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Cours 2 : Formation d'image, projection en perspective, dérivée temporelle, champ de mouvement
Cours 2 : Formation d'image, projection en perspective, dérivée temporelle, champ de mouvement
Dans cette conférence, le concept de projection en perspective et sa relation avec le mouvement sont largement discutés. Le conférencier démontre comment l'utilisation de la différenciation de l'équation de projection en perspective peut aider à mesurer le mouvement des motifs de luminosité dans l'image et comment il se rapporte au mouvement dans le monde réel. La conférence couvre également des sujets tels que le foyer de l'expansion, les images continues et discrètes, et l'importance d'avoir un point de référence pour la texture lors de l'estimation de la vitesse d'un objet dans une image. De plus, le cours aborde les dérivées totales le long des courbes et la question du comptage des équations et des contraintes lors de la tentative de récupération du champ vectoriel de flux optique.
Le conférencier aborde divers sujets tels que le gradient de luminosité, le mouvement d'un objet, le cas 2D et les isophotes. Un défi rencontré dans le calcul de la vitesse d'un objet est le problème d'ouverture causé par la relation proportionnelle du gradient de luminosité, qui est résolu soit en pondérant les contributions à différentes régions d'image, soit en recherchant des solutions minimales. Le cours aborde ensuite les différents cas d'isophotes et souligne l'importance de calculer une réponse significative par opposition à une réponse bruyante lors de la détermination de la vitesse, en utilisant le concept de gain de bruit, qui mesure la sensibilité du changement de l'image au changement de résultat. .
Cours 3 : Temps de contact, focalisation de l'expansion, méthodes de vision par mouvement direct, gain de bruit
Cours 3 : Temps de contact, focalisation de l'expansion, méthodes de vision par mouvement direct, gain de bruit
Dans cette conférence, l'accent est mis sur le concept de gain de bruit en ce qui concerne les processus de vision industrielle, en mettant l'accent sur différentes directions et variations de précision. Le conférencier discute de l'importance de mesurer avec précision les vecteurs et de comprendre le gain pour minimiser les erreurs de calcul. L'exposé couvre le concept de temps de contact, le foyer d'expansion et les champs de mouvement, avec une démonstration de la façon de calculer les gradients radiaux pour estimer le temps de contact. Le conférencier montre également comment surmonter les limites des calculs image par image à l'aide de superpixels multi-échelles, avec une démonstration en direct à l'aide d'une caméra Web. Dans l'ensemble, la conférence fournit des informations utiles sur la complexité des processus de vision industrielle et sur la manière de mesurer avec précision diverses quantités.
La conférence traite de divers aspects de la vision du mouvement et de leur application pour déterminer le temps de contact, le foyer d'expansion et les méthodes de vision du mouvement direct. L'orateur fait la démonstration d'outils de visualisation de résultats intermédiaires, mais reconnaît également leurs limites et leurs erreurs. De plus, le problème du traitement des mouvements arbitraires dans le traitement d'image est abordé, et l'importance des points voisins se déplaçant à des vitesses similaires est soulignée. La conférence se penche également sur les schémas affectant le succès des méthodes de vision en mouvement direct et introduit de nouvelles variables pour définir plus facilement le temps de contact et d'ennemi. Enfin, le processus de résolution de trois équations linéaires et de trois inconnues pour comprendre comment différentes variables affectent la vision du mouvement est discuté, ainsi que la parallélisation du processus pour accélérer le calcul.
Cours 4 : Flux optique fixe, souris optique, hypothèse de luminosité constante, solution de forme fermée
Cours 4 : Flux optique fixe, souris optique, hypothèse de luminosité constante, solution de forme fermée
Dans la leçon 4 du cours sur la perception visuelle pour l'autonomie, le conférencier aborde des sujets tels que le flux optique fixe, la souris optique, l'hypothèse de luminosité constante, la solution de forme fermée et le temps de contact. L'hypothèse de luminosité constante conduit à l'équation de contrainte de changement de luminosité, qui relie le mouvement dans l'image au gradient de luminosité et au taux de changement de luminosité. Le conférencier montre également comment modéliser des situations où la caméra ou la surface est inclinée et discute de l'avantage de la moyenne à plusieurs échelles dans la gestion de grands mouvements. De plus, la conférence explore l'utilisation du temps de contact dans diverses situations autonomes et compare différents systèmes de contrôle pour l'atterrissage dans des engins spatiaux planétaires. Enfin, la conférence aborde la projection d'une ligne et comment elle peut être définie à l'aide de la projection en perspective.
