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Leonid, je suis le mien, bourgeois.
Un réseau neuronal n'imite en aucun cas le fonctionnement du cerveau. Il permet uniquement de simuler ses processus végétatifs ("végétaux").
Un réseau neuronal ? C'est élémentaire, Watson.
Et il est nécessaire de résoudre la tâche la plus simple et la plus agréable - acheter bon marché et vendre cher.
Neuronet est un jouet pour les enfants, les adultes ne s'occupent pas de telles conneries.
L'avantage du réseau neuronal est qu'il est, si je puis dire, un "régresseur universel". Eh bien, presque universel. Par exemple, je les utilise dans certains cas, pour ainsi dire "intermédiaires", lorsqu'il est nécessaire de comprendre s'il y a une dépendance, de quel type et tout cela, et qu'on n'a pas le temps et l'effort de le faire, il faut passer à autre chose. Mais faire du commerce avec - c'est moi qui suis contre.
Il me semble parfois (de plus en plus souvent) que le travail avec les réseaux neuronaux me rappelle les expériences d'un alchimiste obsédé. Beaucoup de cônes, de livres, de réactifs... On mélange, on teste, on regarde, et finalement une pierre philosophale devrait sortir, mais non... C'est la même chose avec les réseaux neuronaux, mais de façon moderne. Plusieurs moniteurs avec un tas de fenêtres, de tableaux, de graphiques, de diagrammes. Une douzaine de programmes sont suspendus, comptant quelque chose. Le système est conçu de telle sorte que les TPE sont prêts, les graphiques sont façonnés de la bonne manière, les diagrammes promettent des rivières d'argent. Les tests, les vérifications, les mises au point commencent, et... bam. Une autre déception. Vous restez assis pendant un moment, puis vous fumez et réfléchissez à l'endroit où ajouter un neurone, à la grille à refaire, à la modification des connexions et à l'erreur en général. Vous commencez à changer quelque chose, à le retravailler. Encore une fois, une cuisine entière avec la préparation des données. Echantillons frais, optimisation, rationnement, tests, contrôles... Encore une formation en cours, attente... Et ainsi de suite en cercle. Pour être honnête, vous ne suivez pas le marché, vous n'avez pas le temps et l'énergie. Tout cela dans l'espoir que votre "machine de cuisine" équipée de réseaux neuronaux verra tout et "comprendra" le marché. C'est pour cela qu'il a été créé ! Au bout de quelques mois, on se lasse. Tu tapes juste sur un jeu. Vous laissez le temps au cerveau enflammé de se refroidir, mais au même moment, quelque part dans les recoins de la conscience, un nouveau plan "brillant" voit le jour. Et tout recommence. L'espoir meurt en dernier....
Vous semblez être un étranger au "scalpel d'ocamma" :) Et en vain.
Je suis d'accord, j'ai eu beaucoup d'ennuis.
Mais ça ne marche pas sur un simple.
L'espoir meurt en dernier....
le perseptron miraculeux n'est bon que pour guérir la varicelle
Je suis d'accord, j'ai abandonné le Perseptron il y a longtemps, c'est faible. La régression est plus simple et donne le même résultat.
Le Perseptron, en tant que pièce auxiliaire du système, peut encore être utile, mais il est plus facile de passer du temps à en "extraire" la "connaissance" (si elle en a une), et à la faire régresser mathématiquement. Il n'y aura pas de problème de formation.
Il me semble parfois (de plus en plus souvent) que le travail avec les réseaux neuronaux me rappelle les expériences d'un alchimiste obsédé. Beaucoup de cônes, de livres, de réactifs... On mélange, on teste, on regarde, et finalement une pierre philosophale devrait sortir, mais non... C'est la même chose avec les réseaux neuronaux, mais de façon moderne. Plusieurs moniteurs avec un tas de fenêtres, de tableaux, de graphiques, de diagrammes. Une douzaine de programmes sont suspendus, comptant quelque chose. Le système est conçu de telle sorte que les TPE sont prêts, les graphiques sont façonnés de la bonne manière, les diagrammes promettent des rivières d'argent. Les tests, les vérifications, les mises au point commencent, et... bam. Une autre déception. Vous restez assis pendant un moment, puis vous fumez et réfléchissez à l'endroit où ajouter un neurone, à la grille à refaire, à la modification des connexions et à l'erreur en général. Vous commencez à changer quelque chose, à le retravailler. Encore une fois, une cuisine entière avec la préparation des données. Echantillons frais, optimisation, rationnement, tests, contrôles... Encore une formation en cours, attente... Et ainsi de suite en cercle. Franchement, vous ne suivez pas le marché, vous n'avez pas le temps et l'énergie. Tout cela dans l'espoir que votre "machine de cuisine" équipée de réseaux neuronaux verra tout et "comprendra" le marché. C'est pour cela qu'il a été créé ! Au bout de quelques mois, on se lasse. Vous vous gavez juste d'un jeu. Vous laissez le temps au cerveau enflammé de se refroidir, mais au même moment, quelque part dans les recoins de la conscience, un nouveau plan "brillant" voit le jour. Et tout recommence. L'espoir meurt en dernier....