[ARCHIVE] FOREX - Tendances, prévisions et conséquences (Episode 14 : Avril 2012) - page 83

 
nikat97:
Le Canadien est un champion
Oui, je l'ai acheté.
 
MobileMan:
Oui, je l'ai acheté.
Il me manquait sept points pour atteindre le but.
 
nikat97:
Il me manquait sept points pour atteindre le but.
Ouais, c'est la fin de l'achat.
 

Où est Draghi ? Ou est-ce que tout a déjà été dit, mais pas dans le terminal ?

 
dvs:

Où est Draghi ? Ou a-t-il déjà tout dit, seulement il n'était pas dans le terminal ?


En ce qui concerne le sujet, il a déjà parlé. Et ce qu'il a dit à ce sujet, Margarita nous le dira.
 
andreika:

il a déjà parlé. et margarita nous dira ce qu'il en a dit.

il n'a rien dit de bon de la naissance ))))
 
solar:

il n'a rien dit de bon de la naissance ))))

alors pourquoi l'or a si bien roulé ????
 
andreika:

alors pourquoi l'or s'est si bien comporté ????
Laissez les analystes l'interpréter, laissez-les raconter l'histoire.
 
solar:
Laissez les analystes parler.

Ça ne me dérange pas. Bien qu'il n'y ait pas de fumée sans feu.
 
solar:
laissez l'interprétation aux analystes, qu'ils la racontent.


ils nous diront ))))

mais voici ce qui est écrit sur le fonds....

Ce dont les investisseurs rêvaient dans leurs cauchemars commence à se réaliser : des sources au sein du gouvernement espagnol ont déclaré aujourd'hui que l'État pourrait prendre en charge les finances de certaines régions autonomes dès le mois de mai, afin de restaurer la confiance des acteurs du marché. Les investisseurs sont plutôt sceptiques quant à l'effet positif potentiel de ces mesures. Certains disent que la situation rappelle la façon dont l'Irlande a géré ses banques nationales, une histoire qui ne s'est pas bien terminée. D'autres doutent que le gouvernement soit en mesure de gérer plus efficacement les déficits budgétaires régionaux que leurs dirigeants. Dans l'ensemble, il semble que si le gouvernement impose une plus grande discipline fiscale également au niveau régional, il ne fera qu'aggraver la situation économique déjà défavorable du pays. Entre-temps, assurer le contrôle des finances régionales menace d'accroître la dette nationale, dont la viabilité est déjà très discutable. Certains "vétérans" plaisantent même en disant que l'Espagne veut consolider son statut de "trop gros pour faire faillite" après tout.

La dette nationale officielle de l'Espagne s'élève à 68,2 % du PIB (fin 2011), mais certains experts préviennent que les emprunts sont en augmentation depuis le début de l'année. Si l'on tient compte du plan de sauvetage de la BCE (332 milliards de dollars), des fonds de stabilisation (125 milliards de dollars), des engagements envers la Banque européenne d'investissement (67 milliards de dollars) et l'AMF (Fonds d'assistance macrofinancière) ainsi que des coûts au sein du budget de l'UE, la dette espagnole s'élève à 1 733 milliards de dollars, ce qui correspond à près de 134 % du PIB. Les obligations espagnoles sont en hausse aujourd'hui, mais il est peu probable que cela soit le reflet d'une confiance accrue des investisseurs et l'amélioration sera probablement temporaire. Les responsables de la BCE ont annoncé la semaine dernière qu'ils prévoyaient de reprendre l'achat d'obligations espagnoles via le SMP et les investisseurs pourraient adopter une approche de vente moins agressive dans cette perspective. Toutefois, si l'on revient à l'histoire de la Grèce, l'effet des achats d'obligations par la BCE, d'une part, a été de courte durée et de portée limitée et, d'autre part, compte tenu de l'évolution de la situation, a finalement conduit à une proportion accrue d'allègements de dette "volontaires" par emprunteur en Grèce - la BCE n'a pas partagé avec le secteur privé la charge d'aider les Hellènes