Le conférencier discute des applications du traitement d'image, y compris comment les points de fuite peuvent être utilisés pour récupérer les paramètres de transformation pour l'étalonnage de la caméra et comment des objets d'étalonnage avec des formes connues peuvent déterminer la position d'un point dans le système centré sur la caméra. La conférence couvre également les avantages et les inconvénients de l'utilisation de différentes formes comme objets d'étalonnage pour les algorithmes de flux optique, tels que les sphères et les cubes, et comment trouver le centre de projection inconnu à l'aide d'un cube et de trois vecteurs. La conférence se termine en soulignant l'importance de prendre en compte les paramètres de distorsion radiale pour l'étalonnage des caméras en robotique réelle.
Cours 5 : Démos TCC et FOR MontiVision, point de fuite, utilisation des vice-présidents dans l'étalonnage de la caméra
Cours 5 : Démos TCC et FOR MontiVision, point de fuite, utilisation des vice-présidents dans l'étalonnage de la caméra
La conférence couvre divers sujets liés à l'étalonnage de la caméra, y compris l'utilisation des points de fuite dans la projection en perspective, la triangulation pour trouver le centre de projection et le point principal dans l'étalonnage de l'image, et le concept de matrices normales pour représenter la rotation dans une matrice orthonormée. Le conférencier explique également les mathématiques pour trouver la distance focale d'une caméra et comment utiliser les points de fuite pour déterminer l'orientation d'une caméra par rapport à un système de coordonnées mondial. De plus, l'utilisation de TCC et de FOR MontiVision Demos est discutée, ainsi que l'importance de comprendre la géométrie derrière les équations dans la résolution de problèmes.
La conférence couvre divers sujets liés à la vision par ordinateur, notamment l'influence de l'éclairage sur la luminosité de la surface, la manière dont les surfaces mates peuvent être mesurées à l'aide de deux positions de source lumineuse différentes et l'utilisation de l'albédo pour résoudre le vecteur unitaire. La conférence traite également du point de fuite dans l'étalonnage de la caméra et d'une méthode simple pour mesurer la luminosité à l'aide de trois directions de source lumineuse indépendantes. Enfin, l'intervenant aborde la projection orthographique comme alternative à la projection perspective et les conditions nécessaires à son utilisation en reconstruction de surface.
Cours 6: Stéréo photométrique, gain de bruit, amplification d'erreur, revue des valeurs propres et des vecteurs propres
Cours 6: Stéréo photométrique, gain de bruit, amplification d'erreur, revue des valeurs propres et des vecteurs propres
Tout au long de la conférence, l'orateur explique les concepts de gain de bruit, de valeurs propres et de vecteurs propres lors de la résolution de systèmes d'équations linéaires en stéréo photométrique. La conférence traite des conditions des matrices singulières, de la pertinence des valeurs propres dans l'analyse des erreurs et de l'importance de l'indépendance linéaire pour éviter les matrices singulières. La conférence se termine par une discussion sur la loi de Lambert et l'orientation des surfaces, et met en évidence la nécessité de représenter les surfaces à l'aide d'un vecteur normal unitaire ou de points sur une sphère unitaire. Dans l'ensemble, la conférence donne un aperçu des principes mathématiques sous-jacents à la stéréophotométrie et met en évidence les défis de la récupération précise de la topographie de la lune à partir des mesures terrestres.
Dans la conférence 6 d'un cours de photographie informatique, l'orateur explique comment utiliser le vecteur normal unitaire et les gradients d'une surface pour trouver l'orientation de la surface et tracer la luminosité en fonction de l'orientation de la surface. Ils expliquent comment utiliser la paramétrisation pq pour cartographier les orientations de surface possibles et montrent comment un plan incliné peut être utilisé pour tracer la luminosité à différents angles d'orientation. L'orateur explique également comment réécrire le produit scalaire du vecteur unitaire de la source lumineuse et du vecteur normal unitaire en termes de gradients pour trouver les courbes dans l'espace pq où cette quantité est constante. La conférence se termine par une explication de la façon dont les cônes créés en faisant tourner la ligne vers la source lumineuse peuvent être utilisés pour trouver des sections coniques de différentes formes.
