleur prix possible.

  • 00:25:00 La stratégie de trading optimale est discutée en fonction de différentes valeurs d'urgence à vendre. Les traders avec des valorisations très faibles de détention de l'actif seront disposés à vendre à un prix inférieur, tandis que ceux avec des valorisations légèrement basses prendront le risque d'une exécution plus longue et négocieront à un prix légèrement plus élevé. La probabilité des prochains ordres de marché à vendre ou à acheter peut être calculée sur la base de la distribution de Y, de l'idée de la composante secrète des valorisations et des points de rupture dans le graphique. Les ordres à cours limité sont plus attrayants lorsqu'ils sont plus susceptibles d'être exécutés, ce qui indique la résilience du marché en raison du système d'auto-équilibrage du carnet d'ordres à cours limité. Le cours n'a pas encore trouvé les seuils d'équilibre et les probabilités.

  • 00:30:00 L'orateur discute des probabilités de la distribution uniforme et de la recherche des seuils pour y en utilisant des points d'indifférence. Ces points d'indifférence sont déterminés par la valorisation y à laquelle le trader est indifférent entre la soumission d'un ordre limité de vente et d'un ordre limité d'achat, ce qui signifie que les bénéfices attendus entre les deux doivent être égaux. L'orateur montre comment résoudre le système et trouver l'équilibre à l'aide d'un modèle simplifié. Ils donnent un exemple où les traders avec des valorisations extrêmes entre -2 et -0,4 soumettront un ordre au marché pour vendre, et ceux avec des valorisations élevées entre 1,4 et 2 soumettront des ordres au marché pour acheter. La probabilité d'exécution est faible pour les ordres à cours limité, mais les traders sont prêts à prendre le risque de la forte amélioration de prix qu'ils peuvent recevoir.

  • 00:35:00 L'orateur discute d'un modèle qui inclut la sélection adverse en plus du risque de non-exécution. Cependant, comme ces deux frictions n'interagissent pas vraiment, le modèle n'ajoute rien à ce qui a déjà été exploré dans les discussions précédentes sur la sélection adverse dans le modèle de Clausten et le risque de non-exécution dans le modèle de Parlour. L'orateur prévient également que la réglementation visant à améliorer la liquidité et la profondeur du marché pourrait se retourner contre lui, comme en témoignent les différents aspects de la conception du marché explorés dans cette conférence. La conférence se termine par un exercice sur lequel les étudiants peuvent travailler, explorant l'effet des frais facturés pour les ordres à cours limité et les ordres au marché dans le modèle Parlour.
Lecture 7, part 2: LOB Markets - Dynamic Analysis (Financial Markets Microstructure)
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