Cours 7: Espace dégradé, carte de réflectance, équation d'irradiance d'image, projection gnomonique
Cours 7: Espace dégradé, carte de réflectance, équation d'irradiance d'image, projection gnomonique
Cette conférence traite de l'espace de gradient, des cartes de réflectance et des équations d'éclairement d'image. Le conférencier explique comment utiliser une carte de réflectance pour déterminer l'orientation et la luminosité de la surface pour les applications graphiques, et comment créer une cartographie numérique de l'orientation de la surface à la luminosité à l'aide de trois photos prises dans des conditions d'éclairage différentes. Ils introduisent également le concept d'irradiance et sa relation avec l'intensité et la radiance, ainsi que l'importance d'utiliser une ouverture finie lors de la mesure de la luminosité. De plus, la conférence aborde les trois règles du comportement de la lumière après avoir traversé une lentille, le concept de raccourcissement et la façon dont la lentille focalise les rayons pour déterminer la quantité de lumière d'un patch sur la surface qui est concentrée dans l'image.
Dans cette conférence, le conférencier explique l'équation permettant de déterminer la puissance totale délivrée à une petite zone d'une image, qui tient compte des angles solides et du cosinus thêta. Ils relient cette équation au f-stop des appareils photo et à la façon dont la taille de l'ouverture contrôle la quantité de lumière reçue. L'orateur discute également de l'éclairement de l'image, qui est proportionnel à l'éclat des objets dans le monde réel, et de la façon dont la luminosité diminue lorsque nous nous déportons de l'axe. Ils discutent ensuite de la fonction de distribution de réflectance bidirectionnelle, qui détermine la luminosité d'une surface en fonction de la direction incidente et émise. Le conférencier explique que la réflectance peut être mesurée à l'aide d'un goniomètre et qu'il est important de modéliser de manière réaliste la façon dont un objet réfléchit la lumière. Ils expliquent également le concept de la réciprocité de Helmholtz pour la fonction de distribution de réflectance bidirectionnelle. La conférence passe ensuite à la discussion de l'application de l'espace de gradient aux modèles de matériaux de surface et rappelle aux étudiants de se tenir au courant des informations sur les devoirs.
Cours 8 : Ombrage, cas particuliers, surface lunaire, microscope électronique à balayage, théorème de Green
Cours 8 : Ombrage, cas particuliers, surface lunaire, microscope électronique à balayage, théorème de Green
Dans cette conférence, le professeur aborde plusieurs sujets liés à la photométrie et à l'ombrage. Il explique la relation entre l'éclairement, l'intensité et le rayonnement et comment ils sont mesurés et liés. La conférence présente également la fonction de distribution de réflectance bidirectionnelle (BRDF) pour expliquer comment l'éclairage affecte l'orientation et le matériau d'une surface. Le conférencier discute en outre des propriétés d'une surface lambertienne idéale et de ses implications pour mesurer la lumière entrante et éviter toute confusion lorsqu'il s'agit de la réciprocité de Helmhotz. La conférence couvre également le processus de conversion du gradient en vecteur unitaire et son lien avec la position de la source lumineuse. Enfin, la conférence explique comment la mesure de la luminosité peut déterminer la pente ou la direction de la pente d'une surface.
La conférence couvre divers sujets liés à l'optique et à la vision par ordinateur. Le professeur discute de l'utilisation de la forme à partir de techniques d'ombrage pour obtenir un profil de la surface d'un objet afin de déterminer sa forme. Il passe ensuite à la discussion des lentilles et justifie l'utilisation de la projection orthographique. Le conférencier parle également de la suppression de la projection en perspective dans la vision artificielle en construisant des lentilles télécentriques et démontre diverses astuces pour compenser les aberrations dues à la variation de l'indice de réfraction du verre avec les longueurs d'onde. Enfin, l'orateur introduit le concept de projection orthographique, qui simplifie certains des problèmes liés à la projection perspective.
Cours 9: Forme à partir de l'ombrage, cas général - De la PDE non linéaire du premier ordre à cinq ODE
Cours 9: Forme à partir de l'ombrage, cas général - De la PDE non linéaire du premier ordre à cinq ODE
Cette conférence couvre le thème de la forme à partir de l'ombrage, une méthode pour interpréter les formes des objets en utilisant les variations de luminosité de l'image. Le conférencier explique le processus de microscopie électronique à balayage, où un collecteur d'électrons secondaire est utilisé pour mesurer la fraction d'un faisceau d'électrons entrant qui le fait reculer, permettant l'estimation de la pente de surface. Le cours traite également de l'utilisation des intégrales de contour, des moments et des moindres carrés pour estimer les dérivées de surface et trouver la plus petite surface en fonction du bruit de mesure. L'orateur dérive cinq équations différentielles ordinaires pour le problème de la forme à partir de l'ombrage et explique également le concept de l'opérateur laplacien, qui est utilisé dans les opérations de traitement d'image.
Dans cette conférence sur "Shape from Shading", l'orateur discute de diverses approches pour résoudre les équations de la solution des moindres carrés à la forme à partir de l'ombrage. Le conférencier explique différentes techniques pour satisfaire la condition laplacienne, ajuster les valeurs des pixels et reconstruire des surfaces à l'aide de mesures d'images et de calculs de pente à partir de différents points. La conférence couvre les sujets des valeurs initiales, de la transformation de la rotation et de la transformation inverse par moins thêta. Le conférencier conclut par une discussion sur la généralisation de ces équations pour des cartes de réflectance arbitraires et sur l'importance d'examiner des images au microscope électronique à balayage pour fournir des exemples concrets d'interprétation de l'ombrage.
Cours 10 : Expansion de la bande caractéristique, forme à partir de l'ombrage, solutions itératives
Cours 10 : Expansion de la bande caractéristique, forme à partir de l'ombrage, solutions itératives
Dans cette conférence, l'instructeur couvre le sujet de la forme à partir de l'ombrage en utilisant des mesures de luminosité dans le concept de formation d'image. Cela implique de comprendre l'équation d'irradiance de l'image, qui relie la luminosité à l'orientation de la surface, à l'éclairage, au matériau de surface et à la géométrie. Ils expliquent la méthode de mise à jour des variables p et q en utilisant deux systèmes d'équations distincts qui s'alimentent mutuellement et en traçant une bande entière à l'aide du gradient de luminosité. La conférence aborde également les défis de la résolution des EDP non linéaires de premier ordre et différentes méthodes pour passer d'un contour à un autre lorsque vous explorez la surface. Enfin, l'instructeur discute de la mise en œuvre de l'expansion de la bande caractéristique et explique pourquoi une approche séquentielle n'est peut-être pas la meilleure méthode, recommandant la parallélisation et le contrôle de la taille des pas.
Dans la conférence 10, le professeur discute de diverses méthodes pour résoudre les problèmes de forme à partir de l'ombrage, y compris l'utilisation de points stationnaires sur la surface et la construction d'une petite forme de capuchon autour de celle-ci pour estimer la forme locale. Le conférencier introduit également le concept de frontière occlusive, qui peut fournir des conditions de départ pour les solutions, et discute des progrès récents dans le calcul des solutions pour le problème à trois corps en utilisant des méthodes d'analyse numérique sophistiquées. De plus, la conférence aborde le sujet des méthodes de vision industrielle industrielle et les modèles associés qui seront discutés dans la conférence suivante.
Cours 11 : Détection des bords, position des sous-pixels, CORDIC, détection des lignes (brevet américain 6408109)
Cours 11 : Détection des bords, position des sous-pixels, CORDIC, détection des lignes (brevet américain 6408109)
Cette vidéo YouTube intitulée "Lecture 11 : Edge Detection, Subpixel Position, CORDIC, Line Detection (US 6,408,109)" couvre plusieurs sujets liés à la détection des contours et à la localisation des sous-pixels dans les systèmes de vision industrielle. L'orateur explique l'importance des brevets dans le processus d'invention et comment ils sont utilisés dans les guerres de brevets. Ils discutent également de divers opérateurs de détection de contours et de leurs avantages et limites. La vidéo comprend des explications détaillées des formules mathématiques utilisées pour convertir les coordonnées cartésiennes en coordonnées polaires et déterminer la position du bord. La vidéo conclut en discutant de l'importance de rédiger des revendications larges et étroites pour les brevets et de l'évolution du droit des brevets au fil du temps.
Dans la conférence 11, l'orateur se concentre sur différentes molécules computationnelles pour la détection des contours et l'estimation des dérivées, en mettant l'accent sur l'efficacité. Les opérateurs Sobel et Roberts Cross sont présentés pour calculer la somme des carrés des gradients, avec des variations dans la formule et la technique discutées. Pour obtenir une précision sous-pixel, plusieurs opérateurs sont utilisés et des techniques telles que l'ajustement d'une parabole ou l'utilisation d'un modèle triangulaire sont présentées pour déterminer le pic de la courbe. De plus, la conférence discute des alternatives à la quantification et des problèmes de direction du gradient sur une grille carrée. Dans l'ensemble, la conférence souligne l'importance de prendre en compte de nombreux détails pour obtenir de bonnes performances pour la détection des contours.